dimanche 23 octobre 2022

Montréal Gangs de rue, cliques, et les lobbys politiques fédéraux et provinciaux qui garnissent les coffres de ces parties ou organisation, Le Fédéral est le seul responsable concernant les armes à feux transitant au pays via les USA avec nos frontières pleureuses

 Montréal Gangs de rue, cliques, et les lobbys politiques fédéraux et provinciaux qui garnissent les coffres de ces parties ou organisation, Le Fédéral est le seul responsable concernant les armes à feux transitant au pays via les USA avec nos frontières pleureuses 

Le lobby des armes à feu prépare sa riposte pour les 18 ans et plus

Le lobby canadien des armes à feu est prêt à se mobiliser contre la décision d'Ottawa de bannir les armes d'assaut de style militaire.

Le lobbyiste travaille à faire pression auprès des politiciens $$$$$$$$$$$ depuis plus de 10 ans. Son organisation milite pour affaiblir le contrôle des armes à feu parce que, selon lui, les lois en vigueur sont très restrictives.

Un lobby d'influence et bien armé monétairement pour soudoyer nos élus

Même si les pro-armes à feu constituent une « minorité », ils sont très motivés, engagés et politisés, soutient l'enseignant au cégep de Trois-Rivières et associé à la Chaire Raoul-Dandurand, François Langlois, qui étudie les armes à feu.

Ils sont capables de faire passer leur message et ils sont capables de s'insérer dans le processus politique, dit-il.

Le registre des lobbyistes démontre d'ailleurs que la vaste majorité de leurs communications s'effectuent avec des politiciens conservateurs.

Voyons ce que les USA nous exportent gratuitement, bénévolement  leurs violences et racismes Britanniques, anglo-saxons et notre premier ministre du Canada pleurniche à nouveau

Des gangs violents et armés jusqu’aux dents, épidémie de conflits entre gangs de rue à Montréal, dont la mairesse de Montréal en profite pour créer des pistes cyclables et moralise notre police.


Liste non mise à jour pour l’instant

Des cliques et des gangs et autres organisations peu recommandable le parti libéral du Canada (PLC), Parti libéral du Québec, Québec Solidaire (QS), Muslim Association of Canada (MAC) selon certaines sources inconnus et certainement des mauvaises langues ou interprétation linguistique

Zone 43. Gang de rue de Montréal-Nord

Gang de rue de Saint-Michel.


146. Clique d'Ahuntsic, parfois appelée CCL (Christophe-Colomb Louvain) et 

G Baby Gang.

Profit Kollectaz. Gang de rue de Rivière-des-Prairies, parfois appelé PK ou Profit Boyz$.

Les gangs de rue liés à la flambée de fusillades des derniers mois à Montréal ont un « potentiel élevé de violence » et n’ont aucun mal à s’armer pour arriver à leurs fins. 

Après quelques années d’accalmie, le milieu des gangs de rue montréalais est beaucoup plus volatil depuis l’automne 2019.

On observe une « résurgence de conflits internes » dans les deux grandes factions de gangs, tant chez les Rouges que chez les Bleus, selon le Service du renseignement criminel au Québec (SRCQ).

L’agence policière recense quatre gangs dont les noms sont peu connus du grand public, mais que les autorités doivent surveiller. Leurs membres sont réputés pour « détenir des armes à feu » et avoir la gâchette facile.

Deux d’entre eux sont à couteaux tirés dans le nord-est de la métropole, où est concentrée la majorité de la trentaine de fusillades survenues depuis six mois à Montréal, depuis le 9 février dernier.        

On cite d’abord les Profit Kollectaz, aussi appelés PK ou Profit Boy$, basés dans le secteur de Rivière-des-Prairies.        

Ils sont opposés au gang Zone 43, de Montréal-Nord, baptisé en référence à un circuit d’autobus de la Société de transport de Montréal qui traverse ce secteur.                

Tueries à l’américain

 Le 30 janvier dernier, un homme de 26 ans qui serait lié aux Zone 43 a été abattu en face d’un dépanneur situé au coin de la rue Martial et de l’avenue des Récollets, à Montréal-Nord.

Le pare-brise d’une automobiliste atteint par une balle perdue dans le quartier Saint-Henri, le 25 septembre 2020.

C’était d’ailleurs la seconde fois en l’espace de deux ans qu’un jeune se faisait tirer à cet endroit.

Quelques heures plus tard, un autre homme dans la vingtaine en aurait subi les représailles lorsqu’il a été blessé par balles dans le fief des Profit Kollectaz.

Somme toute, on en sait peu sur les PK. Mais les Zone 43 ont commencé à faire parler d’eux en 2013, à la suite d’un crime prouvant que ses membres ne font pas dans la dentelle.

