mardi 14 février 2023

L’honorable Justin Trudeau Messieurs. Douglas Agyeh voleur M. Sherief Ishac-Sorial, pédophile, ainsi que M.Uchenna Ebigbo agresseur sexuel nous vous remercions de nous faciliter via votre chemin Trudeau Roxham v

L’honorable Justin Trudeau Messieurs Douglas Agyeh violeur, M. Sherief Ishac-Sorial, pédophile, ainsi que  M. Uchenna Ebigbo agresseur sexuel nous vous remercions, de nous faciliter la tâche, nous criminels via le chemin Trudeau Roxham pour coloniser le Québec 



Douglas Agyeh aide-soignant accusé de viol à répétition plus de 23 adolescentes vulnérables dans une école du Massachusetts via le chemin Trudeau Roxham  direction Montréal - Un grand merci à l’honorable Justin Trudeau d’accueillir des réfugiés criminels 

Douglas Agyeh et fait maintenant face à l’extradition sauf si l’honorable premier y fait objection de son Black face.

«Il y a 23 accusations de viols et d’abus sexuels. Il avait reçu l’ordre de remettre son passeport à la cour, son procès était prévu le 30 janvier, mais il a quand même tenté de traverser la frontière deux jours plus tôt», indiquent les autorités américaines dans la demande d’extradition de Douglas Agyeh, déposée ce matin au palais de justice de Montréal.

Agyeh, 43 ans, risquait une longue peine d’incarcération aux États-Unis, advenant qu’il soit reconnu coupable pour les crimes qu’il aurait commis à l’été 2021.

Agyeh un employé de confiance

À l’époque, l’accusé travaillait comme aide-soignant dans une école pour filles vulnérables qui ont des problèmes psychiatriques. En plus d’être aide-soignant, il était même considéré comme « employé de confiance », si bien qu’il était autorisé à recevoir les confidences de certaines élèves.

Et c’est justement cette confiance qui lui aurait permis d’abuser de l’une des deux victimes.

«Il lui donnait toujours un regard sale avant de la toucher, c’est comme ça qu’elle savait ce qu’il allait faire», peut-on lire dans la demande d’extradition.

Agyeh aurait ainsi agressé l’adolescente de 15 ans pendant deux mois, forçant sur elle des gestes sexuels violents et dégradants. Une deuxième victime aurait également été agressée sexuellement, soit dans une salle de lavage, soit dans sa propre chambre.

Mais ce que l’aide-soignant semblait ignorer, c’est que l’école était munie de nombreuses caméras de surveillance, si bien que certains gestes ont pu être captés sur vidéos. 

Fuite par le chemin Trudeau Roxham

Dès que l’école a vu les gestes, une plainte a été déposée à la police. Arrêté le jour même, Agyeh a toutefois pu recouvrer sa liberté sous plusieurs conditions, dont celle de rester aux États-Unis. Or, même si son passeport a été confisqué, ça ne l’a pas empêché de tenter de fuir, à deux jours de son procès.

Et selon les informations obtenues par Le Journal, il a décidé de traverser la frontière en passant par le chemin Roxham. Les autorités américaines étaient toutefois déjà à ses trousses, si bien qu’il a pu être rapidement arrêté.

Il est présentement détenu au centre de détention de Rivière-des-Prairies, 

Comme il n’a pas de statut légal au Canada, Agyeh pourrait être renvoyé dans son pays natal, qui n’a pas de traité d’extradition avec les États-Unis. C’est pour cela que les autorités américaines ont déposé une demande d’extradition en toute urgence, afin de s’assurer de pouvoir juger l’accusé.

Pédophile via le chemin Trudeau Roxham un gros merci à Justin Trudeau d’accueillir les pédophiles

Sherief Ishac-Sorial  le présumé pédophile recherché depuis 12 ans aux États-Unis a finalement été arrêté au Québec, où il a refait tranquillement sa vie en obtenant même sa résidence permanente. 

« Il habitait dans un bloc-appartements à Pierrefonds. Les services d’immigration prévoient maintenant lui retirer sa résidence permanente », peut-on lire dans la demande d’extradition concernant Sherief Ishac-Sorial.

L’homme de 41 ans a été arrêté jeudi par la Gendarmerie royale du Canada, à la demande des autorités américaines. 

Or, s’il semblait mener une vie rangée dans l’ouest de l’île de Montréal, il était toutefois recherché depuis plus d’une décennie en Ohio, où il est accusé en lien avec de la pornographie juvénile.

