samedi 25 novembre 2017

Fatima Houda Pépin - Musulmane d'origine - La Burqa n’est pas une obligation islamique Justin Trudeau - Philippe Couillard - Les rats nationaux

Fatima Houda Pépin La Burqa n’est pas une obligation islamique Justin Trudeau - Philippe Couillard
La levée de boucliers pour défendre la burqa comme « signe religieux », en marge de l’adoption de « la loi 62 sur la NON-neutralité religieuse de l’État », est l’illustration d’une grande dérive

À chaque élite politique, sa burqa.
Il y a quelque chose de surréaliste à voir le premier ministre Justin Trudeau et ses vis-à-vis de l’Ontario et de l’Alberta, Kathleen Wynne et Rachel Notley, monter au front pour rabrouer le premier ministre Couillard.
Or, cette dernière loge à la même enseigne. Il a bel et bien introduit une disposition dans sa fameuse loi 62 qui permet aux employés de l’État de porter le tchador, la burqa et le niqab, par voie d’accommodement.
En Europe, pour ceux que ne savent pas, c’est de l’autre côté de l’océan, à l’est
Avant le Canada, la France a été secouée par la controverse de la burqa et l’a interdite dans l’espace public, en 2010. La Belgique a fait de même en 2011. Les poursuites judiciaires intentées contre la France et la Belgique ont été REJETÉES par la Cour européenne des droits de l’homme, en 2014 et 2017.

Au Maroc, un pays musulman
Le roi du Maroc, Mohammed VI, un musulman, à Rabat le 20 janvier 2017, mettant en avant des raisons sécuritaires, les autorités marocaines ont interdit la fabrication et la vente de la burqa, ce voile intégral musulman à l'afghane porté par des femmes au Maroc.
Selon la presse locale, le ministère de l'Intérieur a diffusé une circulaire à ses agents responsables des commerces dans les villes leur enjoignant de ne plus autoriser la confection et la commercialisation des burqas à compter de cette semaine. Mais au Québec, le gouvernement de Philippe Couillard se prosterne devant les infidèles islamistes pour l’autoriser
En janvier dernier, le Maroc, dont l’islam est la religion d’État, a interdit officiellement la fabrication et la vente de burqas sur son territoire. Le premier ministre Justin Trudeau a essayé de dissuader le Roi du Maroc mais sans succès après avoir envoyer l'ambassadeur du Canada l’honorable Stéphane Dion pour vanter les valeurs des Frères musulmans et du salfiste, des femmes voilées, par centaines qui se promènent allègrement sur les rues, dans les bus, dans les marchés, dans le comté de Saint-Laurent d'où il était le député, et anti-Québécois et anti-Francophone et membre officiel de la confrérie des Frères Musulmans Islamistes, un pure libéral, au service des traîtres de Pierre Elliott Trudeau et de Justin Trudeau.

L’honorable Stéphane Dion est entrée en pleure, le même jour à Berlin, en Allemagne, et a été consolé par la Reine Wassabitte de l’Europe des réfugiés musulmans, Angela Merkel, à sa demeure d’où il passa la nuit, avec son mari à converser.
La femme est la naissance du mal selon le Prophète, il se sert d’elle à chaque instant pour la fourrer, un objet sexuel et que l’on peut se débarrasser ou tuer selon son bon désir. Sourate 4 verset 3
Et pour cause, l’irruption dans l’espace public de cet accoutrement dégradant pour les femmes n’est pas le fruit du hasard. Elle coïncide avec la montée des mouvances salafistes et des groupes djihadistes dans le monde dont Justin Trudeau applaudit.
Déjà, dans les années 1980, on distribuait des bourses aux étudiantes universitaires au Moyen-Orient pour s'en foularder et donner l’exemple. À l’époque, il n’était question que de foulards « dits » islamiques, les propagandes universelles.
Mais plus ces groupes se radicalisent, plus ils poussent le bannissement du corps de la femme de l’espace public à son maximum.
L’émergence d’Al-Qaïda en Afghanistan, en 1987, va propulser les talibans à l’avant-scène et avec eux leur mode afghane : pakoul (béret en forme de galette) pour les hommes et burqa pour les femmes.
Au début des années 1990, l’Algérie est ébranlée par la montée du Front islamique du salut (FIS). Sur des campus universitaires, des jeunes filles se faisaient harceler pour porter la burqa. Certaines se sont même fait taillader les jambes avec des lames de rasoir.

