samedi 2 octobre 2021

Joe Biden président des États-Unis d’Amérique a rétorqué que les chasses aux migrants des policiers des frontières à cheval ont été orchestrées, planifié par l’administration précédente de Donald Trump

 Joe Biden président des États-Unis d’Amérique a rétorqué que les chasses aux migrants  des policiers des frontières à cheval ont été orchestrées, planifié par l’administration précédente de Donald Trump  


Policiers aux frontières américaines et du Mexique chassent, massacrent comme des animaux, les migrants passant le Rio Grande

30 septembre 2021

Réactions des médias Canadiens Anglais

Shachi Kurl porte-parole d’Angus Reid, considère que ce sont des Francophones du Canada, et des Québécois à cheval qui pourchassent les allophones au Texas puisque les policiers texans n’auront jamais le culot d’agir ainsi puisque le raciste est inexistant en terre américaine.

Les Texans  sont des anglophones, des Britanniques de descendance tout comme moi Sachi Kurl, la pure, l’apartheid, le racisme systémique ça nous connait puisque nous au service de Dieu pratiquent quotidiennement au Canada ces chasses de race inférieur  

WASHINGTON, États-Unis, le président  handicapé Joe Biden, assailli de critiques pour sa gestion de la crise migratoire à la frontière sud des États-Unis,  que les policiers à cheval tel qu’à l’ère du Far West Américain et Canadien qui chassaient les migrants étaient causé par l’ancienne administration Républicaine

Des agents ont été photographiés en train de refouler à cheval des migrants haïtiens à la frontière sud des États-Unis.

Une dizaine de milliers de migrants, dont une majorité d'Haïtiens, campaient vendredi sous un pont à la frontière sud des États-Unis, une situation de crise humanitaire qui place le gouvernement de Joe Biden en difficulté.

« Je vous le promets, ces gens vont payer, il y aura une enquête, il y aura des conséquences », a dit Joe Biden, répondant à des questions posées après une allocution consacrée à la vaccination contre la COVID-19.

Interrogé par une journaliste pour savoir s’il prenait la responsabilité du « chaos » à la frontière, il a répondu : « Bien sûr que j’en prends la responsabilité. Je suis le président. 

C’était horrible (...) de voir des gens traités de cette manière  en ajoutant que ces policiers à cheval ont subi des lavages de cerveau répétitif de Donald Trump et de son mur ».

 «C’est embarrassant », a-t-il dit avant de se reprendre. « C’est plus qu’embarrassant. C’est dangereux. C’est mal. Cela envoie le mauvais message au monde, le mauvais message chez nous. »

« Ce n’est pas qui nous sommes », a indiqué le démocrate, qui avait promis dans sa campagne de traiter avec humanité les questions d’immigration, au contraire de Donald Trump.

Son administration est critiquée de toutes parts alors que les États-Unis ont entrepris d’expulser en masse des Haïtiens massés à la frontière.

Des dizaines de milliers de migrants, pour la plupart haïtiens, s’entassent depuis plusieurs semaines dans les villes mexicaines de Tapachula, à la frontière avec le Guatemala, et de Ciudad Acuña, à la frontière du Texas, où ils vivent sous la chaleur et dans l’insalubrité.

La gauche reproche à Joe Biden sa dureté, la droite conspue ce qu’elle considère être du laxisme provoquant un appel d’air migratoire.

La tension autour de ces sujets est encore montée d’un cran jeudi, avec la démission de l’émissaire américain en Haïti Daniel Foote, qui a dénoncé dans une lettre cinglante des expulsions « inhumaines ».


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