Le 7 septembre de cette année-là, une demi-douzaine de jeunes détenus de la prison de Rivière-des-Prairies, que les services correctionnels reliaient à ce gang, auraient ligoté, ébouillanté et battu à mort un vétéran des Bo-Gars, l’un des plus anciens gangs de rue d’allégeance rouge à Montréal.

Jean Romel Victor, une victime du gang Zone 43, qui est mêlé à des fusillades dans l’est de Montréal.

Jean Romel Victor avait été admis à la prison le jour même. À l’époque, les Rouges étaient divisés par un autre conflit interne entre certains vétérans et des plus jeunes comme les Zone 43.

Dans l’ouest aussi

Le SRCQ fait aussi état de nombreux affrontements au sein des Bleus, l’autre faction des gangs montréalais.

Ces conflits se manifestent surtout dans l’ouest de l’île de Montréal, d’après l’agence de renseignements policiers.

Deux cliques y attirent particulièrement l’attention : Le groupe Longmore-Edwards  et Le groupe Drummond.              

  

Ces clans, identifiés par les noms de famille de leurs leaders présumés et impliqués dans le trafic de stupéfiants, se livrent une interminable guerre de territoire dans les secteurs de LaSalle et de Lachine.

Ponctué de « plusieurs incidents violents », dont des drive-by shootings [fusillades au volant], ce « conflit perdure depuis au moins 2012 », précise le SRCQ.

Osvaldo Pineda Melgar, 26 ans, décrits comme « une relation du groupe Drummond », a notamment été tuée d’une balle à la tête dans son logement de LaSalle en présence de sa conjointe et de leur jeune enfant, le 16 septembre 2019.

Fiche signalétique 

0: Nombre de meurtres reliés aux gangs de rue en 2017 et en 2018 à Montréal.  

5: Nombre de meurtres qui seraient reliés aux gangs de rue à Montréal depuis un an et demi.        

700: Nombre d’armes à feu saisies par le SPVM en 2020.        

443: Nombre de crimes commis avec une arme à feu et répertoriés par le SPVM en 2020 à Montréal, comparativement à 383 en 2019, 

100: Nombre approximatif d’arrestations pour trafic ou possession illégale d’arme à feu par le SPVM en 2020                

Douleur et incompréhension pour ces proches de Meriem Boundaoui qui se sont réunis où l’adolescente de 15 ans a été tuée par balles à Saint-Léonard, le 7 février dernier.

La vague actuelle de violence attribuable aux gangs fait aussi d’innocentes victimes, ce qui n’est pas sans rappeler la guerre des motards au milieu des années 1990.

La mort d’une adolescente de 15 ans, Meriem Boundaoui, tuée en pleine rue par des coups de feu provenant d’une Mercedes, dans le quartier Saint-Léonard, le 7 février dernier, a soulevé l’indignation dans la population. Presque un mois plus tard, les suspects courent toujours.

Par ailleurs, la police envisage aussi la thèse d’une erreur sur la personne pour le meurtre d’un jeune homme de 23 ans abattu à l’intérieur de sa voiture, dans le secteur de Pierrefonds, le 12 juin 2020.

On compte aussi plusieurs cas de balles perdues, comme celle qui a percuté le pare-brise du véhicule d’une femme qui circulait tranquillement dans le quartier Saint-Henri, le 25 septembre dernier. Elle a subi un important choc nerveux.

Sécurité à l’enjeu

La mairesse Valérie Plante et le directeur du SPVM, Sylvain Caron, ont, à leur tour, annoncé la création d’une nouvelle escouade policière à Montréal (ELTA), en décembre, pour lutter contre le trafic d’armes et la hausse des fusillades.

« Les groupes criminalisés restent au cœur de ces évènements violents. On cible des groupes qui sont impliqués dans le trafic de stupéfiants et qui utilisent des armes à feu. L’enjeu central, c’est la sécurité des citoyens »

Mafieux et Hells demeurent très tranquilles et poursuivre leurs activités lucratives aux yeux de tous

Pendant ce temps, c’est le calme plat dans les plus hautes sphères du crime organisé.

 « Tout indique que les hauts dirigeants du crime organisé à Montréal arrivent à formaliser des ententes et à se partager les marchés et les territoires », selon le Service du renseignement criminel du Québec (SRCQ) dans un récent rapport.

Mais les membres des gangs de rue, eux, ont du mal à « se démarquer de leur rôle d’exécutants » des sales boulots qu’ils font pour le compte des motards ou des mafieux, selon le SRCQ. 

Une lutte de pouvoir se dessinerait entre un ambitieux caïd des Rouges et le clan de celui que la police a déjà décrit comme le « parrain » des gangs de rue montréalais, Gregory Woolley.

Le SPVM a saisi autant d’armes à feu en 2020 qu’à l’époque où les gangs de rue constituaient sa « priorité numéro un » et que la violence de ces groupes criminels atteignait son pic.


Aucun commentaire:

Publier un commentaire