lundi 31 octobre 2022

Olivier Benoit, est retrouvé et était perdu en forêt retrouvé dans le secteur de Lanaudière atteint de trisomie 21 disparu depuis presque 72 heures

 Olivier Benoit, est retrouvé et était perdu en forêt  retrouvé dans le secteur de Lanaudière atteint de trisomie 21 disparu depuis presque 72 heures 

Oliver Benoit était tout sourire lorsque des secouristes l’ont trouvé en pleine forêt, lundi.

Dans un moment particulièrement touchant, le jeune homme de 21 ans a retrouvé ses proches, sous les applaudissements, lundi. 

Entouré de secouristes, il est descendu d’un véhicule utilitaire pour serrer dans ses bras sa mère, revenue de Floride dans l’urgence, puis son père, qui s’appuyait sur des béquilles.

Sans chandail en raison de la chaleur, l’homme de 21 ans a enlacé son père à sa sortie de la forêt.

«On était presque sûrs qu’il n’y avait pratiquement pas d’espoir de le retrouver vivant ou presque, ajoute Nadia Girard. On est bénis, c’est un miracle.» 

Oliver s’est accidentellement égaré près du lac Croche, à Saint-Donat, vendredi, alors qu’il était en compagnie de son chien de race carlin nommé Lolipop et de sa gardienne.

Dès lors, la Sûreté du Québec et des dizaines de bénévoles ont ratissé les environs pour le retrouver. Dans cette course contre la montre, la police a déployé un poste de commandement, un hélicoptère et des maîtres-chiens. 

Déboussolés, les proches d’Oliver étaient incapables de dormir. 

C’est trois jours et trois nuits après sa disparition que les recherches sur le terrain ont finalement porté leurs fruits. 

Sous le regard émotif de son père, en béquilles, Oliver a pris dans ses bras sa maman.

Des cris de loups entendus

Grâce à des cris de loups poussés par Oliver, les bénévoles ont pu le localiser et s’approcher graduellement.

Il était alors, à vol d’oiseau, 3,8 km plus loin de l’endroit où il s’est égaré, à la frontière entre Saint-Donat et Notre-Dame-de-la-Merci.

Les retrouvailles

Une barre tendre, un sandwich et de l’eau sucrée ont rapidement donné le sourire à Oliver. Il est d’ailleurs en bonne santé, mais il a été transporté à l’hôpital par mesure préventive, après ces longues heures dans la nature.

Autre possible avantage pour Oliver : il n’a pas la notion du temps en raison de sa trisomie. 

«Tantôt, il a dit “j’ai fait dodo dans le bois et je cherchais mon chien”, rapporte Nadia Girard. Pour lui, il n’y a rien là. Il ne s’est presque rien passé.» 

Les retrouvailles d’olivier Benoit retrouve son chien pug

Le chien du jeune Oliver Benoit, Lolipop, a été retrouvé à Saint-Donat, dans Lanaudière, quelques heures après son maitre.

Le carlin (ou pug)  son chien avait disparu avec le jeune homme de 21 ans vendredi dernier dans un boisé de la municipalité. 

La disparition de l’animal et de son maitre, atteint de trisomie 21, avait été signalée après que ces derniers ne soient pas revenus d’une promenade en après-midi. 

Oliver a été retrouvé lundi midi après trois jours et trois nuits d’intenses recherches de la Sûreté du Québec. Lolipop a été découvert quelques heures plus tard. 

Il faut dire que l’animal a grandement contribué à aider les équipes de recherches. En effet, le chien a d’abord été localisé dimanche dans le secteur de Notre-Dame-de-la-Merci par des personnes à bord d’un hélicoptère. La Sûreté du Québec (SQ) et les bénévoles participants à l’opération ont ainsi pu intensifier les recherches dans ce secteur lundi matin. 

Des retrouvailles fortes en émotions

Les soulagements étaient de mises pour la communauté et la famille d’Oliver Benoit lorsqu’il a été retrouvé lundi. Accueilli par des applaudissements, il a enlacé sa mère et son père. Plusieurs personnes ont ainsi souligné le courage du jeune homme. 

