samedi 30 avril 2022

Justin Trudeau, François Legault, - Existe-t-il système d'alerte nucléaire ou autre à Montréal ou guerre – à ma propre demande d’un citoyen avisé et éclairé au ministère de la Sécurité publique du Québec

Justin Trudeau, François Legault, - Existe-t-il système d'alerte nucléaire ou autre à Montréal ou guerre – à ma propre demande d’un citoyen avisé et éclairé au ministère de la Sécurité publique du Québec (demande numéro 26991)


Comme vous le savez il y a possibilité guerre mondiale plusieurs personnes m’ont demandé les indications, se cacher quoi faire les sirènes dans tel quartier ou ville aux USA c’est l’emergency alert system.

J’aimerais avoir toutes informations à ce sujet si possible document s’il y a lieu, etc. Aucune personne lorsqu’en en parle ne connait ce qui se passera et ce que l’on doit faire C’est important de savoir voir ce qui se passe en Ukraine et ça pourrait être ici-même Merci et bonne journée , Mon nom

Réponse ministère de la Sécurité du Québec


INFOCOM <INFOCOM@msp.gouv.qc.ca>

29 avril 2022 à 13 h 21

À : Mon nom,


Le ministère de la Sécurité publique (MSP) ne dispose pas d’un système de sirènes d’alerte sur le territoire québécois. 

Toutefois, pour alerter rapidement la population du Québec, le MSP utilise le système Québec

«En Alerte qui permet de rejoindre simultanément l’ensemble de la population, lors d’événements pouvant porter atteinte à la vie ou à la sécurité des citoyens». Le MSP, dans ses responsabilités de coordonnateur de la sécurité civile au Québec, se concentre sur les risques naturels et industriels.

Étant donné que la sécurité nationale et la défense sont des domaines de compétence fédérale, nous vous invitons à communiquer avec eux si des informations additionnelles sont nécessaires.

 Bonne journée!

Direction des communications
Ministère de la Sécurité publique
infocom@msp.gouv.qc.ca

Gouvernement du Canada compétence en sécurité nationale et la défense au Canada et au Québec

Existe-t-il système d'alerte nucléaire ou autre à Montréal ou défense en cas de guerre  au Québec ou ailleurs en sol Canadien?

Demande de renseignement  au gouvernement du Canada - Sécurité nationale et défense d’alerte en cas d’attaques de missiles ou autres pour avertir la population et nous enseigner les procédures à suivre sur le terrain.

Le 28 avril 2022 par courriel à la Défense Nationale

Protection et défense du Canada, de ses citoyens et de ses infrastructures. Histoire, grades, équipement et opérations militaires. Sécurité des frontières, des transports et du cyberespace.

Comme vous le savez il y a possibilité guerre mondiale plusieurs personnes m'on demandé les indications, se cacher quoi faire les sirènes dans tel quartier ou ville aux USA c'est l'emergency alert system.

J'aimerais avoir toutes informations à ce sujet si possible document s'il y a lieu, etc. Aucune personne lorsqu'en en parle ne connait ce qui se passera et ce que l'on doit faire C'est important de savoir voir ce qui se passe en Ukraine et ça pourrait être ici-même 

Le Canada n’a aucun système d’alerte pour avertir ses citoyens en cas d’attaque de missiles nucléaires en date du premier mai 2022

L’Honorable Anita Anand ministre de la défense du et l’Honorable Justin Trudeau, premier ministre actuel du Canada avec Jagmeet Singh, son mentor, 

Gouvernement du Canada ministère de la défense Alerte de missile: le Canada «finalise» un protocole à construire depuis le 23 décembre 2018, à savoir comment avertir la population en cas d’Attaque.

Nos premiers ministres du Canada Justin Trudeau & Jagmeet Singh ont parcouru la planète entière pour afficher les apparats de leur toilettes dans des décors paradisiaques démontrant  ses garde-robes bien garnies de tenue légère dont nous leurs connaissons leurs sens de l’humour multidirectionnel et  multi ethniques à l’exception du Français et du Québec d’où le génocide francophone se pratique ouvertement à tous les niveaux, provinciaux, fédéraux, municipaux 

Hawaii fausse alerte

Près d'un an après qu'une fausse alerte de missile eut terrifié l'État d'Hawaii, le Canada dit être en train de « finaliser » un protocole pour informer le public dans l'éventualité d'une réelle attaque de destruction massive.

