Mes maudits chialeux et baveux ces Québécois de critiquer sans cesse l’annonce, de Monsieur Éric Girard, ministre des Finances, François Legault allait vous offrir un dernier chèque.
«C’est la dernière fois qu’on fait un chèque de la sorte parce que le régime fiscal de l’an prochain a été indexé sur l’inflation de cette année. Il faut se dire que l’inflation va diminuer l’année prochaine par rapport à cette année», a confirmé le ministre
Eric Girard a admis que les raisons pour lesquelles la Coalition Avenir Québec (CAQ) offrait de nouveau des compensations en 2022 se basent sur une prise de décision en fonction «du niveau d’indexation du régime fiscal de cette année qui avait été déterminé avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie et avant l’effet du variant Omicron sur les chaines d’approvisionnement»,
François Legault a gardé parole et mes maudits chialeux de balustrades nommé- moi les noms des premiers ministres ou président sur la planète qui ont tenu promesse pour améliorer nos vies en tant de chialeux planétaire. Sachez que le Québec si on se compare aux autres provinces qui nous envient c’est le paradis malgré ses propres défauts
Les compensations auxquelles des millions de Québécois auront droit sont une mesure que le gouvernement provincial avait déjà dans sa mire au printemps dernier.
«Ça faisait partie de notre plateforme électorale. L’inflation avoisine 7% et c’est pour ça qu’on veut aider les gens à consommer un panier de biens essentiels.»
Rappelons que 71% des Québécois bénéficieront d’une somme de 600$, chèque promis par la CAQ d’ici la fin de l’année, ce qui représente environ 4,6 millions de personnes à travers la province.
«On a des modèles pour mesurer l’impact sur l’inflation. L’effet de cette mesure sur l’inflation est estimé à moins de 0,1%. Les gens qui disent que c’est une mesure qui est inflationniste n’ont pas fait leurs calculs.»
Chose promise, chose due. Un chèque d'un montant de 400$ ou 600$ sera envoyé à quelques 6,5 millions de Québécois d'ici Noël pour «faire face à la hausse du coût de la vie», a confirmé le ministre des Finances, Eric Girard. Voici ce que vous devez savoir sur cette nouvelle aide gouvernementale.
1 Ça ne concerne toute personne dont les revenus n’excèdent pas 104 000 $
Chaque citoyen dont le revenu annuel net (après déductions) est de 50 000$ et moins aura droit à un montant maximal de 600$. Ce montant sera de 400$ pour les personnes dont le revenu annuel se situe entre 50 000$ et 100 000$.
Ce montant de 600$ sera modulé, c'est-à-dire qu'il «diminuera graduellement pour les revenus supérieurs à 50 000 $, pour s’établira à 400 $ à partir d’un revenu de 54 000$», tandis que le «montant de 400 $ diminuera graduellement après 100 000 $ pour s’établir à 0 $ à un revenu de 104 000 $ ou plus.»
6,5 millions de Québécois gagnent moins de 100 000 $ par année, soit 94% des citoyens âgés de 18 ans et plus. De ce nombre, 1,5 million devrait toucher un chèque de 400$, tandis que 4,6 millions de Québécois, au revenu de moins de 50 000$ par année, devraient obtenir un chèque de 600$. Cette mesure est d'un coût de 3,5 milliards $.
2 – Si ça vous touche, vous n’avez rien à faire
Les personnes admissibles doivent résider au Québec, être âgées de 18 ans et plus au 31 décembre 2022 et avoir produit une déclaration de revenus en 2021. Vous avez jusqu'au 30 juin 2023 pour produire votre déclaration de l'année 2021 si vous souhaitez percevoir l'aide ponctuelle.
Si vous êtes éligible, vous n'avez rien de plus à faire: le montant auquel vous avez droit vous sera versé par dépôt direct ou par chèque.
Soyez vigilants : les tentatives de fraude sont fréquentes. Le ministre Girard a rappelé «qu’aucune démarche n’est requise» de la part des citoyens et que «le gouvernement n’enverra aucun message, texto ou téléphone.»
3 – Il s’agit d’un chèque et non pas d’un crédit d’impôt
Contrairement au crédit d’impôt de 500$ octroyé en début d’année, cette nouvelle aide provinciale sera versée sous forme de chèque.
Ainsi, le montant auquel vous avez droit ne sera pas revu à la baisse si vous avez un solde impayé auprès de Revenu Québec.
4 – Le montant devrait atterrir dans vos poches avant les Fêtes
Eric Girard compte envoyer les chèques aux Québécois «dès la fin novembre».