«Il a fait ça comme un champion» est une phrase qui est souvent revenue lorsqu’on a parlé du périple d’Oliver Benoit


dimanche 30 octobre 2022

Cesur Celik père de Koray Kevin Celik de son fils décédé lors d’une intervention policière il y a cinq ans s’est vidé le cœur, lundi, en marge du début d’une enquête publique du coroner qu’il a toutefois décidé de boycotter par manque de confiance

 Cesur Celik père de Koray Kevin Celik de son fils décédé lors d’une intervention policière il y a cinq ans s’est vidé le cœur, lundi, en marge du début d’une enquête publique du coroner qu’il a toutefois décidé de boycotter par manque de confiance.

Cesur Celik se vide le cœur et écorche le système éléphantesque 

 « On ne participera pas à ce cirque, on a perdu confiance envers les institutions qui doivent rendre justice », a émotivement commenté Cesur Celik lundi, au palais de justice de Montréal».

Les larmes aux yeux, il est brièvement revenu sur la mort de son fils Koray Kevin Celik, décédé en mars 2017.

Cesur Celik, le père de Koray Kevin Celik était au palais de justice de Montréal lundi pour se vider le cœur en marge de l’enquête publique du coroner en lien avec le décès de son fils, lors d’une opération policière en mars 2017.

Ce soir-là, la police de Montréal avait été appelée au domicile de la famille Celik, à L’Île-Bizard, en lien avec un « homme en crise ». 

Sur place, les policiers sont tombés face à Koray Kevin Celik. Pendant qu’ils tentaient de le maîtriser, le jeune homme de 28 ans aurait soudainement fait un arrêt cardiaque.

Il est mort sous les yeux de ses parents.

« On a beaucoup souffert », a dit M. Celik.

Perte de confiance

Dans cette affaire, la famille Celik en a contre les policiers, qui n’ont pas été séparés avant d’être interrogés par le Bureau des enquêtes indépendantes (BEI). 

Elle en a aussi contre le BEI, qui s’est fait reprocher par la Cour du Québec d’avoir manqué d’impartialité et de transparence dans ses communications avec le public au sujet du défunt.

« Il porte ainsi une atteinte directe aux demandeurs quant à leur réputation et honneur », indiquait le jugement.

M. Celik en a aussi contre le Directeur des poursuites criminelles et pénales, qui n’a pas déposé d’accusations, ainsi que pour la façon dont le dossier a été menée. 

Cesur Celik

Enfin, il en a contre le Bureau du coroner, qui ne lui permettrait pas de se battre à armes égales contre les policiers.

« C’est une accumulation de situations, il y a un bris du lien de confiance qu’il faut travailler à rétablir », a déclaré Me Virginie Dufresne-Lemire, qui représente la famille Celik.

Boycottage de l’audience

Malgré une assignation à comparaître, M. Celik a décidé de boycotter l’audience. Le coroner Luc Malouin a pris acte de cette décision.

« Je trouve ça dommage, mais je ne ferais pas d’autres commentaires », a-t-il dit en marge de l’audience.

L’enquête publique est prévue pour trois semaines. Me Malouin a rappelé qu’il ne s’agissait pas d’un procès, et que son travail se limitait à analyser l’ensemble des faits, émettre une opinion et procéder à des recommandations « si les circonstances s’y prêtent ».

Une enquête publique sur la mort de Koray Kevin Celik aura lieu

La coroner en chef du Québec a ordonné la tenue d’une enquête publique sur le décès d’un jeune Montréalais durant une intervention policière et dont les parents ont récemment intenté une poursuite de plus d’un demi-million de dollars contre la Ville de Montréal et Urgences-santé.


L’enquête publique sur la mort de Koray Kevin Celik sera présidée par la coroner Me Karine Spénard, mais les détails de cette enquête et des audiences ne sont pas encore connus.

Dans la nuit du 6 mars 2017, les policiers du SPVM ont été appelés à se rendre au domicile de la famille Celik, dans le secteur de L’Île-Bizard, pour un «homme en crise».

Selon le rapport du Bureau des enquêtes indépendantes, les quatre policiers dépêchés sur les lieux se seraient retrouvés face à un jeune homme «agressif» en Koray Kevin Celik, ce que sa famille a réfuté disant qu'il était intoxiqué, mais pas violent.

