Dictatures de la Coalition Avenir Québec de François Legault vs les vertus des femmes voilées Iranienne un homme ayant assisté aux manifestations sera décapité à Téhéran sur la place publique conspiration en vue de commettre un crime contre la sécurité nationale, et ennemi de Dieu et corruption sur terre.
Ces autres cultures, et religions et ces déchéances occidentales provenant principalement des États-Unis
Avez-vous noté qu’en Afghanistan, Pakistan, Arabie Saoudite au Qatar en Libye, en Égypte, et autres dictatures démocratique tel que la Chine, la Russie, l’inde ils n’a pas de féministes, de LBGT et des cours du soir personnalisé sur le racisme, sur les mots commençant en N, ou B , ou d’autres lettres ou les gangs de rues qui manifestement dirigent les destinées de Montréal cette belle ville au prise avec des quantités migratoires pourrissant notre culture chrétienne et occidentale.
Nos propres immigrants installés au Québec depuis veulent quitter Montréal pour refaire leurs vies en régions Madame Valérie Cyclable Plante.
Même les immigrants demeurant à Montréal depuis plus de 20 ans et parfaitement intégrer à notre cultures ne se sentent plus chez eux, ici dans ce Montréal devenu une autre ville déchet planétaire. Et ces nouveaux Québécois dès lors décide de déménager en région pour en sortir de cette ville qu’il ne reconnaisse plus de langages, de cultures extrémistes.
Ces migrants depuis plus de 20 ans voulait connaitre un monde meilleure et refaire leur vie, parmi nous tous et nous les avons laissés tombés en accueillant plus de 500 000 immigrants pour remplir les bassins électoraux libéraux au fédéral et provincial
Nos autorités et dirigeants ont succombé et tombé dans les souricières des nouveaux arrivants selon les mesures de notre raciste systémique Philippe D’Arabie et de son conjoint Gabriel Nadeau Dubois.
IRAN TÉHÉRAN, le paradis démocratique de nos féministes Canadiennes et Québécoise aveuglé et sans aucun discernement et le tribunal a condamné à mort dimanche, pour la première fois, une personne accusée d’avoir participé aux émeutes.
Vive la dictature Islamiste
Selon le verdict qui le condamne à la peine capitale, il est jugé coupable «d’avoir incendié un bâtiment gouvernemental, de trouble à l’ordre public, de rassemblement et conspiration en vue de commettre un crime contre la sécurité nationale, et ennemi de Dieu et corruption sur terre», a déclaré l’agence.
Un autre tribunal de la capitale a par ailleurs condamné cinq personnes à des peines d’emprisonnement de 5 à 10 ans pour «rassemblement et conspiration en vue de commettre des crimes contre la sécurité nationale et trouble à l’ordre public».
Il s’agit de tribunaux de première instance et les condamnés peuvent donc faire appel, précise Mizan.
L’Iran est secoué par une vague de manifestations depuis la mort le 16 septembre de Mahsa Amini, une Kurde iranienne de 22 ans, arrêtée trois jours plus tôt par la police des mœurs pour avoir enfreint le strict code vestimentaire de la République islamique.
Iran: Onze personnes inculpées après le meurtre d'un paramilitaire
Onze personnes, dont une femme, ont été inculpées après le meurtre d'un paramilitaire le 3 novembre à Karaj, à l'ouest de Téhéran, lors du 40e jour de deuil suivant la mort d'une manifestante, a annoncé samedi un haut responsable de la justice.
Selon Hossein Fazeli Harikandi, chef de la justice de la province d'Alborz, dont dépend Karaj, cité par Mizan, l'agence de l'Autorité judiciaire, «après la diffusion sur les réseaux de la vidéo et des images d'un groupe d’émeutiers agressant et tuant le Bassidj Seyed Ruhollah Ajamian, une enquête été ouverte pour identifier et arrêter les auteurs de ce crime».
Les Bassidj sont une milice paramilitaire liée aux Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de l'Iran.
«Les émeutiers ont attaqué cet agent de sécurité qui n'était pas armé, l'ont déshabillé, poignardé, frappé avec des poings américains, des pierres et des coups de pied, puis ont traîné son corps nu et à moitié mort sur l'asphalte de la rue et entre les voitures d'une manière horrible», a assuré M. Harikandi.
Après une enquête préliminaire, dix hommes et une femme ont été convoqués et des actes d'accusation ont été émis par le parquet de Karaj, a précisé l'agence.
Parmi les accusations contre ces suspects figurent notamment celle de «corruption sur terre» la plus haute sanction en Iran qui est punie de la peine de mort, graves troubles à l'ordre public ayant entraîné le meurtre du Bassidj, rassemblement avec l'intention de commettre des crimes contre la sécurité du pays et propagande contre le régime.
Les incidents ont eu lieu près du cimetière Behesht Sakineh, au 40ième jour de deuil après la mort de Hadis Najafi, une manifestante de 22 ans tuée lors d'une protestation le 21 septembre à Karaj, à 30 kilomètres à l'ouest de la capitale.
500 Iraniens assassinés pour avoir osé de protester et affronter ce régime religieux despotisme, commis par des policiers et le régime démocratique d’Iran depuis la mort de Hadis Najafi et que nos féministes Canadiennes, Québécoises et de France trouve des vertus pour le port du voile islamique , ironiquement ayant des utilités anales.
Montréal, Ruoholahti Moussavi Khomeini Khomeiny ou Khomeyni, accouplé au premier ministre du Canada
Une citoyenne Irano-Québec effrayée de s’afficher sans voile même au Québec et qu’elle veut s’intégrer à notre culture laïque, égalité des sexes, mode de vie occidentale, et se déchainé des chaines islamiques et Charia
Baharan Baniahmadi régime diabolique islamiste voguant librement sur mon territoire du Québec avec toutes les grâces des chartres des droits et libertés du Canada et du Québec pour détruire nos mœurs et cultures
Même si elle pouvait enlever son voile en public lors de son arrivée au Québec en 2017, l’actrice irano-québécoise Baharan Baniahmadi a mis des années avant d’afficher une photo d’elle sans voile dans la Belle Province, elle qui avait peur des représailles que cela pouvait engendrer auprès de sa famille, qui demeure toujours dans son pays natal.
Mme Baniahmadi a avoué qu’elle craignait que des gens du gouvernement iranien basés au Canada envoient des photos d’elle lors d’une manifestation.
«Vous pouvez imaginer comment j’étais traumatisée et à quel point j’avais peur. Je voulais revoir ma famille et travailler de nouveau en Iran. Si une photo de moi sans voile avait été dévoilée, ma famille aurait pu être en danger»,
L’artiste multidisciplinaire mentionne qu’elle n’avait pas de liberté d’expression dans son pays et que les limitations étaient nombreuses. Pour ces raisons, elle a décidé de quitter son patelin il y a un peu plus de quatre ans, et ce, même si elle avait une carrière établie.
«J’étais tannée de prétendre être quelqu’un d’autre. Si tu portes quelque chose qui n’est pas ton choix, cela veut dire que tu prétends être quelqu’un d’autre, et je ne voulais pas ça», a-t-elle soutenu.
C’est un gouvernement criminel qui va même tuer les enfants.
Les gens vont continuer de protester, d’aller dans la rue. Déjà, nous avons gagné et changé beaucoup de choses. Même les hommes vont supporter les femmes iraniennes», a-t-elle conclu.
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