Nos universités Québécoises et Canadiennes nos pollueurs identitaires de cancres, de branleur, de nullité, de crétin de flemmards tel qua l’université Francophone à Ottawa qui s’aplaventissent devant la nouvelle génération Woke.
Sexologue à l’université vous informe le 13 octobre 2022 et son nom est clavarder par respect à l’intelligence humaine
« À coups de “présomption d’innocence’’, de “hors de tout doute raisonnable’’ ou encore de “fardeau de la preuve’’, les institutions qui sont censées protéger la population ont trop souvent recours à des termes magiques au nom de la vérité juridique pour justifier et banaliser les violences sexuelles commises au sein de notre société.
« Verdict ? Ces institutions se font ainsi les complices de la perpétuation de la culture du viol. »
Vous avez bien lu.
Selon cette dame, qui « évolue en milieu universitaire en sexologie » (donc, qui est instruite et éduquée) NOUS POURRIONS CERTAINEMENT AFFIRMER QU’ELLE EST L’ANUS UNIVERSITAIRE, LES DÉPOTOIRS DES IGNOMINIE DE PERSONNE CHERCHANT LES GLOIRES ET N’AYANT AUCUNE INTELLIGENCE POUR CE FAIRE.
Le fait qu’au Canada, un individu soit présumé innocent jusqu’à ce que la preuve de sa culpabilité soit établie hors de tout doute raisonnable « autorise les agresseurs à jouir en toute impunité de leur pouvoir » et les « encourage à élargir leur éventail de pratiques d’agressions sexuelles » !
Facebook Twitter sont là pour vous juger
Comme à la belle époque des procès des étudiants et Gabriel Nadeau Dubois lors de leurs échecs de printemps misérables en voulant même assassiné Richard Martineau.
Et c’est quoi, cette histoire de « prouver » la culpabilité d’un agresseur ?
Ce n’est pas comme ça qu’on agit en Corée du Nord ? En Iran ? En Arabie Saoudite? En Chine, ancien diplomate Michael Kovrig et l'homme d'affaires Michael Spavor, Lors d’un procès devant trois juges d’une durée de moins de cinq minutes en mandarins prennent les chemins de prisons misérables chinoises et non pas nos prisons Clubs Med du Québec et du Canada détenus en Chine depuis fin 2018, ont été libérés et renvoyés au Canada., Et dans la Russie de Poutine les soldats torturés par leur propre armée ?
Ils étudient dans nos universités et envoient des lettres délirantes au Devoir. Lettres que la rédaction trouve tellement brillantes qu’elle les publie !
C’est bien de sensibiliser les gens aux dangers de l’extrême droite.
Mais il faudrait aussi les sensibiliser aux dangers d’une extrême gauche qui envie les bonnes vieilles méthodes des régimes communistes.
Pierre Elliott Trudeau adorait les dictatures intrigué à propos de Pierre Elliott Trudeau et de ses fils, Alexandre, Sasha et Justin.
Comment des gens qu’on associe à la défense des droits individuels et des libertés fondamentales ont-ils pu éprouver autant d’admiration pour des dictateurs ?
FIDÈLE À FIDEL et Justin lui rend grâce lors de son décès en pleurant son père à La Havane
Prenez un de ses pères et combien de maman ont vos fils ? La cage aux folles gouvernement de Justine à Ottawa.
Dans son livre The Truth bout Trudeau, sorti en librairie cet été, le commentateur politique Bob Plamondon montre à quel point Pierre Elliott Trudeau était fasciné par les dictateurs communistes.
En 1960, alors que des milliers de Cubains assoiffés de liberté bravaient la mer à bord d’embarcations de fortune, Trudeau, lui, a fait le chemin inverse : il a tenté de joindre Cuba à bord d’un canot en partance de la Floride !
(Rappelons qu’en 1960, on a répertorié 631 condamnations à mort, 146 fusillés et 70 000 prisonniers politiques à Cuba.
En 1964, lors d’un voyage à Cuba pour voir son grand pote Fidel, Pierre Trudeau lança à un ami : « Quand on voit des masses de gens se rassembler sous un soleil cuisant afin d’écouter un discours de 90 minutes de Fidel Castro, on se demande pourquoi on a besoin d’élections... »
VIVE L’URSS!
Dans son livre, Bob Plamondon raconte que lors de son voyage en URSS en mai 1971, Trudeau ne cessait de répéter à quel point il admirait le courage des travailleurs soviétiques. La construction de la ville de Norilsk, érigée au beau milieu de la Sibérie, l’impressionnait particulièrement.
Or, cette ville avait été construite par des prisonniers politiques incarcérés dans des goulags !
Et lorsque la Pologne a imposé la loi martiale en 1981 pour écraser le syndicat Solidarité, Pierre Trudeau exprima haut et fort sa sympathie — pas pour les militants anti-communistes qui luttaient pour recouvrer leur liberté, mais pour le régime prosoviétique !
« Nous avons beaucoup à apprendre de l’Union Soviétique », déclara-t-il.
(Pendant ce temps, Ronald Reagan, lui, dénonçait la loi martiale en disant qu’elle plongeait la Pologne « dans la nuit noire de la tyrannie »)
Quelques années plus tard, lorsque le monde entier saluera le courage du dissident soviétique Andrei Sakharov, Pierre Elliott Trudeau, lui, le traitera de « hooligan » (voyou).
Et il déplorera la chute de l’URSS, disant qu’un jour, le monde entier regrettera la disparition de ce grand empire.
Et comme si ce n’était pas suffisant, un an après le terrible massacre de la place Tiananmen, Pierre Trudeau visitera la Chine avec ses enfants, où il sera reçu comme une véritable son fils une véritable rock star de gâteaux aux prunes...
Lorsque Fidel Castro a eu 80 ans, ce fut au tour du fils de Pierre Trudeau, Sasha Trudeau, de s’agenouiller devant le « lider maximo ».
Et pendant cette période Alexandre Trudeau se joignait aux terroristes islamistes en Égypte et demanda à son père le l’aider à sauver un islamiste au Québec des mains de la GRC
« Cet immense intellect, combiné à son physique d’Hercule et à son courage sans égal, font de Fidel le géant qu’il est. Il frise le surhomme », écrivit-il sans la moindre ironie.
Et cette semaine, Justin Trudeau a déclaré devant les caméras de Sun News son « admiration pour le régime dictatorial de la Chine, qui lui permet de prendre un virage économique radical » !!!
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