Tandis que les patrouilleurs tentaient de maîtriser l’homme agité, ce dernier aurait soudainement fait un arrêt cardiaque.

Il serait mort sous les yeux de ses parents. Il avait 28 ans.

Deux années plus tard, les parents du défunt ont appris avec désarroi que le Directeur des poursuites criminelles et pénales ne déposerait aucune accusation criminelle contre les policiers qui, selon eux, sont à l’origine de la mort de leur fils.

Les parents de Koray, Cesur et June Celik, ont déposé en mars dernier une poursuite de 558 000 $ contre la Ville de Montréal et Urgences-santé. À ce jour, le couple continue de croire que les policiers sont directement responsables de la mort de leur garçon.

Ils ont inclus Urgences-santé dans la poursuite puisqu’ils jugent que les ambulanciers n’ont pas répondu à l’appel d’urgence dans un délai raisonnable.

Que la vérité sorte pour le repos de Koray Kevin Celik


Éric Duhaime politicien féministe parle, parle jusqu’à ce qu'elles aient quelque chose à dire tel que les mémères et commères opportuniste rongeur de balustres

 Éric Duhaime politicien féministe parle, parle jusqu’à ce qu'elles aient quelque chose à dire tel que les mémères et commères opportuniste rongeur de balustres  

De plus Sa majesté Royale exige une place comme député à l’assemblée nationale et non élu et demande une indemnisation de 101 561$ annuellement....

Éric Duhaime non élu au dernier scrutin vous avez gagé au Casino électoral et vous avez perdu. C’est tout.

Nous connaissons tous plusieurs personnes qui ont investi pour être élu et non pas été élu.  Pourquoi des passes droits pour vous, êtes –vous supérieur aux autres candidats non élus

Si sa demande est acceptée, Éric Duhaime empochera un peu plus de 406 000$ d’ici la prochaine élection.

Le PCQ est en meilleure santé financière que jamais.

Ayant récolté 530 786 votes au dernier scrutin, le parti recevra 1 390 659$ chaque année pour les quatre prochaines années, comme un vote représente actuellement 2,62$ par an, par électeur. À noter que ce montant est indexé chaque année.

Au cours du mandat, le PCQ récoltera en conséquence au moins 5,5 M$ en financement du directeur général des élections du Québec (DGEQ) pour chaque vote obtenu.

En plus de ces importantes sommes, le parti compte continuer à mener des activités de financement.

Un militant conservateur bénévole a envoyé une facture de 40 000$ au parti pour des conseils stratégiques au cours de la campagne électorale, en affirmant avoir l’accord d’Éric Duhaime. Or, des employés du parti soutiennent qu’il n’y a eu aucune entente et dénoncent la réclamation. 

Refus de payer d’Éric Duhaime

Un torchon qui brûle est un collaborateur régulier à l’émission de Jeff Fillion qui n’est certainement d’aucune  référence et même pas pour nettoyer les chiottes personne ne lui ferait confiance car il gardera les crottes pour blâmer les autres. 

Le gouvernement du Québec voulant être « fair play» avec Éric Duhaime a fait l’acquisition des trois toilettes chimiques pour votre prochain bureau juste à côté  de celle de Dominique Anglade et Gabriel Nadeau Dubois tous deux étant sur la corde raide.  J’oubliais vous pourriez remplacer Justin Trudeau à Ottawa au prochain scrutin puisqu’il a un cerveau vierge, c'est-à-dire, le vide sidéral. Intelligence et discernement exclu et vous voyagez de par le monde pour exhiber votre silhouette aphrodisiaque tout en méprisant les francophones et Québécois et s’agglutinant aux allophones et anglophones.

Que votre âme repose en paix! Les politiciens judas.


mardi 25 octobre 2022

Justin Trudeau François Legault - António Guterres, Secrétaire Générale des Nations Unies Des réfugiés ici, des réfugiés là. Partout, des réfugiés Et à qui profite cette manne gratuite tombé du Ciel!

Justin Trudeau  François Legault - António Guterres, Secrétaire Générale des Nations Unies Des réfugiés ici, des réfugiés là. Partout, des réfugiés  Et à qui profite cette manne gratuite tombé du Ciel!

