Justin Trudeau, maître illusionniste, vicieux, du Canada en réaction à la décision du CRTC sur l’utilisation du mot en nègre blanc d’Amérique de Claude Vallières. Conseil Émetteur de Censure de réception sous le vocable du TDC
“The White Negro of America, agissant des Canadians français traité comme les nègres au temps des esclavages du sud des États-Unis ”. Le mot tabou a même été censuré et clavarder des mêmes façons que Vladimir Poutine dirige les médias en Russie.
Noir c’est l’opposé du blanc. Il interdit de nommer une chose de qualificatif de «blanc». Devons-nous à chaque fois que l’on discute se poser les questions d’éthiques vallauriennes aux manières très peu équivoque d’un penseur unijambiste en perte de popularité médiatique mondial de l’Adonis qui cache un enfant n’ayant pas encore accomplit son développement de manifaire.
Radio-Canada propagandiste fédérale officiel de Justin Trudeau, «the Blackface» « traduction libertine en français médiévale une face de negre noir a perdu de la liberté d’expression pour justifier la prise de position dans les médias?
En ce moment, de quelle tribune interne ou externe disposent les employés afro-descendants de Radio-Canada et leurs alliés pour faire entendre des points de vue divergents sans crainte de représailles ou de répercussions sur leur trajectoire professionnelle ?
Vous pouvez ridiculiser autant que vous voulez le concept de «safe space», il reste que la nécessité de créer des espaces sécurisés de discussion s’impose quand des gestionnaires et/ou des personnes qui ont les deux mains dans l’éditorial créent, peut-être sans même le remarquer — privilège oblige —, un climat malsain de type « avec nous ou contre nous ». N’importe qui avec une base en relations industrielles pourrait vous le confirmer ; ça n’a rien à voir avec le grand méchant « WOKISME LA DÉCHÉANCE CANADIENNE ET QUÉBÉCOISE ».
Ces têtes soi-disant bon penseur, moraliste à la Gabriel Nadeau Dubois « cette belle crotte politicienne indus des opportunismes des parti libéraux du Canada et du Québec doit être évacué dans par les siphons des toilettes politiciennes à triple chasses et non voilées, dans leurs ces INQUISITIONS
« © Made in Ottawa par le génie du déguisement, de clown au visage imprimé de poudre blanche, jansénisme habitant dans un lieu peu recommandable du 24 Sussex Drive de recherche pernicieuse, rigoureuse, mensongère, de partialité pour empêcher les débats de idées dans les grandes institutions étranglé par les manigances, gauchistes, droitistes de groupe de personne n’ayant à dire intelligemment.
Nous devons nous demander sur mon territoire du Québec des élucubrations gouvernementaux fédéraux au Québec, s’arroge le droit à l’indignation au point d’en avoir le monopole.
Les devoirs de préserver PRÉSERVER LES LIBERTÉS D’EXPRESSIONS impute à chacun de nous, au peuple d’en juger et non aux marionnettes étatiques, élastiques propageant leurs scolioses de leurs déviations est une déviation permanente de la colonne d’opportunisme politicienne de notre ancien premier ministre du Québec, Philippe Couillard rotation des vertèbres laïques, un jour, un jour voilée, à son fils Gabriel Nadeau Dubois le ramasseur des déchets restants électoralistes
Canada pays de Justin Trudeau, est devenu le pays des tromperies
Il faudra bien dire la vérité que le Canada un jour cesser de se faire croire que le Canada était est un pays de liberté avant Pierre Elliott Trudeau et son rejeton continue en ce moment avec les mêmes idées multiculturalismes.
Avons-nous tous sacrifié nos libertés de parler intelligemment sans se faire rabrouer et dans les contextes historiques de différentes époques
Dans notre société organisée autour du culte de la diversité, il faut tenir compte des tabous qui structurent chaque communauté. Qui ne le fait pas blasphème. Qui blasphème doit être puni tel que professent le Coran et la Charia.
Mais qui parle au nom de ces « communautés » autoproclamées ? Qui a le droit de se dire officiellement bafoué, insulté, blessé ? Qui sont les interprètes consacrés des blessures communautaires ?
Souvent des militants braillards et sans talent qui trouvent dans les lamentations victimaires la seule manière d’exister publiquement. C’est le cas dans la présente histoire.
Citons le CRTC. Il affirme que les « titulaires autorisés ont la responsabilité de diffuser des émissions conformes en tout temps aux normes établies par la société ».
Traduisons, de ces judas dictateurs de ce chiennerie.
Le CRTC doit disparaitre
L’histoire ne se réécris pas pour plaire à certain mangeux de balustre
Cela revient à dire que la liberté d’expression est conditionnée aux normes sociales du moment, et qu’il ne sera plus possible de remettre en question les dogmes et les discours qui dominent la vie publique.
Mais soyons honnêtes : le CRTC se contente ici de transformer en principe explicite le conformisme social écrasant qui domine les élites canadiennes.
Le Canada ne permet pas de débats sur le multiculturalisme, il ne permet pas de débats sur l’immigration massive, il ne permet pas de débats sur la discrimination positive, il ne permet pas de débats sur la théorie du racisme systémique de Philippe Couillard et de Gabriel Nadeau Dubois son fils «de seconde main, recyclé.
En fait, qui ose en débattre est décapité illico.
Canada votre pays, censure, interdit, contrôlance incestueuse
Se lèvent automatiquement contre lui les vents mauvais d’une haine idéologique qui se réclame de la vertu.
Évidemment, le Québec ne respecte pas ces règles débiles. Son histoire est différente, sa culture aussi, mais le Canada ne l’accepte pas.
Et c’est parce qu’il ne s’y soumet pas que l’intolérance canadienne à son endroit est plus vive que jamais.
La grande noirceur, c’est maintenant. Et elle n’est plus québécoise. Elle est canadienne.
Les francophones et Québécois sont les seuls personnes intelligentes ayant du «Common sens » dans cet univers anglo-saxonnes américaines mal baisé.
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