De la pure supercherie, croisade salafiste
Cette revendication de la burqa comme «obligation religieuse» est de la pure supercherie, sortie tout droit du guide des parfaits islamistes. Elle n’a aucun fondement juridique en islam.
À quel moment la burqa est devenue «islamique» ? En 1996, quand les talibans – un groupe inscrit sur la liste officielle des organisations terroristes au Canada – ont pris le pouvoir en Afghanistan et l’ont imposée à toutes les femmes afghanes.
Comment expliquer, donc, que l’islam existe depuis 14 siècles et que les musulmanes ne l’avaient jamais portée ? Ont-elles vécu dans le péché tout ce temps-là sans le savoir ?
La suprématie du mâle barbare, du barbu sur la femme, sur Warda Naili
NON. Parce que la burqa n’est que le paravent d’une stratégie plus globale, celle du djihad politique et juridique mené par les islamistes radicaux contre l’Occident, contre le Québec, contre la loi 62, par Warda Naili, Fatima  Ahmad, le Conseil musulman du Canada, Muslim Associations of Canada (MAC) groupe terroristes, le Hamas, les Frères musulmans, amis et partenaires des partis libéraux du Canada et du Québec, en s’attaquant aux fondements mêmes de sa démocratie.
Non, l’islam ne l’a jamais exigée. Les islamistes radicaux, oui et les premiers ministres Canadiens et Québécois qui veulent remplir leurs caisses électorales et être réélus au prochain scrutin car ils ont la balance du pouvoir en main.  Ils ont beaucoup d’argent et subventionnés par l’Arabie saoudite et le Qatar, les pétrodollars.
Ceux pour qui la femme symbolise tout ce que l’Occident a de pire à leurs yeux : la liberté, la modernité et l’égalité.

La loi du tchador
En acceptant le tchador, Québec s’apprête à introduire dans les institutions un modèle de rapport hommes-femmes profondément inégalitaire. La femme esclave comme l’approuve souvent dans les discours dans les mosquées fait par l’honorable premier ministre du Canada avec son épouse qui propulse au deuxième étage voilée pour s’en débarrasser car selon le Coran, une femme n’est que la la demie d’un mâle.
27 octobre 2016 | Fatima Houda-Pepin - Ancienne députée de La Pinière (1994 à 2014), l’auteure comparaîtra jeudi à la Commission des institutions qui étudie le projet de loi 62 sur la neutralité religieuse. Illustration: Tiffet «Le tchador, le niqab et la burqa sont donc des marqueurs de frontières» pour les femmes, écrit Fatima Houda-Pepin. La dégradation de l’humain vers l'abîme des enfers coraniques charianiques que s’apprête à légaliser le gouvernement Trudeau.
La femme compose 90% de l’enfer selon le Prophète: L'imam Al-Bukhari (1/583)
Ne cherchez pas le tchador et la burqa dans le Coran ou dans les hadiths du prophète Mohamed. Lorsque les versets coraniques lui avaient été révélés, à La Mecque et à Médine, l’islam n’avait pas encore atteint les contrées de l’Iran et de l’Afghanistan où prévalaient, depuis des siècles, ces codes vestimentaires d’un autre âge, et qui sont tout sauf islamiques. 

