mardi 5 octobre 2021

Dominique Anglade et Gabriel Nadeau Dubois - Exécutions de Québécois par ordre du tribunal militaire de 1838-1839, suite aux rébellions de 1837-1838, aux douces mémoires de Madame Shachi Kurl et du Dr. Angus Reid, combat des chefs en Anglais à Toronto

Dominique Anglade et Gabriel Nadeau Dubois - Exécutions de Québécois par ordre du tribunal militaire de 1838-1839, suite  aux rébellions de 1837-1838, aux douces mémoires de Madame Shachi Kurl et du Dr. Angus Reid, combat des chefs en Anglais à Toronto

Que les insurgés qui ont été jugés et condamnés en 1839 n'ont pas bénéficié d'un traitement juste et équitable.

10 septembre 2021, rien n’est changé dans leurs comportements impérialistes et d’apartheid

Profitant du pouvoir et du favoritisme de l'État, le Dr. Angus Reid Madame Shachi Kurl rédigea la question biaisée pour raciser la Nation Francophone  le 10 septembre en 2021 ceux-ci allaient réduire la majorité francophone à un état d'infériorité aberrant. 

La postérité ne devait pas avoir complètement tort à ce sujet : la plupart des condamnations qui allaient être prononcées ne seraient ni plus ni moins que des meurtres juridiques, sanctionnés par des lois d'exception et des tribunaux arbitraires, au mode de fonctionnement fondamentalement incompatible avec les principes des lois consacrées et du droit commun.

Le 19 décembre, 753 Patriotes étaient déjà incarcérés. En tout, 816 personnes devaient être mises sous arrêts dans le seul district de Montréal, dix-huit à Québec, dix-neuf à Sherbrooke et deux aux Trois-Rivières. 

Et la cour martiale, cela signifiait habituellement «to be hanged by the neck!»... 

En quoi la composition de la cour martiale prêtait à l'injustice La cour martiale chargée de juger les patriotes fut proclamée le 27 novembre 1838, et commença à siéger dès le lendemain. 

À l'examen de la composition de cette cour, l'on devine aisément que les hommes qui y ont été jugés n'ont pu bénéficier d'un traitement impartial. 

La cour était en effet composée de 15 juges : tous officiers de l'armée britannique, tous choisis par Sir John Colborne, tous venus au Canada pour réprimer l'insurrection et, fatalement, tous unilingues anglais. 

Le juge président était le major général John Clitherow, commandant des troupes qui avaient occupé Napierville. 

Les procureurs de la Couronne étaient le bureaucrate Charles Dewey Day, le JUDAS FRANCOPHONES chouayen reconnu Dominique Mondelet et le capitaine Edward Muller, un officier anglais. 

12 pendus

21 décembre 1838


Joseph-Narcisse Cardinal, avocat et député

Joseph Duquet, notaire

PENDUE À DEUX REPRISES

18 janvier 1839

Pierre-Théophile Decoigne - hôtelier et notaire

François-Xavier Hamelin – cultivateur


Joseph-Jacques Robert – cultivateur


Ambroise Sanguinet – cultivateur

Charles Sanguinet – cultivateur

15 février 1839


Charles  Hindeland - marchand et officier militaire

François-Marie-Thomas Chevalier de Lorimier – notaire

François Nicolas – instituteur


Amable Daunais – cultivateur


Pierre-Rémi Narbonne - peintre et huissier


Deux avocats trouvèrent finalement grâce aux yeux des autorités. Ils s'agissaient de Lewis Thomas Drummond, un Irlandais catholique, et de Charles Hart, un Juif montréalais. 

Joseph-Narcisse Cardinal et Joseph Duquette. Ils montèrent sur l'échafaud le 21 décembre 1838. Si le supplice de Cardinal ne dura que quelques minutes, il en fut autrement pour Joseph Duquette. 

Conformément à la sentence du tribunal, Cardinal et Duquet durent monter à l’échafaud au matin du 21 décembre 1838. 

On exécuta Cardinal en premier. 

Joseph Duquette pendue à deux reprises

Quand vint le tour de Joseph Duquet de gravir les marches, il se mit à frémir et à claquer des dents. Il fallut le soutenir. 

Lorsque la trappe tomba, la corde, que le bourreau Humphrey avait mal placée, glissa pour s’arrêter sous le nez du condamné qui se trouva projeté de côté et alla heurter avec violence la charpente ferrée du gibet. 

La figure meurtrie et saignant avec abondance, le malheureux n’avait pas perdu connaissance et râlait bruyamment. Les spectateurs se mirent à crier : « Grâce ! Grâce ! » 

Cette agonie se prolongea, dit-on, une vingtaine de minutes, le temps pour le bourreau d’installer une autre corde et de couper la première.

Et, de fait, c'était la coutume chez les peuples civilisés qu'une exécution manquée ne soit pas reprise, le supplicié ayant payé sa dette à la société.

Please e-mail Sachi Kurl about her Quebec Bashing racism

Shachi Kurl

Angus Reid Institute
600-1190 Melville St.
Vancouver, B.C.      V6E 3W1

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Email: media@angusreid.org 


 


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