Par ailleurs, le gouvernement ne compte pas revoir les montants des chèques compte tenu de la récente hausse du taux directeur. Des impacts notables peuvent se faire sentir sur les hypothèques à taux variables des ménages et parallèlement, sur les dépenses de la vie quotidienne.
Le ministre des Finances, Eric Girard, reste d’avis que ces montants sont «appropriés» dans le contexte économique actuel.
Plus de détails sur l'envoi des chèques seront connus lors de la mise à jour économique du gouvernement du Québec, le 8 décembre prochain.
Baisse d’impôts François Legault tiendra-t-il parole malgré les jambettes, de croc-en-jambe d’Ottawa et de élites de Toronto
Le Bouclier anti-inflation est le plan phare de la CAQ. Dépendamment de votre condition économique, il prévoit plusieurs allègements fiscaux pour lutter contre l’inflation.
La baisse progressive des impôts est l’une de celles-ci. Le chef de la CAQ, François Legault, propose de réduire l’impôt de 1% sur les deux premiers paliers d’imposition en 2023, soit pour les revenus allant jusqu’à 92 580$.
Concrètement, cela signifie une économie de 329$ pour un revenu imposable de 50 000$, et de 629$ pour un revenu de 80 000$.
La CAQ réduirait ensuite le taux d’imposition de ces deux premiers paliers de 0,25% par année jusqu’en 2032, ce qui mènerait à une réduction totale de 2,5%. Cette mesure coûterait 7,4 milliards $ dans un premier mandat.
Ultimement, un contribuable québécois épargnerait chaque année à partir de 2032:
169$ pour un revenu de 30 000$
682$ pour un revenu de 50 000$
1479$ pour un revenu de 80 000$
1979$ pour un revenu de 100 000$
Envoi d’un chèque individuel
Autre mesure du Bouclier anti-inflation: la CAQ a promis d'envoyer un chèque unique aux Québécois et aux Québécoises qui ont des revenus de moins de Cent mille dollars (100 000$) par an.
Plus précisément, 600$ seraient envoyés aux personnes qui gagnent moins de 50 000$, et 400$ à ceux qui font entre 50 000$ et 100 000$. Cette mesure coûterait 3,5 milliards $ à l’État québécois.
Cette proposition est comparable au crédit d’impôt de 500$ accordé à tous les contribuables par le gouvernement de M. Legault pour combattre l’inflation galopante au printemps dernier.
Crédit d’impôt pour les aînés
Un allègement fiscal est prévu pour les personnes âgées de 70 ans ou plus qui ont un faible revenu. Dans le but d'affronter l’inflation, le crédit d’impôt pour les aînés passerait de 411$ à 2000$ par an pour les personnes ayant un revenu de moins de 24 195$. Ce crédit d’impôt serait modulable selon le revenu jusqu’à un maximum de 64 195$.
«Évidemment, ceux qui sont moins riches ont besoin de plus d’aide que ceux qui sont plus riches. Donc, je pense que c’est équitable», a expliqué M. Legault lors de la présentation de cette mesure à la fin du mois d’août.
Le coût de cette mesure est estimé à 6,4 milliards $ au cours du prochain mandat.
Une hausse de 3% maximum pour les tarifs gouvernementaux
Pour éviter que les tarifs gouvernementaux soient affectés par l’inflation, la CAQ souhaite limiter la hausse des services de l’État québécois à 3%.
Ainsi, la hausse des tarifs d’Hydro-Québec sera limitée à ce chiffre, tout comme les droits de scolarité, le permis de conduire et les frais d’immatriculation.
Selon les dernières données de Statistique Canada, l’inflation a commencé à ralentir en août pour s’établir à 7%, alors qu’elle était de 7,6% en juillet.
Dans le cadre financier de la CAQ, le parti estime que cette mesure coûtera 2,2 milliards $ sur quatre ans.
Une bourse de 2000$ pour des métiers professionnels
Si vous prévoyez changer de carrière, cette mesure pourrait peut-être vous intéresser.
Pour combler la pénurie de main-d’œuvre, un gouvernement caquiste créerait des programmes dans les neufs domaines professionnels suivants, jumelés à une bourse de 2000$: l’assistance des personnes en résidence privée pour aînés, le service de garde en milieu scolaire, la charpenterie-menuiserie, le soutien informatique, l’électromécanique de systèmes automatisés, le dessin de bâtiment, l’électricité, le montage de lignes électriques et de télécommunications et le soudage-montage.
Le parti estime que cette mesure générerait 30 000 nouveaux diplômés.
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