Si vous cherchez le tchador, vous le trouverez aussi dans le projet de loi 62 sur la neutralité religieuse de l’État, que la ministre Stéphanie Vallée veut imposer aux employées de l’administration publique, sous prétexte du « visage découvert ». Il en va de même pour la burqa et le niqab, mais au cas par cas, au gré des accommodements. 
Le niqab, la burqa sont des signes d’infériorisation des femmes et non des symboles religieux » peut être éclairantes. Imposée par les barbus barbares.
Érigée en carte d’identité politique par les idéologues salafistes, la burqa a été imposée d’abord aux femmes afghanes par les talibans, à fin des années 1990, avant qu’elle ne fasse irruption dans les pays occidentaux, avec les débats qu’on connaît.
Le tchador a été interdit aux fonctionnaires en Iran par le roi Reza Chah, en 1936, avant que la chape de plomb ne tombe sur les femmes avec l’arrivée au pouvoir de l’ayatollah Khomeini, en février 1979. 
L’un des premiers gestes qu’il a posés à son retour d’exil en France fut de décréter le port obligatoire du tchador pour toutes les Iraniennes. Les manifestations anti tchador ont été sévèrement réprimées et les Pasdaran ont traqué, avec une violence inouïe, jusque dans leurs lieux de travail, toutes les récalcitrantes, pour la moindre mèche de cheveux qui dépassait.

Une fixation pathologique
Cependant, depuis la montée en puissance des groupes islamistes, le corps de la femme est l’objet d’intenses batailles idéologiques et politiques. Après avoir réussi à ériger le voile en « dogme islamique », voilà qu’ils s’activent à faire disparaître le corps de la femme au complet de l’espace public. 
Mais d’où vient cette fixation pathologique des idéologues et militants islamistes pour le contrôle du corps de la femme et le non contrôle de leur pénis?
De l’expansion de l’idéologie salafiste, un cancer disséminé par l’Arabie saoudite depuis les années 1970 et qui a infecté aussi bien le monde musulman que l’Occident. Une idéologie politique rétrograde basée sur l’endoctrinement, les prêches haineux et l’appel au djihad. Une idéologie qui a enfanté le groupe État islamique en Irak et en Syrie. 
Alors pourquoi cacher le corps de la femme? Selon les idéologues et prédicateurs salafistes qui crachent leur haine tous les jours sur Internet et les télévisions satellitaires, une femme musulmane non voilée est une femme nue (awra). 

La femme n’est que la demie, la moitié de l’homme selon le Prophète
Ainsi, la femme musulmane ne peut se dévoiler que devant les maharim, c’est-à-dire les hommes avec qui il serait illicite pour elle de se marier. Cette logique va jusqu’à lui interdire de se montrer devant d’autres femmes, de peur que celles-ci décrivent ses charmes, en son absence, à d’autres hommes. Ce qui risquerait de les exciter.
Son territoire normal est donc la maison et après le cimetière. Si elle s’aventure dans la rue ou au travail, un espace qui n’est pas le sien, elle doit cacher les formes de son corps derrière un vêtement ample (tchador ou burqa), sinon il y a un risque qu’elle attire le regard des hommes sur sa awra.

La mixité étant interdite, le tchador, le niqab et la burqa sont donc des marqueurs de frontières (hudud) qui rappellent à la femme musulmane que sortir sans être intégralement voilée, c’est faire de l’exhibitionnisme (tabarruf). .
Le mâle islamiste ne peut contrôler son pénis ayant perdu son cerveau à la naissance.  Selon le Coran et le Prophète qui se jetait sur tout, qui bougeait avec  un trous sur le corps pour une pénétration quelconque qu’il côtoyait.  Cette religion, politico religion malsaine, arrière mentale, ce qui n’est peu dire, doit être  psychanalysé, remise à sa place, car elle est un danger humanitaire, la décadence humaine.