D'après des notes internes et des courriels du gouvernement fédéral obtenus en vertu de la Loi sur l'accès à l'information, la fausse alerte envoyée dans la matinée du 13 janvier dernier 2022, a amené les autorités canadiennes à se questionner sur leur propre système.

Le message d'urgence envoyé un samedi par l'agence des services d'urgence d'Hawaii, qui exhortait les habitants de l'île américaine à trouver refuge, a été démenti 38 minutes plus tard, suscitant de nombreuses questions sur le système en place.

Le lundi suivant, les responsables canadiens avaient reçu plusieurs requêtes de médias, leur demandant ce que le gouvernement ferait s'il y avait une attaque nucléaire.

Les autorités ont convoqué une téléconférence pour « clarifier les rôles et responsabilités » entre le ministère de la Sécurité publique et celui de la Défense nationale, ainsi que pour coordonner leurs communications, peut-on lire dans les notes récemment rendues publiques.

Selon des documents d'information du ministère de la Sécurité publique datant du 15 janvier, on présumait que le système d'avertissement pour le lancement d'un missile serait effectué par le ministère de la Défense et les Forces armées canadiennes, mais « cette présomption devra être vérifiée », indique-t-on.

Le Centre des opérations du gouvernement (COG), une agence fédérale de gestion des urgences, était « en ce moment en train de mettre au point un protocole d'avertissement » avec le ministère de la Défense relativement à une attaque de missile, selon les notes. Le protocole prévoirait que l'information serait partagée avec les agences fédérales et leurs homologues provinciaux et territoriaux.

Mais il y avait un problème.

Le Système national d'alertes au public - appelé couramment « En alerte » - n'avait rien de prévu pour les menaces potentielles de missiles. Il se concentrait davantage sur les dangers et catastrophes survenant à l'intérieur du territoire, dont les inondations, la température extrême, les déversements chimiques et les incidents terroristes. Les alertes sont diffusées à la radio et à la télévision, et plus récemment, par messages textes.

Environnement Canada et Changement climatique Canada était le seul ministère fédéral relié au système d'alerte, qui devait diffuser des alertes météorologiques.

« ECCC n'a pas le mandat de lancer une alerte reliée à une attaque de missile potentielle », peut-on lire dans les documents.

Le ministère de la Sécurité publique n'était même pas certain qu'il puisse envoyer une alerte nationale instantanément. Les avertissements sont généralement localisés et se sont déroulés d'une province à l'autre avec le mouvement d'un système météorologique.

Une alerte canadienne concernant une frappe de missile proviendrait probablement du bureau du premier ministre, indiquent les notes.

Quelques jours plus tard, les responsables avaient une meilleure idée du protocole d'avertissement sur le lancement de missiles, selon des informations plus détaillées datées du 18 janvier 2022.

Une fois le missile lancé dans le ciel, les Forces canadiennes en informeraient immédiatement le Centre des opérations du gouvernement, lequel dirait à son tour la communauté de la gestion des urgences par courriel s'il n'y a pas de menace.

« S'il existe une menace potentielle ou réelle pour le Canada ou les intérêts canadiens, le (Centre des opérations) organisera une téléconférence avec les principaux partenaires concernés afin de partager des informations et coordonner la réponse pangouvernementale appropriée. »

Les responsables voyaient d'un mauvais œil la possibilité que ce soit le Centre des opérations du gouvernement qui diffuse l'information sur une frappe de missile. Il faudrait examiner soigneusement la responsabilité juridique et utiliser le centre pourrait créer un chevauchement avec les canaux existants, ce qui entraînerait des messages en double « susceptibles de créer une confusion supplémentaire ».

Des notes préparées quelques semaines plus tard précisent le plan.

En cas d'attaque par missile, le NORAD, qui protège l'espace aérien nord-américain, avertirait la Défense du Canada, qui en informerait ensuite les « responsables compétents ». 

