samedi 19 novembre 2022

Justin Trudeau piège les francophones avec sa nouvelle loi sur les langues officiels des croisades Pierre Elliott Trudeau ouevrant son œuvre de destruction du peuple Français au Canada.

 Justin Trudeau piège les francophones avec sa nouvelle loi sur les langues officiels des croisades Pierre Elliott Trudeau ouevrant son œuvre de destruction du peuple Français au Canada.

Anguilles sous roches et voici le piège de Justin Trudeau dont M. Mario Dumont n’a pas déceler croyant aux vertus des anglo-saxons et de l’élite torontoise

Prendre des vessies pour des lanternes

Les crédules et tous ceux qui ne se fient qu'aux apparences.

Voici Justin avec ses troubles urinaires de vessie

« Prendre des vessies pour des lanternes », c'est se tromper grossièrement, se faire des illusions, être dupé par les apparences 

Mais si l'effet obtenu est proche, la valeur des deux objets n'est pas la même : l'expression renverrait à la crédulité de celui qui, en confondant vessie et lanterne, se laisse abuser par les supercheries du  Parti Libéral du Canada à un mécanicien garagiste à un vendeur des contes absurdes, des balivernes, des récits à faire dormir debout... 

Québec aux prises avec les rats dans les mains des souricières.

Québec, les francophones piéger  par la minorité anglophone du Québec avec cette nouvelle loi sur les langues officielles que Justin Trudeau tient mordicus à faire adopter la nouvelle Loi sur les langues officielles avant Noël. Cette loi porte de moins en moins son nom, puisque l’anglais n’est menacé nulle part sauf au Québec.  

Justin Trudeau n’a jamais présenté de ferventes ouvertures envers les Francophones, et son Père Pierre Elliott Trudeau a toujours considéré les francophones comme des porteurs d’eau nègre aux services des élites britanniques 

Justin Trudeau dans son machiavélique diabolique nous fera passé des vessies pour des lanternes.

Lorsqu’on regarde le portrait d’ensemble, on a vite l’impression que la Loi sur les langues officielles est un barrage en carton pour arrêter un tsunami.  

Incohérence

Malgré l’intérêt que dit manifester le gouvernement Trudeau pour une adoption urgente de la nouvelle loi, les actions de ce gouvernement ne sont pas toutes cohérentes. C’est ce premier ministre qui a procédé à la nomination d’une gouverneure générale qui ne parlait pas français. Un Mensonge digne d’une reine et le symbole n’est pas mince.

Il a aussi procédé à la nomination d’une lieutenante gouverneure qui ne parle pas français au Nouveau-Brunswick, une province qui devrait pourtant avoir un statut bilingue. Le gouvernement Trudeau a même été débouté par un tribunal et il fait appel pour défendre son droit de nommer une personne unilingue anglaise.

Le message semble avoir été compris dans la province. Le premier ministre Higgs vient de nommer l’ancien chef d’un parti politique anti-bilinguisme au Comité de révision de la Loi sur les langues officielles. Les communautés.

Le Devoir a fait un suivi cette semaine sur son dossier de l’an dernier sur la difficulté pour les francophones d’accéder aux plus hautes fonctions du ministère des Affaires étrangères. Malgré quelques efforts, l’anglais semble encore y avoir une place toute prépondérante. Des réunions de haut niveau jusqu’aux systèmes informatiques, les choses se passent en anglais.

Un comité sénatorial a même fait avancer l’idée cette semaine que l’obligation de 

Libéraux fédéraux dans le dossier linguistique veulent supprimer les français du pays.

Dans le discours, dans la loi et la jurisprudence, on les mettait systématiquement (voire systémiquement !) sur le même pied. Bref, en pratiquant un aveuglement volontaire crasse quant à la situation de faiblesse infiniment plus grande, dans le Dominion, du français par rapport à l’anglais. Dans cette logique, aider l’anglais au Québec, c’était aider le français in the «Rest of Canada»...