L’islam ne fabrique que des arriérés mentaux

Djemila Benhabib - Les multiculturalismes Islamistes à la Justin Trudeau et Philippe Couillard sont des suicides collectifs

Djemila Benhabib - Les multiculturalismes Islamistes à la Justin Trudeau et Philippe Couillard sont des suicides collectifs
L’auteure et militante, honnête, ayant les yeux ouverts et nous disant les vérités sur les horreurs de l’Islam, des islamistes qui nous envahissent en Occident,  Djemila Benhabib, à Trois-Rivières, redoute la montée de l’intégrisme religieux au Québec de Samira Laouni et de Warda Naili.
Djemila Benhabib, a dû se réfugier en France dans les années 90 après avoir vu sa famille être condamnée à mort par le Front islamique du djihad armé en Algérie. L’Islam est fausse une religion de paix, miséricordieuse, il prolifère que la haine, la mort, la déchéance humanitaire, sociétaire.
Elle s’est que l’histoire se répétera au Canada et au Québec avec nos politiciens qui s’aplaventissent devant le chantage des imams, des femmes voilées qui infiltrent toutes les commissions gouvernementale comme le SIDA.  
Mais en pire, à l’ère où un jeune peut se radicaliser dans nos École du Savoir, des écoles à profession charianique et islamique subventionné par le Qatar et nos gouvernements salafistes du Québec et du Canada pour y instaurer la Charia et des accommodements déraisonnables pour tenir leurs femmes en stages d’esclavage comme le désir le prophète l’invasion totale et la disparition des chrétiens de l’Occident dont le collabo, le pape François y a apporté son accord complet.

À  partir de la commission systématique commandité exclusivement par les islamistes musulmans racistes infiltrés au sein de la commission et de l’Assemblée Nationale du Québec et du gouvernement fédéral en laissant les députés et ministres entrées dans les enceintes des élus avec leurs signes religieux, leurs papiers de toilettes sur la tête, Jagmeet Singh, Harjit Sajjan, et autres pour favoriser les religions moyenâgeuses, et favoriser les terroristes de leurs propres pays d’origine, les multiculturalismes prônent leurs haines contre les Canadiens et Québécois d’origines.
Les tartuffes, les intellectuels gauchistes avec les aides des politiciens sont à l’œuvre
La famille de Djemila Benhabib et vous-même avez été condamnés à mort dans les années 90. Racontez-nous ce qui s’est passé.
Quand les islamistes, les musulmans, ont pris le contrôle des municipalités, ils ont instrumentalisé les grands meetings et les prêches dans les mosquées, tout comme «les imams, les Samira Laouni à la Fédération des Femmes du Québec, et autres sangsues islamistes salafistes au sein de nos gouvernements». À la fin des prêches du vendredi, on balançait des noms de personnes à assassiner. Dans mon quartier, on était souvent nommés.

Mes deux parents étaient des personnalités publiques et connues qui travaillaient à l’Université d’Oran. Un jour, ils ont reçu une lettre du Front islamique du djihad armé où il était écrit «Famille Benhabib». On nous annonçait qu’on était condamnés à mort.
De quoi aviez-vous peur à cette époque ?
Ce que je craignais le plus, c’était d’être violée et torturée, ce qui tout à fait normal pour les islamistes selon les réactions du premier ministre du Québec Philippe Couillard.
Les islamistes violaient les femmes. Ils ne voulaient pas qu’assassiner les personnes, mais aussi les faire souffrir tout comme aujourd’hui au Canada et dans les autres pays occidentaux dont Angela Merkel approuve leurs agissements en tant que réfugiés stressés. On taillait leurs orteils, on leur coupait la langue... Je n’avais pas tant peur de mourir que du viol et de la torture.
Nous nous sommes réfugiés en France en 1994. Il fallait continuer à vivre. Je voulais finir mon bac. En 2015, qu’est-ce qui peut attirer un jeune Québécois à vouloir partir en Syrie, selon vous ?

