dimanche 6 novembre 2022

Elon Musk propriétaire de Twitter rétablit les libertés d’expressions  perdues depuis plusieurs décennies

Elon Musk propriétaire de Twitter rétablit les libertés d’expressions  perdues depuis plusieurs décennies.















Parce que depuis l’annonce de l’achat de Twitter par Elon Musk, une partie importante de la classe médiatique a déchiré la sienne pour marquer publiquement son indignation du NOUVEAU POLITIQUEMENT CORRECT. 

Censure et injustice sur les réseaux sociaux n’en peut plus d’exprimer son dégoût et exprime à voix haute son désir de quitter ce réseau social. 

Pourquoi? Parce qu’Elon Musk entend y restaurer de manière maximale la liberté d’expression, en rompant avec la logique de censure aussi chez Facebook et autres médias écrits ou électroniques de propagandes pré établie par certaine classe politique influent lobbys, et influence et coordonne nos valeurs à leur valeur tout en nous dénigrant, élimant nos libertés nos  ancêtres et leurs courages nos histoires ancestrales avec les bons et mauvais côtés et salissant AUJOURD’HUI nos propres histoires centenaires, nos civilisations antérieurs en réinscrivant le passé et le sortir des contextes de l’époque. 

Réécrire la découverte, l’histoire du Canada  et de la Nouvelle-France et les envahisseurs Anglais, qui tuaient allégrement les francophones et les indiens pour la gloire de la Monarchie Britannique. 

Mais ces gens se méfient de la liberté d’expression. Ils y voient le cache-sexe du discours haineux et de la désinformation. 

Qu’est-ce qu’un discours haineux dépendant de qui ou quelle personne ou organisme qu’il viennent?

Pour nos progressistes, un discours haineux est un discours qui s’oppose à la moindre revendication associée à ceux qui prétendent parler au nom des «minorités». 

Mais on peut inverser l’argument: nos élites médiatiques ne sont-elles pas haineuses lorsqu’elles assimilent à «l’extrême droite» toute forme de désaccord idéologique frontal? De même, quand on assimile le refus de l’idéologie multiculturaliste à la xénophobie, ou la défense du caractère insurmontable de la dualité homme-femme à de la transphobie, est-ce qu’on ne verse pas dans un discours haineux? 

Racisme et xénophobie

L’enjeu sémantique particulier réside dans les usages et la comparaison des notions de racisme et de xénophobie. 

Dans les médias de masse et réseaux sociaux, comme si le terme plus ancien et plus utilisé de « racisme » subissait une euphémisation de son sens à mesure où disparaissent les idées relatives aux fondements biologiques de la race. On parle ainsi de « racisme culturel » ou de « racisme anti-jeunes » comme par métaphore évoquant une différenciation symbolique comparable à celles qui existèrent dans les croyances biologiques sur la race et perdurent parfois avec celles-ci.

Le racisme pourtant apparaît comme un ensemble sémantique et idéologique distinct de la xénophobie : ancré dans les croyances relatives aux relations entre l’intellect, le psychisme et les différences physiologiques d’abord celles liées au sexe puis à la couleur de peau. Dans la culture politique européenne, le racisme fut, par le passé, l’objet de théorisations savantes, souvent liées aux couleurs de peau, plaçant généralement les BLANCS au-dessus des NOIRS. Ces théories ont induit, même au-delà de leur culture d’origine, des hiérarchies symboliques corrélées aux degrés de blancheurs ou noirceurs des peaux, ce que l’on nomme le colonialiste.

Du racisme, Albert Memmi donne la définition suivante : « le racisme est la valorisation, généralisée et définitive, de différences biologiques, réelles ou imaginaires, au profit de l'accusateur et au détriment de sa victime, afin de justifier une agression ». 

Par contraste, la notion de xénophobie évoque moins d’organisation systématique de la violence symbolique et physique ; comme si elle était plus floue et plus diffuse, au moins tant qu’elle ne se transforme pas en une forme de conflictualité radicale qui deviendrait autre chose, du racisme, Francophobie  et  Québec bashing

De nos jours cette maladie médiatique décide de votre sexualité.

Les mâles et femelles, les pères les mères sont disparues et n’existent pas mais bien une conception du male alpha selon Justin Trudeau et nous tous nous nous demandons de quel genre est-il?

Rectitude politique des désinformations en France en ce moment.

