Montréal ville sacrifiée et méconnaissable par nos gouvernements depuis 1980 depuis la dynastie Trudeau et les arrivés des inconnus assujetti aux dérives identitaires de Justin Trudeau

 Montréal ville sacrifiée et méconnaissable par nos gouvernements depuis 1980 depuis la dynastie Trudeau et les arrivés des inconnus assujetti aux dérives identitaires de Justin Trudeau

Nos politiciens nous empoissonnent, nous endorment avec des phrases toutes prêtes fourniront  des synonymes remplies des phrase vident de sens nous prenant pour des concombres ou des valises à emplir.

Le problème ne disparaît pas, ayant une définition plus attrayante aux oreilles et plus acceptable c'est-à-dire la mixité social 

Depuis plusieurs décennies nous avons peur de nommer les choses tel quels sont pour être agréable aux minorités visibles

Le centre-ville de Montréal  depuis les arrivées massives d’immigrants, des mendiants, des réfugiés, avec leurs coutumes et des religions mégalithiques incompatible avec nos mœurs occidentales et notre religion gréco-chrétienne réclame mes des droits que les citoyens de souche non même plus accès car ils ont été remis en main propre par nos politiciens ou nouveaux arrivants. 

Nous serons très bientôt des copies/collé aux  sauces américaines  pays le plus dangereux du monde dans ces cités américaines de riches, de milliardaires côtoyant les pauvres et les sans-abris.

Des clients se font harceler et intimider, des sans-abri agressifs commettent des actes violents, des toxicomanes en manque délirent à voix haute, les jeunes ne se cachent même plus pour consommer leurs drogues

Les commerçants et résidents dans ces quartiers depuis des dizaines d’année se font harcelé par ces vas nu pieds et que les vies paisibles sont devenus mortelles

 Tous les jours c’est de la violence, c’est du vol. On reçoit des insultes. Une fillette a volé une boisson à une cliente qui était à la table d’un resto. 

Tous les matins, c’est à peu près 5 ou 6 seringues que je ramasse ou des petits contenants qui ont chauffé la drogue.

Et la mairesse de Montréal madame Valérie Plante que c’est de bon aloi  pour accomplir la mixité sociale tout  en nivellement la ville de Montréal devenue laide et dangereuse mais notre mairesse vis peut être aussi dans les vapeurs des drogue

Sur Twitter, Madame Plante orgueilleuses de ses politicailleries mesquines invitées Montréalais à continuer de fréquenter les commerces du Village malgré les nombreux problèmes qui accablent le quartier.

Pour la mairesse, te faire agresser dans une ruelle par un miséreux qui a besoin d’argent pour acheter sa dose de crack, c’est contribuer à la « mixité sociale » ! 

Qu’est-ce que tu as dans le visage des crois gammées?

Ricard Martineau nous relate l’expérience aux sauces de Valérie Plante , la soeur sourire vivant  de mixité sociale lorsqu’il qu’il sirotais calmement une bière sur une terrasse près de son travail 

Des maudits sauvages déambulent dans les rues et quartier faisant régner leurs propres lois sans peur que les autorités policières interviennent, de peur d’être filmé  étant raciste.

UTOPIE POLITIQUE

 La mixité est également une utopie au sens d'un lieu qui n'existe nulle part. En effet, la gestion par “bouts” de territoires risque d'avoir pour résultats un déplacement des problèmes et un jeu à somme nulle : pour un territoire mixte, combien de report de ségrégation sur d'autres?

Voyons Madame Valérie Plante vous avez un doigt dans le nez et l’autre ailleurs peu être

Le vocable mixité se retrouve dans de nombreux discours. Les textes législatifs, l’argumentaire développés par des architectes ou urbanistes, des discours politiques y font plus ou moins explicitement allusion. 

Les premiers évoquent par exemple la nécessité de la diversité sociale, comme la Loi d’Orientation pour la Ville  ou, plus récemment, le projet de loi solidarité et renouvellement urbains. 

Les seconds y ont recours pour justifier la pertinence de leurs projets, les derniers pour étayer une gestion consensuelle ou une action publique intéressant la ville. Si la mixité apparaît comme une notion dont l’usage est souvent repris sous la forme d’un mot d’ordre, c’est qu’elle serait un remède miracle, de connotation très légère pour ne pas offenser les Wokes, quasi magique. Et cette mixité sociale ne sert à rien et ne résout rien et ce remède est contre quoi? Veuillez expliquer Madame la Mairesse 

Madame la mairesse, savez-vous que mes consœurs de QUB qui travaillent dans l’émission du matin et qui doivent se pointer au studio alors qu’il fait encore noir possèdent toutes des vaporisateurs de « répulsifs anti-attaque » pour pouvoir se défendre en cas d’agression ?

Le sol du stationnement du coin est jonché de seringues sales. Il y a des excréments humains un peu partout sur la rue Sainte-Catherine. 

Et on voit toutes sortes de personnages louches tourner autour des jeunes comme autant de vautours. Des pushers, des proxénètes des drogués, prostitués, vols, harcèlement, gang de rue.

Montréal de mêmes que plusieurs villes nord-américaines sont devenus des dépotoires au ciel ouvert depuis le années 1980.

C’est la même chose aux coins des rues Milton et du Parc, dans ce qu’on appelle le ghetto McGill. En cinq ans, un quartier qui était autrefois l’un des plus beaux de Montréal est devenu une poubelle.