Certains jeunes sont indignés contre le système, contre leur environnement immédiat et lointain. Ça veut dire qu’ils sont contre l’Occident de façon générale. Après, il leur faut une cause, une motivation idéologique. Les jeunes ont soif de justice, et les islamistes disent rétablir une justice pour les musulmans historiquement bafoués par le colonialisme. Ce discours touche certains jeunes.
Est-ce que la vague intégriste est plus menaçante à cause d’internet?
Absolument. Avant, un jeune occidental devait faire des démarches pour découvrir le monde du djihad. Maintenant, avec un simple clic, ce monde-là s’offre à nous. Le chemin pour y arriver s’est drôlement raccourci. N’importe qui peut faire cette démarche, ou bien tomber là-dessus par hasard. L’internet joue un rôle extrêmement important.
Les hypocrisies des religieux, des religions et des multiculturalistes de Gabriel Nadeau Dubois (GND)
Djemila Benhabib nous indique que les Québécois sont SI NAÏFS, IMBÉCILS, ACCUEILLANTS de penser qu’on peut harmoniser, de continuer à nous mentir, ces  différentes religions archaïques, démoniaques, dans un même milieu lorsque ces immigrants nous détestent, haïssent nos démocraties jusqu’à notre propre mort.
Espérons que les Québécois ne sont pas naïfs. Les Québécois travaillent sur le mode de la transparence mais le premier ministre du Québec, Philippe Couillard et toute son équipe libérale, travaillent à liquider le Québec pour protéger exclusivement les salafistes, les musulmans, qui détiennent la balance du pouvoir.

L’autre est toujours de bonne foi au Québec. Je, Djemila Benhabib, musulmane, me sens à l’aise avec cela. Cela fait de nous des gens simples. Par ailleurs, ça ne nous permet pas de composer avec les islamistes puisqu’eux ne sont pas comme ça.
On se retrouve à devoir détecter le Coran, le mensonge, la dissimulation, la ruse. On doit être vifs. Ça se développe avec les années, avec l’expérience et l’expertise.
Peut-être qu’on n’arrive pas encore à mettre des mots sur le malaise, mais on a l’intelligence pour le capter. Tant mieux si on a développé cette façon de nous protéger.
Croyez-vous au multiculturalisme en excluant les Québécois et les Canadiens d’origine de Pierre Elliott Trudeau du salafiste Justin Trudeau?
Le multiculturalisme est un suicide collectif à la Justin Trudeau. Dans un pays, il nous faut une langue, des valeurs et des principes communs. C’est fondamental dans une société. Dire à une femme qu’elle va pouvoir vivre au Québec comme au Pakistan, Jagmeet Signh, ou Zunera Ishad, terroriste vivant à Mississauga, en Ontario et ami fidèle de Justin Trudeau, Arabie saoudite, au Liban, en Algérie, en Iran, en Irak, Samira Laouni, du NPD, c’est lui mentir, lui manquer de respect.

La femme islamique est une femme esclave, au service du barbu poilu, vivant animalement, mangeant parterre dans les mosquées comme les chiens, uniquement jusqu’à sa mort et sans aucune valeur humaine tel que prescrit dans le Coran, par le Prophète.  Nous devons jeter les religions non chrétiennes hors de nos institutions politiques selon la Constitution Canadienne de 1867.
Stoppons tous immigrations religieuses non chrétiennes

Votez conservateur au fédéral au prochain scrutin

Amina Diaby, musulmane entêtée et voilée, mon niqab m’a étranglée – Faute à Kathleen Wynne - Charte des Droits des immigrants sur la Majorité - Justin Trudeau - Philippe Couillard - Warda Naili

