Justin Trudeau gouverne avec des fous fanatisés qu’ont pris tous les contrôles de l’asile et s’étant accouplé de racailles, s’ajoutant Marc Garneau vomissant sur le Québec

 Justin Trudeau  gouverne avec des fous fanatisés qu’ont pris tous les contrôles de l’asile  et s’étant  accouplé de racailles, s’ajoutant Marc Garneau vomissant sur le Québec

Les commentateurs s’enflamment : serait-ce le début de la fin pour Justin Trudeau ? Espérons que oui et nous savons tous que  Pierre Poilievre chef du parti conservateur du Canada gouvernera avec les mêmes buts de Justin Trudeau pour ne pas froisser les élites Britanniques racistes Anglo-Saxons

Rebellions au sein des asiles de fous du parti libéral du Canada

La question n’est pas tant soulevée parce que les problèmes s’accumulent pendant que Trudeau, lui, n’en a que pour « l’islamophobie » et vous voyez son quotient intellectuel de - 40C.

Il n’y a rien de nouveau dans son détachement des préoccupations ordinaires des gens.

La question est surtout soulevée parce que des députés de son propre parti refusent maintenant de lui obéir, ne craignant plus ses foudres, comme s’ils le savaient sur son départ.

À Ottawa, un comité parlementaire étudie le projet de loi visant une refonte de la Loi sur les langues officielles.

C’est un projet de loi présenté par le gouvernement Trudeau lui-même.

Emmanuella Lambropoulos

Trois députés libéraux, en rébellion contre leur propre parti, trois députés qui ne sont pas des membres officiels de ce comité, y ont fait irruption pour tenter de faire dérailler le train lancé par leur parti.

Rien de surprenant dans les grossièretés proférées par la députée de Saint-Laurent, Emmanuella Lambropoulos, une habituée des niaiseries et des provocations, selon qui les anglophones ne peuvent se faire soigner dans leur langue.

Le député de Saint-Laurent Lambropoulos propose de quitter le comité des langues officielles

La version originale de cette histoire rapporte à tort que la députée libérale Emmanuella Lambropoulos a déclaré lors d'une réunion d'un comité de la Chambre des communes que l'idée que la langue française est en déclin au Québec est un «mythe». En fait, elle a dit qu'elle ne voulait pas appeler l'idée un mythe, mais qu'elle voudrait voir des preuves avant d'y croire.

Suite à une réaction violente sur les réseaux sociaux, Lambropoulos est depuis revenu sur sa question et a publiquement avoué son "insensibilité".

Cela dit, il n'est pas illégitime de s'interroger sur les manières dont la langue française est actuellement en déclin au Québec. Et malgré ce que certains experts tabloïdes et politiciens voudraient nous faire croire, les réponses sont complexes.

Anthony Housefather

Rien de surprenant non plus dans les stupidités lancées par le député Anthony Housefather, de Mont-Royal, qui met sur le même pied les anglophones du Québec et les francophones du reste du Canada.

Le député de Mont-Royal, Anthony Housefather, a récemment repoussé avec passion aux Communes le dépôt par le Bloc Québécois de Mirabel Simon Marcil d'un projet de loi visant à faire appliquer la Charte de la langue française du Québec au travail fédéral au Québec.

Housefather a fait valoir que cela réduirait les droits des Québécois anglophones de travailler dans leur propre langue pour le gouvernement fédéral.

Marcil avait proposé le projet de loi C-420. « Au Québec, le français est la langue du travail, de la culture et de la politique », a déclaré le député bloquiste. 

« C'est notre langue commune, et ce devrait être la langue utilisée partout, y compris dans les secteurs régis par Ottawa... Ces organisations sont au Québec, où la langue commune est le français. Aimez-le ou détestez-le, notre langue est le français. 16 février

Anthony Housefather a aussi a une longue feuille de route d’outrances dans le domaine linguistique, qui remontent à l’époque où il dirigeait Alliance Québec.

Marc Garneau remporte la pomme à pommeau d’or par ses accusations

Mais c’est le cas de Marc Garneau qui est le plus spectaculaire en expliquant en Anglais comment il déteste les Francophones et Québécois.

M. Garneau a beau être député de Notre-Dame-de-Grâce–Westmount, c’est un francophone de naissance.

Marc Garneau prouve que les Canadiens ne veulent pas de candidats intelligents avec de bonnes idées

Pourquoi choisir un astronaute avec un doctorat en génie électrique et une mallette pleine d'idées politiques alors que le Parti libéral peut avoir le bloc-notes vide de Justin Trudeau?

Comme les experts semblent toujours nous le rappeler, la politique canadienne est dans un  occupé par des malades mentaux, l’asile Libérale Canadienne est désolant état. 

La période des questions est un théâtre capricieux de l'absurde. Les députés se tirent dessus à bas prix sur Twitter. Les politiques gouvernementales sont créées sous forme de communiqués de presse populistes, avec les détails remplis plus tard. 

À Marc Garneau où, oh où, demandent sans cesse James Andrew Coyne, chroniqueur du globe mail, Toronto qui sont ces hommes et ces femmes compromettant, dommageable pour une démocratie, funeste, nocif, nuisible, préjudiciable, redoutable menteurs toxique traite dangereux qui placent la politique d'abord en anéantissant la nation et peuple Québécois leurs compatriotes tout en  proclamant  le Québec Bashing comme étant du multiculturalisme de la TrudeauFolie.

Au nom, dit-il, de la défense de la minorité anglophone, il s’est insurgé, en anglais seulement, contre le fait que le projet fédéral mentionne tout simplement l’existence de la Charte de la langue française, ce qui n’est qu’un fait.

M. Garneau veut se conformer à l’image que les anglophones voient de lui dans le miroir qu’ils lui tendent.

Il va même plus loin que beaucoup d’entre eux. Il se veut plus « angryphone » que les anglophones.

Il en donne plus ce que le client en demande, sur le dos des siens, sans s’apercevoir que beaucoup d’anglophones, après la tape sur le dos pour ses beaux efforts, le méprisent comme on méprise un domestique.

Il ne se contente pas, comme tout bon colonisé, de connaître sa place et de s’y tenir.