Déception

Un sort similaire à celui des concepts de « société distincte » et de « nation québécoise ». D’abord refusés, puis reconnus du bout des lèvres. Dans l’esprit du Canada anglais, elles ne doivent jamais avoir aucune espèce de conséquence juridique.

Dans un chapitre percutant de son livre Le Piège des langues officielles, Québec et minorités francophones dos à dos (Septentrion, 498 pages), le docteur en droit linguistique Éric Poirier décortique la loi de Petitpas Taylor : « Du livre blanc à C-32, la proposition s’est éloignée de l’objectif de l’asymétrie. Avec C-13, on s’éloigne encore ».

Comme le naturel, le discours symétrique revint au galop chez Justin Trudeau, en réaction à la loi 96, notamment. Peu surprenant, quand on examine sa députation montréalaise, qui comprend entre autres Anthony Housefather, ancien président d’Alliance Québec, un organisme longtemps financé par Ottawa pour miner la loi 101.

Réveillez-vous mes endormies au chloroforme de nos médias vendus et au service d’Ottawa et de Philippe Couillard et des Jean Chrétien qui nous ont tous vendus pour une mie de pain

Prenons-en de la graine sachant que les anglo-saxons sont les plus racistes mondialement, incluant tous les protestants ne nous accepterons jamais en tant que langue officiel ou peuple voyez l’Apartheid en Afrique du Sud, les colonisations des États-Unis dans toute l’Amérique latine, leurs blocus alimentaires au Liban avec les aides des Britanniques, colonisation de l’Afrique, de l’Asie et les vols des richesses naturelles des pays arabes, musulmans islamistes et les attaques en Iran, en Irak essayant de faire avaler leur démocratie ayant les mêmes fonctions et dimensions des régimes totalitaires, religieux ou communiste.

Croyez-vous une seule seconde que ces lits de vipères de Québec Bashing habituelles cesseront.  Vous êtes tous plus imbéciles que le croyait.

Nous sommes les francophones et Québécois aux mercis des minorités immigrantes de langue habituellement anglaise et de multiple religions et ne voulant s’intégrer au Québec et aux perdants à longs termes.

Les Québécois et francophones du Canada sommes en soin palliatif et notre langue et culture seront remis aux musées avec les autochtones.

Je dois aussi ajouté de ne jamais faire confiance  ou élire un francophone pour devenir premier ministre du Canada,  car il doit faire ses preuves vers les élites anglophones qu’ils nous vendaient tous sans exception 

Pierre Elliott Trudeau vidéo YouTube Just watch me go how I will destroy the Frenchs and Québec

Prime Minister Pierre Trudeau is confronted by the media and responds with perhaps his most famous line. This impromptu CBC-TV interview has become an archives legend. 

En mars 2013, Justin Trudeau, le fils de Pierre Elliot Trudeau, alors qu'il était candidat à la direction du Parti Libéral du Canada, a évoqué la mémoire de son père pendant sa campagne en répétant cette phrase. C'était en réponse à la question d'un autre passager d'avion dans une note manuscrite, demandant à Justin s'il pouvait battre le Premier ministre conservateur Stephen Harper un vrai premier ministre et non pas un saltimbanque  

Le commentaire a suscité une frénésie sur les réseaux sociaux, ainsi que des réactions mitigées de la part de plusieurs commentateurs, dont certains considéraient la citation comme politiquement sensible et risquée au Québec. Deux ans plus tard, Justin Trudeau est devenu Premier ministre du Canada, battant Stephen Harper aux élections fédérales par une marge significative.

Le 12 septembre 2021, Justin Trudeau a déclaré que le chef du Nouveau Parti Terroriste du Canada Socialiste, Jagmeet Singh,  ne pouvait pas s'en prendre aux personnes les plus riches du Canada avec un « zèle illimité », en réponse à la promesse de campagne de son parti de taxer les riches. Singh a répondu sur Twitter par la réplique « Just watch me ».

https://www.youtube.com/watch?v=XfUq9b1XTa0


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