Les systèmes d’Alerte des États-Unis prendraient  avec leurs systèmes sous sa charge le Gouvernement du Canada, les gouvernements provinciaux, municipaux pour nous avertir en cas d’attaque envers les Canadiens ou Québécois.

« Les Canadiens seraient ensuite informés par tous les canaux disponibles, y compris les médias et les médias sociaux », indiquent les notes. « Les alertes d'urgence sont généralement émises par les agences de gestion des urgences provinciales ou territoriales responsables de l'intervention "sur le terrain". »

Cependant, il reste certains détails précis à peaufiner. Les agences fédérales sont en train de « finaliser les détails » du protocole, a indiqué Karine Martel, porte-parole du ministère de la Sécurité publique.

Canada « Les détails du protocole seront mis en place en bonne et due forme d’ici le premier janvier 2035. »

Considérant les incompétences monumentales du Gouvernement fédéral à remplir ses devoir, Nous les citoyens du demandons à Gabriel Nadeau Dubois, et à Anne France Goldwater notre chien préféré avec Ti-Counne d’aller négocier avec Washington les droits d’auteurs avec le président Joe Biden en couche.

Système d'alerte national des États-Unis (NAWAS)

Le système national d'alerte (NAWAS) est un système de communication conçu et mis en œuvre à l'origine dans les années 1950 comme moyen de notification et de préparation à une attaque nucléaire. Heureusement, le système n'a jamais été utilisé aux fins prévues, mais il s'est avéré inestimable pour les responsables locaux des urgences qui interviennent ou font face à des catastrophes naturelles.

Le système d'alerte national soutient les actions non militaires prises par les agences fédérales, par le secteur privé et par les citoyens individuels pour répondre aux besoins humains essentiels ; soutenir l'effort militaire; assurer la continuité de l'autorité fédérale aux niveaux national et régional; et assurer la survie en tant que nation libre et indépendante dans toutes les conditions d'urgence, y compris une urgence nationale causée par une menace ou une attaque réelle contre les États-Unis.

Le système d'alerte national a des terminaux principaux dans chaqu'un des État et installation de gestion des urgences d'État. 

Aujourd'hui, le système consiste en ce qui est en fait une ligne téléphonique partagée de plus de 2200 personnes. De toute évidence, c'est plus qu'un système téléphonique normal. 

Les instruments téléphoniques sont conçus pour fournir une protection contre les coups de foudre afin qu'ils puissent être utilisés pendant les orages. 

Les lignes d'interconnexion bénéficient d'une certaine protection et évitent les commutateurs téléphoniques locaux. Cela garantit qu'ils sont disponibles même lorsque le système local est en panne ou surchargé.

Le système est utilisé par les responsables locaux des milliers de fois par an pour la coordination et la réponse à la gestion des urgences. 

Un scénario typique est l'utilisation du système pendant les tornades. Au fur et à mesure que des tempêtes sont aperçues, les responsables des urgences d'une ville ou d'un comté peuvent communiquer avec leurs collègues d'autres comtés qui se trouvent sur la trajectoire de la tempête, les conseillant sur la direction, la vitesse et l'intensité. 

L'inconvénient de ce système est qu'il repose sur l'intervention humaine. S'il n'y a personne pour recevoir les communications, l'avertissement n'est pas diffusé. Cela a entraîné des avertissements de tornade manqués. Aujourd'hui, la modernisation et l'automatisation sont prévues dans la plupart des systèmes de télécommunications.

Le Centre national d'alerte (NWC) et le Centre national d'alerte alternatif (ANWC) à Olney, MD, sont dotés en personnel 24 heures sur 24 et servent de contrôle principal pour le Système national d'alerte (NAWAS).

Canada multiculturel

Canada, le Centre national d’alerte (CCNA) et il y a seulement qu’un petit et seul  problème de localisation de nos dirigeants politiques adorant les dictatures militaires, la centrale est situé à Pyongyang en Corée du Nord et dans ses grandes largesses Kim Jong-Un refuse l’accès à la Centrale portant le nom de Centre de défense, Pierre Elliott Trudeau et en Coréen :  피에르 엘리엇 트뤼도 국방 센터



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