mercredi 12 octobre 2022

Justin Trudeau le petit PETTE illusionniste machiavélique à percussion et l’image sa beauté rocambolesque schizophrène farfadet un feu follet sur le point de s’éteindre.

 Justin Trudeau le petit PETTE  illusionniste machiavélique à percussion et l’image sa beauté  rocambolesque schizophrène farfadet un feu follet sur le point de s’éteindre.


Puis que le petit Pette¸ Justin la molécule de l’imagerie , issu de la bourgeoisie du côté de sa mère anglophone, qu’il adorait, avait un père canadien-français socialement parvenu grâce à ses talents d’homme d’affaires, qui lui ont permis de devenir multimillionnaire tout en vendant et sacrifiant ses compatriotes pour parvenir au sommet des hiérarchies du Canada Britannique et plusieurs autres judas Francophones et Québécois ayant des visions multiculturalistes exempt de culture française, son unique boulet aux pieds.

Pugnace, arrogance, simpliste, unique que l’on pourrait certainement s’en passé comme représentant d’un pays sur l’échiquier international

Justin c’est l’enfant prodigue, un marchand de sable est un personnage du parti libéral islamiste du Canada, chargé de nous d'endormir sous ses mensonges interminablement vocalisé d’une silhouette d’un frêle roseau  qui se plient à tous vent. 

Justin charmeur reptilien

Justin Trudeau, lui, est devenu un boxeur habile. On se souvient de son combat en avril 2012 contre le sénateur autochtone, Patrick Brazeau, qu’il a mis K.-O. technique au troisième et dernier round d’un combat pour une bonne cause, la lutte contre le cancer. 

En 2022, on imagine difficilement le premier ministre Justin Trudeau livrer un pareil combat contre un Autochtone.

Justin Trudeau a voulu marquer l’anniversaire d’un de ses enfants, qu’il a pris comme prétexte pour récidiver en matière de défi.

Avec deux de ses enfants, il a réalisé l’exploit de faire le plus haut saut en bungee à partir de la plateforme de 200 mètres d’altitude, la plus haute au pays, appartenant à la société du Great Canadian Bungee.

Devant les caméras, Justin Trudeau, qui aura cinquante ans le jour de Noël, s’est lancé, tête première dans le vide, en poussant un cri primal, pour rebondir ensuite sous les hourras des spectateurs restés sur le plancher des vaches.

On comprend que le père ait voulu transmettre à ses deux enfants son propre héritage paternel. 

Mais pour le chef du  Parti libéral du Canada (PLC), qui se retrouve à la tête d’un gouvernement minoritaire pour la seconde fois, il est légitime de se demander si cette recherche d’émotions ne lui fait pas oublier l’ennui qu’il ressent de gouverner depuis la pandémie.

Ayons nous tous, peuple de moutons le courage d’idolâtrer notre premier ministre qui parcours les mers et déserts pour accompagner tout son peuple dans les grâces qu’il lui est chers en y ajoutant une dette nationale de plus de milles milliards de dollars en déficit supplémentaire à la dette du pays..

Après avoir distribué l’argent public, dont la fameuse prestation canadienne d’urgence de 1250 $ par mois aux étudiants universitaires durant les mois d’été, qui a provoqué des remous dans l’opinion publique, la gestion de la pandémie en a pris pour son rhume.

Justin notre fanfan Dédé

La gouverne actuelle du Canada semble désormais ennuyer le premier ministre à la recherche de nouvelles causes et d’actions qui le valoriseront. Cette dernière fanfaronnade juvénile procure certes à Justin Trudeau des sensations fortes du genre dont n’ont pas besoin les citoyens canadiens.

Considérant qu’il poursuit les œuvres de son père de détruire le Québec et le Canada en nous noyant avec les immigrations et cultures antihumaines

La majorité a déjà suffisamment le sentiment de vivre au-dessus du vide. Elle a besoin d’être rassurée et non d’être amusée par celui qui la gouverne.

Il y a chez Justin Trudeau un côté adolescent qui a perdu de son charme. 

Il n’est plus la star d’Hollywood que tout le monde s’arrachait.  Il est à l’agonie et ses derniers soupirs politiques puisque le parti conservateur du Canada lui rendra une vie difficile et inacceptable pour un parvenu de la sorte.

Si j’étais le premier ministre du Canada, présentement je démissionnerais et ferais mais valises.  Sachant qu’il est connu comme notoriété publique mondiale, il pourrait recycler sa carrière avant de connaitre les malheurs de politiciens déchus. Peut-être les flammes olympiques lui ouvriront des portes vers les gloires les plus majestueuses de l’image d’un grand homme, prédicateur ambitieux

La vie actuelle n’est pas amusante et l’intolérable légèreté de Justin Trudeau le politicien est  décevante, espérons qu’il ne fasse pas des montées de testostérones, au bord du suicide, on pourra jamais s’en remettre. 


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