L’été dernier, une polémique a secoué nos cousins. Le planning familial, une association féministe devenue woke, a publié une affiche tenant pour acquis qu’un homme peut être enceinte tel qu’une femelle.  Et bien Oui voir Gabriel Nadeau Dubois allaitant son bébé de son propre sein à l’Assemblé National

On l’aura compris, cette association, soutenue par le gouvernement français, croit que le fait qu’une femme biologique décide de s’identifier comme homme et tombe enceinte permet d’affirmer qu’un homme peut être enceinte. 

Dans le même esprit, je suppose qu’un homme pourra demain consulter son gynécologue et une femme avoir un cancer du pénis. 

Nos simples d’esprits de l’UNIVERSITÉ DU Québec à Montréal (UQAM) et dans nos universités et leurs désinformations du vingt-et-unième siècle occidentale

Considérant que nous sommes riches, bien nourries, nous devront nécessairement créer de nouvelles réalités des problèmes pour remplir le superflus de temps à ne rien faire tout en sirotant un bon café.

Mr. JJ McCullough Vancouver Twitter Con systémique raciste sans cerveau et écrit sur quoi que ce soit sans savoir tout fait qu'il a un manque de confiance en lui-même donc il doit nous vomir dessus gentiment à l’anglaise

Mr. JJ McCullough Journaliste et pigiste à Vancouver pour le Washington Post a découvert les savoirs des zizanies politiques et médiatiques et lui procurent des revenues extraordinaires radié et lapidé les Francophones de son racisme systémique.

Un poids deux mesures, Mr. JJ McCullough joui dans les bonnes grâces de Justin Trudeau et des élites Anglo-Saxons et de nos médias judas et profite de toutes les largesses des libertés d’expression gauchiste et non censuré. 

Que sont devenues nos libertés d’expressions pour nous simple citoyens qui n’a pas droit au chapitre

On en arrive à la liberté d’expression: notre monde n’est plus capable de se mettre d’accord à propos de réalités élémentaires. 

Dès lors, à moins de censurer ceux qui voient les choses autrement que nous, seule une liberté d’expression maximale permet d’ouvrir le débat public, pour éviter qu’il ne soit confisqué par des tendances idéologiques croyant avoir le monopole du vrai, du juste et du bien. 

La censure est non seulement l’ennemie de la liberté, mais aussi de l’intelligence. 

La liberté d’expression n’est pas seulement un droit individuel mais bien collectif.

Malheureusement perdue au Canada et au Québec

Elle participe aussi à l’enrichissement du débat public et les atteintes à cette liberté réduisent la capacité des gens à réfléchir. 

Les idées n’apparaissent pas par hasard, mais parce qu’elles semblent porteuses d’une part de vérité pour ceux qui y adhèrent. 

C’est à travers le débat que cette part de vérité va être appréciée, soupesée, affinée, réinterprétée ou abandonnée. 

Dans un régime démocratique, les citoyens ont le droit et le devoir, d’effectuer individuellement ce travail de réflexion critique. 

Et si d’aventure émerge une théorie abjecte ou imbécile, il faut encore démonter le mécanisme par lequel elle se pare de l’apparence de la vérité. 

Il faut montrer en quoi cette théorie est erronée et aider les gens à comprendre ce qui fait la différence entre une idée vraie et une idée fausse.

Interdire l’idée, interdire l’expression de l’idée, c’est empêcher un travail intellectuel et pédagogique d’intérêt général. C’est un appauvrissement net pour la population. 

A ce titre, les révolutionnaires anglais, américains et français ont toujours été de grands défenseurs de toutes les libertés d’expression. La réserve qui est appliquée à ces libertés depuis l’origine est l’incitation au crime mais l’expression d’une idée seule ne peut pas être condamnable.

La liberté d’expression contient en elle toutes les autres libertés et en garantit le maintien. 

Elle doit donc être défendue sans la moindre concession à une quelconque forme de correction politique ou de bienséance publique. 

Il n’y a pas de « petites » atteintes à la liberté d’expression. 

Et des libertariens, bien sûr ! Nous n’exigeons le respect de personne et nous n’entendons pas nous le faire imposer pour qui que ce soit.

Qu’Elon Musk entende redonner ses droits à la liberté d’expression déprimera assurément la gauche mondaine qui verra son hégémonie médiatique fragilisée, mais cela devrait réjouir ceux qui ne désespèrent pas d’une société libre, un peu bruyante et râpeuse, certes, mais encore vivante.


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