Nous avons une capacité limitée à nous émouvoir de la misère des autres. Normal, nous en avons déjà plein les bras à gérer nos propres vies. Sauf que l’hiver approche pour tout le monde et que certains vont en baver plus que d’autres. Réfugiés à qui cette manne tombée du ciel profite-t-elle?

Justin Trudeau monoculturel 


Charles De Gaulle C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. 

Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. 


Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. 

Sinon, la France ne serait plus la France.


«Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. ››


Charles De Gaulle prends en de la graine Justin le mono multiculturaliste sans aucune culture la pomme pourrie parmi nous tous.

 

Inconvénients des monocultures de Justinienne 2022


En outre, la surexploitation politique, qui est soumis aux exigences nutritionnelles d'une même culture gangreneuses pendant longtemps, rend le pays plus facilement fragilisé et érodé, ce qui affecte également l'écosystème naturel composé de micro-organismes, d'insectes religieuses ou de différentes cultures venue d’ailleurs incompatible avec notre société de Droits et occidentales.

 

En 2022, l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés a signalé qu'il y avait environ 30 millions de réfugiés dans le monde. 

Les réfugiés apportent de la productivité aux salaires miséreux et minimum que bénéficient à l’extrême nos CHAMBRES DE COMMERCES  et leurs souteneurs politiciens $$$$$$$$$$$$$

Les réfugiés  ces faux réfugiés dit économique qui transitent par les Chemins Roxham  arrivent dans un pays d'accueil et subsistent grâce aux prestations de nos bénéfices sociaux. 

Bien que tous les pays n'autorisent pas les réfugiés à travailler, ceux qui le permettent, voyez à quel point les réfugiés sont productifs. Souvent incapables d'utiliser leurs titres de compétences dans d'autres pays, les réfugiés sont connus pour partir de zéro et ils y parviennent efficacement pour remplir les postes que les gens d’ici ne veulent pour différentes raisons. 

Les conseillers économiques estiment que  pour 1 000 entreprises  qui utilise comme main d’œuvre d’esclavagiste de réfugiées peuvent générer des centaines  milliards de dollar chaque année chaque année de main d’œuvre à rabais. 

Si les pays d'accueil assouplissent les restrictions et permettent aux réfugiés d'élargir leurs possibilités d'emploi, cela pourrait améliorer considérablement les économies des pays d'accueil PRINCIPALEMENT AUX ENTREPRISES MILLIARDAIRES qui s’abreuvent à ces sources de faible revenu au prise d’entrepreneurs ou entreprises qui en profitent à tous les jours .

Cela signifierait également rendre les cours d'apprentissage des langues et les cours d'intégration plus accessibles, mais à long terme, les avantages fiscaux l'emportent sur le coût. 

Les réfugiés appauvrissent les cultures occidentales et chrétiennes en ne voulent pas s’intégrer à leurs nouvelles vies sociétales, des mœurs nouvelles de cultures et religions préhistoriques.

Les réfugiés fuient les mêmes choses que les citoyens ordinaires craignent : les familles sont déchirées, le droit de vote leur est retiré, le manque d'éducation et plus encore.

Les réfugiés ne cherchent pas à bouleverser la culture de leur pays d'accueil mais à l'enrichir. Ils peuvent apporter avec eux des pratiques, des aliments et des religions différents, mais en fin de compte, la plupart des gens ont des idéaux similaires.

En tant que société d’accueil pouvons-nous nous permettre d’accueillir tous les pauvres de la terre? Non.

Plus il y a de personnes participant à l'économie d'un pays, mieux c'est. L'activité économique à elle seule est l'un des nombreux avantages de l'accueil de réfugiés. Il y a un investissement initial requis pour permettre aux réfugiés d'entrer dans un pays.

Logement, cours de langue, soins de santé, subsistance. Toutes ces choses coûtent cher à fournir, mais une fois que les réfugiés sont établis dans leur pays d'accueil, l'investissement initial porte ses fruits.

Les réfugiés créent des entreprises qui emploient des locaux, paient des impôts et génèrent de la richesse. Dans les pays où la main-d'œuvre vieillit, les jeunes réfugiés qui entrent sur le marché du travail complètent leur travail et leur permettent de prendre leur retraite, tout en cotisant à la sécurité sociale ou aux fonds de pension.