C’est qu’en 2008, des enquêteurs ont découvert qu’un internaute avait téléchargé des vidéos explicites d’enfants en train de se faire violer par des adultes. 

Grâce à leurs moyens technologiques, ils n’ont pas eu de mal à retracer Ishac-Sorial, qui habitait seul dans un petit appartement à Cleveland. 

Lors de son interrogatoire, le suspect n’a rien nié. À la place, il a plutôt tenté de faire croire qu’il n’y avait rien de mal à regarder des enfants se faire abuser sexuellement.

« Il a ajouté qu’il n’était pas familier avec les lois américaines », peut-on lire dans la demande d’extradition.

Faux noms

Ses excuses n’ont évidemment pas fonctionné puisque juste après, il était accusé, puis déclaré coupable en lien avec la pornographie juvénile.

Or, il a ensuite demandé de changer son plaidoyer, ce qui lui a été accordé. Et en échange d’une caution de 10 000 $, un juge a accepté de le libérer en attendant son procès, qui était prévu pour mai 2010. 

C’est à ce moment qu’Ishac-Sorial a pris la poudre d’escampette.

Et si les autorités américaines ne l’avaient jamais retrouvé, c’est parce qu’il a réussi à venir s’installer au Québec.

Le fait qu’il utilisait des variations de son nom, tel que Sherief Wafik Boules Ishac, pourrait l’avoir aidé à cacher son statut de fugitif. Il a ainsi pu cheminer dans son processus d’immigration, jusqu’à son arrestation, jeudi.

Plutôt que de renvoyer Ishac-Sorial en Égypte, son pays natal, les Américains veulent qu’il fasse un détour par chez eux afin de le juger. Ishac-Sorial, qui a comparu détenu au palais de justice de Montréal, reviendra ultérieurement à la cour pour la suite des procédures.

Uchenna Ebigbo

Un résident américain qui s’en serait pris à une ado en l’agressant sexuellement s’est terré pendant quatre ans au Québec après avoir réussi à fuir les États-Unis en traversant le chemin Roxham, où il s’est fait passer pour un réfugié.

 «Il a pu entrer au Canada sans son passeport qu’il avait dû remettre au tribunal de l’État de Georgie où il est accusé», peut-on lire dans une demande d’un procureur américain afin de réclamer l’extradition d’Uchenna Ebigbo.

Ebigbo, 37 ans, est depuis 2018 un résident de Saint-Hubert, sur la Rive-Sud de Montréal. Bien installé dans un quartier résidentiel, il était en attente d’un statut de réfugié.

Sauf qu’aux États-Unis, il était recherché pour des contacts sexuels qu’il aurait commis en 2017 dans l’État de Géorgie. 

Contacts sexuels

À l’époque, il se serait invité chez une adolescente de 14 ans. Profitant de l’absence de la mère, il aurait commis des attouchements sur la victime qui a tenté de le repousser à plusieurs reprises. Ebigbo aurait même poussé la note jusqu’à lui demander qu’ils se prennent en photo ensemble. 

L’adolescente a finalement accepté d’enlacer l’accusé en espérant qu’il s’en aille par la suite. Cela a fonctionné, car Ebigbo est parti. La victime a ensuite appelé sa mère, qui a rapidement contacté la police.

Ebigbo a finalement été arrêté pour être accusé entre autres d’agression sexuelle. Or, à peine libéré sous caution, il s’est enfui au Québec, en passant par le chemin Roxham. Son passeport ayant été confisqué par la cour, il a demandé l’asile en se présentant comme un réfugié.

«Les services frontaliers l’ont libéré sous condition», peut-on lire dans les documents de cour déposés au palais de justice de Montréal.

La demande d’asile d’Ebigbo a été refusée en 2020, mais il a porté le dossier en appel. Entre-temps, les autorités américaines l’ont retrouvé.

Le rapatrier 

Ils veulent maintenant le rapatrier aux États-Unis le plus rapidement possible, car comme il a la citoyenneté du Nigéria, il risque la déportation vers ce pays d’Afrique, qui n’a pas de traité d’extradition avec les États-Unis.

«Si sa demande d’appel [de réfugié au Canada] est refusée, Ebigbo risquerait de déguerpir à nouveau, indiquent les documents américains. S’il fuit pour le Nigéria, il y a peu de chances qu’il puisse être extradé aux États-Unis pour être jugé.»

Ebigbo reviendra au palais de justice de Montréal à une date ultérieure pour son audience d’extradition. II a été libéré sous condition en attendant la suite des procédures.




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