lundi 27 février 2023

Sommes-nous tous fous jusqu’à tuer des innocents lors d’escalades verbales dans nos société occidentales à Montréal, meurtre de Meriem Boundaoui pour une banale chicane de stationnement et Deyver Andres Aguilar Céspedes pour du bruit, et d’Ylles Bessaou

 Sommes-nous tous fous jusqu’à tuer des innocents lors d’escalades verbales dans nos société occidentales à Montréal, meurtre de Meriem Boundaoui pour une banale chicane de stationnement et Deyver Andres Aguilar Céspedes pour du bruit, et d’Ylles Bessaou

Meurtres Meriem Bounda, Andres Aguilar Céspedes et d’Ylles Bessaou

Dans notre monde moderne, l’accélération de nos modes de vie, de se comporter, de réfléchir et même de penser peut nous réserver de très désagréables surprises. La moindre démarche administrative représente désormais un obstacle souvent infranchissable. 

Face à nous, régulièrement des robots au bout du fil, tel que Justin Trudeau nous dictent de faire le 1, le 2 ou le 3, ou plus : nous aurons toujours intérêt à savoir manier nos chiffres.

Meriem Boundaoui

Malgré ces tensions, les représentants des commerces auraient à nouveau tenté de faire la paix le lendemain, prévoyant même une nouvelle rencontre. 

Mais parallèlement, les menaces par téléphone se seraient poursuivies avec des invitations à se battre. 

Moins de 10 minutes plus tard, des coups de feu étaient tirés en direction d’un véhicule où prenait place la jeune Meriem Boundaoui.

Andres Aguilar Céspedes présumé meurtrier

Deyver Andres Aguilar Céspedes, meurtre pour conflit banal  chicane pour bruitaurait tué son voisin il y a deux ans et demi après une querelle qui aurait dégénéré à cause d’une soirée trop bruyante, lors de la fête des Pères.

C’était sombre dans la pièce, et un individu, avait un couteau à la main 

Maxime Bélanger d’homicide involontaire de Maxime Bélanger, 39 ans, le 21 juin 2020.

Ce soir-là, l’homme de 41 ans tenait une petite célébration pour la fête des Pères dans sa cour arrière, 

Selon ce que des résidents avaient confié à l’époque, de la musique et du bruit en provenance de la cour s’étaient fait entendre pendant une douzaine d’heures. 

Les relations étaient également tendues en raison du bruit depuis l’arrivée de la famille Céspedes dans le voisinage, en 2016.

Vers 22 h 30, M. Bélanger, un maçon de profession, ancien militaire et père de famille qui devait se lever tôt pour aller travailler aurait sauté la clôture qui séparait sa cour de celle de son voisin arrière. 

Au fond de la cour, il a difficilement aperçu Céspedes debout, avec un petit couteau à steak à la main, à cause de la noirceur.

 Le couteau qui était dans les mains de l’accusé et le bâton de baseball qui était près de la victime à l’arrivée des policiers, le 21 juin 2020.

Bâton près de lui

Dès lors, le patrouilleur s’est précipité pour porter secours à la victime, qui portait des gants d’hiver noirs, en plein été.

« Quand j’ai levé son chandail, il y avait beaucoup de sang. J’ai pris son pouls. Il n’y avait rien », s’est-il remémoré.

 L’endroit ensanglanté où Maxime Bélanger a été trouvé au sol.

Puis, il a aperçu un bâton de baseball près de la main de l’homme au sol. Il n’a pas encore été dévoilé devant le tribunal à qui appartenait l’équipement de sport.

Une fois à l’hôpital avec M. Bélanger, l’agent a trouvé un exacto dans une poche de son cargo.

Au moins sept coupures dans la toile de la piscine ont d’ailleurs été découvertes sur la scène de crime, mais on ignore à ce stade du procès qui les a faites.

M. Bélanger est décédé au bout de son sang, peu avant minuit. Il aurait entre autres été poignardé entre les côtes.

Ylles Bessaou

Meurtre d’Ylles Bessaou 26 ans a succombé à ses blessures après avoir été poignardé mardi, dans l’arrondissement de Ville-Marie, à Montréal. 

Selon la police, vers 2 h 30, un conflit a démarré entre la victime et deux personnes sur la rue Sainte-Catherine, à proximité de la rue Guy. 

L’homme de 26 ans a alors été blessé possiblement par arme blanche au haut du corps. Transporté à un centre hospitalier, il a finalement succombé à ses blessures, 

La mère d’Ylles Bessaou à la cour cette date me marquera à jamais. Mes cauchemars et flash-back augmentent, mon nœud grossit et à l’année longue, je craindrai la fin d’année

Cette nuit-là, M. Ylles Bessaou se trouvait au centre-ville de Montréal quand son chemin a croisé celui d’Everoy Renaldo Gerald, un vendeur d’héroïne. 

Selon le résumé des faits déposé à la cour, une apparence de dispute serait survenue entre les deux hommes quand Gerald s’est mis à poignarder la victime.

M. Ylles Bessaou s’est effondré au sol, indique le document de cour. L’accusé a alors saisi un couteau au sol et s’est enfui.

Accusation réduite

Everoy Renaldo Gerald, de son côté, a été arrêté une semaine plus tard. Lors de son arrestation, il portait un manteau encore taché du sang de la victime.

Everoy Renaldo Gerald Accusé de meurtre au deuxième degré, il devait subir son procès dans les prochains moins. Everoy Renaldo Gerald a également plaidé coupable à des accusations en lien avec la possession de crack et d’héroïne dans le but d’en faire le trafic.


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