Pouvoir travailler et gagner de l'argent, en général, permet aux réfugier de stimuler leur économie de leur pays d'accueil. 

Les réfugiés autorisés à travailler et à entreprendre sont excellents pour une économie, bien plus que les réfugiés qui ne sont pas autorisés à entrer ou à travailler.

Les réfugiés complètent le marché du travail tel dans un Canada à la Justin Trudeau l’ignoble multiculturalisme bénéficie  ses harems de ghettos  envahis par le parti libéral du Canada dans ses girons sous les ordres de gouvernement diabolique et captif des partis politiques au pouvoir voir Philippe d’Arabie Couillard et ses racistes systémiques d’accommodements déraisonnables favorisant les islamistes

Que fait notre porteur d’eau Québécois Philippe Couillard, est-il devenu un réfugié libéral, libertin, au chevet de Justin le pigeon voyageur 

Les réalités complexes du Moyen-Orient en viennent à étouffer nos élans de compassion. Les talibans en Afghanistan ; l’Irak, toujours aussi tourmenté ; la guerre civile en Syrie ; la crise financière au Liban. C’est l’inverse du proverbe : la forêt maintenant cache l’arbre.

Une des pires places, le Liban, où se réfugier ces temps-ci : selon les Nations Unies, le coût du panier d’épicerie a été multiplié par six au cours de la dernière année. On paie pour l’eau, le carburant, l’électricité, les transports et les soins de santé de trois à cinq fois plus que l’an dernier.

Les interminables discussions sur le sort des territoires occupés par Israël font oublier le destin misérable de millions de Palestiniens apatrides, disséminés dans des camps en Jordanie, au Liban et en Syrie.

L’agence de l’ONU relève qu’à la fin de 2021, près de 90 millions de personnes dans le monde avaient été forcées d’abandonner leur ville et village en raison de violences, de crainte de persécutions et de violations des droits de la personne.

DES UKRAINIENS ERRANTS

Nombre de réfugiés ukrainiens en Europe : 7 710 924

Selon les États-Unis, la Russie a déportés de force  900 000 et 1,6 million ont été déportés de force.

Citoyens ukrainiens et résidents permanents canadiens d’origine ukrainienne, rentrés au Canada depuis le début de 2022 : 105 751

Source : Agence des services frontaliers du Canada, 16 octobre 2022 et Justin Trudeau et sa clique étaient présent sur les lieux avec les cartes de membres des partis libéraux Canadiens et à l’endos de ces cartes il est écrit : 

Don’t be afraid we don’t speak French signée  Mary Simon Governor General of Canada and God Bless the King, not Burger King.

LES PALESTINIENS, CES OUBLIÉS

Réfugiés palestiniens au Proche-Orient : 5 703 546


dimanche 23 octobre 2022

Montréal Gangs de rue, cliques, et les lobbys politiques fédéraux et provinciaux qui garnissent les coffres de ces parties ou organisation, Le Fédéral est le seul responsable concernant les armes à feux transitant au pays via les USA avec nos frontières pleureuses

 Montréal Gangs de rue, cliques, et les lobbys politiques fédéraux et provinciaux qui garnissent les coffres de ces parties ou organisation, Le Fédéral est le seul responsable concernant les armes à feux transitant au pays via les USA avec nos frontières pleureuses 

Le lobby des armes à feu prépare sa riposte pour les 18 ans et plus

Le lobby canadien des armes à feu est prêt à se mobiliser contre la décision d'Ottawa de bannir les armes d'assaut de style militaire.

Le lobbyiste travaille à faire pression auprès des politiciens $$$$$$$$$$$ depuis plus de 10 ans. Son organisation milite pour affaiblir le contrôle des armes à feu parce que, selon lui, les lois en vigueur sont très restrictives.

Un lobby d'influence et bien armé monétairement pour soudoyer nos élus

Même si les pro-armes à feu constituent une « minorité », ils sont très motivés, engagés et politisés, soutient l'enseignant au cégep de Trois-Rivières et associé à la Chaire Raoul-Dandurand, François Langlois, qui étudie les armes à feu.

Ils sont capables de faire passer leur message et ils sont capables de s'insérer dans le processus politique, dit-il.

Le registre des lobbyistes démontre d'ailleurs que la vaste majorité de leurs communications s'effectuent avec des politiciens conservateurs.

Voyons ce que les USA nous exportent gratuitement, bénévolement  leurs violences et racismes Britanniques, anglo-saxons et notre premier ministre du Canada pleurniche à nouveau

Des gangs violents et armés jusqu’aux dents, épidémie de conflits entre gangs de rue à Montréal, dont la mairesse de Montréal en profite pour créer des pistes cyclables et moralise notre police.


Liste non mise à jour pour l’instant

Des cliques et des gangs et autres organisations peu recommandable le parti libéral du Canada (PLC), Parti libéral du Québec, Québec Solidaire (QS), Muslim Association of Canada (MAC) selon certaines sources inconnus et certainement des mauvaises langues ou interprétation linguistique

Zone 43. Gang de rue de Montréal-Nord

Gang de rue de Saint-Michel.


146. Clique d'Ahuntsic, parfois appelée CCL (Christophe-Colomb Louvain) et 

G Baby Gang.

Profit Kollectaz. Gang de rue de Rivière-des-Prairies, parfois appelé PK ou Profit Boyz$.

Les gangs de rue liés à la flambée de fusillades des derniers mois à Montréal ont un « potentiel élevé de violence » et n’ont aucun mal à s’armer pour arriver à leurs fins. 

Après quelques années d’accalmie, le milieu des gangs de rue montréalais est beaucoup plus volatil depuis l’automne 2019.

On observe une « résurgence de conflits internes » dans les deux grandes factions de gangs, tant chez les Rouges que chez les Bleus, selon le Service du renseignement criminel au Québec (SRCQ).

L’agence policière recense quatre gangs dont les noms sont peu connus du grand public, mais que les autorités doivent surveiller. Leurs membres sont réputés pour « détenir des armes à feu » et avoir la gâchette facile.

Deux d’entre eux sont à couteaux tirés dans le nord-est de la métropole, où est concentrée la majorité de la trentaine de fusillades survenues depuis six mois à Montréal, depuis le 9 février dernier.        

On cite d’abord les Profit Kollectaz, aussi appelés PK ou Profit Boy$, basés dans le secteur de Rivière-des-Prairies.        

Ils sont opposés au gang Zone 43, de Montréal-Nord, baptisé en référence à un circuit d’autobus de la Société de transport de Montréal qui traverse ce secteur.                

Tueries à l’américain

 Le 30 janvier dernier, un homme de 26 ans qui serait lié aux Zone 43 a été abattu en face d’un dépanneur situé au coin de la rue Martial et de l’avenue des Récollets, à Montréal-Nord.

Le pare-brise d’une automobiliste atteint par une balle perdue dans le quartier Saint-Henri, le 25 septembre 2020.

C’était d’ailleurs la seconde fois en l’espace de deux ans qu’un jeune se faisait tirer à cet endroit.

Quelques heures plus tard, un autre homme dans la vingtaine en aurait subi les représailles lorsqu’il a été blessé par balles dans le fief des Profit Kollectaz.

Somme toute, on en sait peu sur les PK. Mais les Zone 43 ont commencé à faire parler d’eux en 2013, à la suite d’un crime prouvant que ses membres ne font pas dans la dentelle.

Le 7 septembre de cette année-là, une demi-douzaine de jeunes détenus de la prison de Rivière-des-Prairies, que les services correctionnels reliaient à ce gang, auraient ligoté, ébouillanté et battu à mort un vétéran des Bo-Gars, l’un des plus anciens gangs de rue d’allégeance rouge à Montréal.

Jean Romel Victor, une victime du gang Zone 43, qui est mêlé à des fusillades dans l’est de Montréal.

Jean Romel Victor avait été admis à la prison le jour même. À l’époque, les Rouges étaient divisés par un autre conflit interne entre certains vétérans et des plus jeunes comme les Zone 43.

Dans l’ouest aussi

Le SRCQ fait aussi état de nombreux affrontements au sein des Bleus, l’autre faction des gangs montréalais.

Ces conflits se manifestent surtout dans l’ouest de l’île de Montréal, d’après l’agence de renseignements policiers.

Deux cliques y attirent particulièrement l’attention : Le groupe Longmore-Edwards  et Le groupe Drummond.              

  

Ces clans, identifiés par les noms de famille de leurs leaders présumés et impliqués dans le trafic de stupéfiants, se livrent une interminable guerre de territoire dans les secteurs de LaSalle et de Lachine.

Ponctué de « plusieurs incidents violents », dont des drive-by shootings [fusillades au volant], ce « conflit perdure depuis au moins 2012 », précise le SRCQ.

Osvaldo Pineda Melgar, 26 ans, décrits comme « une relation du groupe Drummond », a notamment été tuée d’une balle à la tête dans son logement de LaSalle en présence de sa conjointe et de leur jeune enfant, le 16 septembre 2019.

Fiche signalétique 

0: Nombre de meurtres reliés aux gangs de rue en 2017 et en 2018 à Montréal.  

5: Nombre de meurtres qui seraient reliés aux gangs de rue à Montréal depuis un an et demi.        

700: Nombre d’armes à feu saisies par le SPVM en 2020.        

443: Nombre de crimes commis avec une arme à feu et répertoriés par le SPVM en 2020 à Montréal, comparativement à 383 en 2019, 

100: Nombre approximatif d’arrestations pour trafic ou possession illégale d’arme à feu par le SPVM en 2020                

Douleur et incompréhension pour ces proches de Meriem Boundaoui qui se sont réunis où l’adolescente de 15 ans a été tuée par balles à Saint-Léonard, le 7 février dernier.

La vague actuelle de violence attribuable aux gangs fait aussi d’innocentes victimes, ce qui n’est pas sans rappeler la guerre des motards au milieu des années 1990.

La mort d’une adolescente de 15 ans, Meriem Boundaoui, tuée en pleine rue par des coups de feu provenant d’une Mercedes, dans le quartier Saint-Léonard, le 7 février dernier, a soulevé l’indignation dans la population. Presque un mois plus tard, les suspects courent toujours.

Par ailleurs, la police envisage aussi la thèse d’une erreur sur la personne pour le meurtre d’un jeune homme de 23 ans abattu à l’intérieur de sa voiture, dans le secteur de Pierrefonds, le 12 juin 2020.

On compte aussi plusieurs cas de balles perdues, comme celle qui a percuté le pare-brise du véhicule d’une femme qui circulait tranquillement dans le quartier Saint-Henri, le 25 septembre dernier. Elle a subi un important choc nerveux.

Sécurité à l’enjeu

La mairesse Valérie Plante et le directeur du SPVM, Sylvain Caron, ont, à leur tour, annoncé la création d’une nouvelle escouade policière à Montréal (ELTA), en décembre, pour lutter contre le trafic d’armes et la hausse des fusillades.

« Les groupes criminalisés restent au cœur de ces évènements violents. On cible des groupes qui sont impliqués dans le trafic de stupéfiants et qui utilisent des armes à feu. L’enjeu central, c’est la sécurité des citoyens »

Mafieux et Hells demeurent très tranquilles et poursuivre leurs activités lucratives aux yeux de tous

Pendant ce temps, c’est le calme plat dans les plus hautes sphères du crime organisé.

 « Tout indique que les hauts dirigeants du crime organisé à Montréal arrivent à formaliser des ententes et à se partager les marchés et les territoires », selon le Service du renseignement criminel du Québec (SRCQ) dans un récent rapport.

Mais les membres des gangs de rue, eux, ont du mal à « se démarquer de leur rôle d’exécutants » des sales boulots qu’ils font pour le compte des motards ou des mafieux, selon le SRCQ. 

Une lutte de pouvoir se dessinerait entre un ambitieux caïd des Rouges et le clan de celui que la police a déjà décrit comme le « parrain » des gangs de rue montréalais, Gregory Woolley.

Le SPVM a saisi autant d’armes à feu en 2020 qu’à l’époque où les gangs de rue constituaient sa « priorité numéro un » et que la violence de ces groupes criminels atteignait son pic.