Amina Diaby, musulmane entêtée et voilée, mon niqab m’a étranglée – Faute à Kathleen Wynne – première ministre libérale de l’Ontario – Justin Trudeau – Philippe Couillard – Samira Laouni-  Warda Naili
C’est faux to niqab ne t’as pas tué, VOTRE RELIGION, l’Islam, ton Coran t’a tué, ton entêtement t’a tué, et tu es heureuse présentement, peut être en enfer, avec les 90% d’autres musulmanes estropiés ou bien vous êtes la proie des voyous musulmans qui vous ferez la joie 72 fois par jour au Paradis du viol.
Amina Diaby tout cela était entièrement de votre propre faute, vous étiez une adulte, et vous assumez présentement votre décision de votre non intégration nous soulignait Zunera Ishad, Pakistanaise, terroriste et ami fidèle de Justin Trudeau. Nous avons demandé à sa Sainteté le pape François, le collabo islamiste, au Vatican, que Jésus-Christ vous accorde la paix pour ton âme, ton voile et tes serviettes.
L’Islam et plusieurs religions moyenâgeuses fabriquent des arriérés mentaux
La mort d’une employée musulmane, Amina Diaby, dans un accident industriel à Toronto et la mise à l’amende de son employeur pour négligence donnera d’autres raisons aux employeurs d’y repenser à deux fois avant d’embaucher des musulmanes qui portent le hijab ou bien des immigrants avec des kirpans, des couteaux, toutes sortes de pollutions religieuses sur eux.

L’amende de 300 000$ a été imposée à Fiera Foods après que le ministère du Travail de l’Ontario ait tranché que cet employeur «avait omis de s’assurer que tout travailleur se trouvant près d’une source d’enchevêtrement avait bien fixé ses vêtements.»  Ce que je trouve très injuste pour l’employeur et qui devrait être refilé à l’employé ou à sa famille, ou à la mosquée.
Et que ce serait-il passé si cet employeur avait fait montre de discrimination à l’égard de cette musulmane voilée en la forçant, CETTE MUSULMANE NON INTÉGRABLE QUI EXIGE DE PORTER SON VOILE ISLAMIQUE SELON LE RACISME SALAFISTE  à porter un sarrau de façon préventive et qu’elle s’était plainte de discrimination auprès de la Commission des droits de la personne de l’Ontario.
Donc, l’employeur s’est plié à la demande de la chienne salafiste, un autre accommodement déraisonnable tout comme au Québec, la minorité islamique dirige les destinés gouvernementales, à la Philippe Couillard du Québec que l’employeur a été OBLIGÉ PAR KATHLEEN WYNNE PREMIÈRE MINISTRE DE L’ONTARIO, une autre libéral, que cette emmerdeuse porte le niqab selon les règles de la dictature de sa religion de barbare au Canada.

Elle a exigée, elle a eue, elle a récoltée ses perversités salafistes
Même en Ontario, Philippe Couillard dirige une guerre de racisme systémique, avec les racistes salafistes musulmans à travers la province voisine. Peut-être que l’employeur aurait gagné sa cause mais l’objectif d’un employeur n’est pas de consacrer des ressources importantes à gagner des causes judiciaires évitables mais de tout faire pour éviter d’être confronté à ce genre de situations.
Pourquoi un employeur prendrait le risque d’embaucher une employée qui porte le hijab à la , niqab, des turbans à la Jagmeet Signh, des papiers de toilette sur la tête, des kirpans, des couteaux pour trancher la tête de leurs voisins, car selon les Commissions des Droits de la Personne, des minorités sur la majorité, au Canada et dans les provinces, les minorités ont tous les droits INDIVIDUELS, sur les employeurs, sur les autres employés, les citoyens de souches qui sont reluqués aux rangs de laquet, de serviteurs.
Cette emmerdeuse voilée, et elle le savait éperdument  qu’elle était voilée et qu’elle le faisait pour prouver qu’elle était elle, et sa maudite barbare de religion, et comme plusieurs autres religions qui envahissent le Canada, la REINE de l’entreprise avec la Charte des Droits et Libertés du traître Pierre Elliott Trudeau enchâssé dans la Constitution Canadienne par les traitrises, la nuit des LONGS COUTEAUX avec les signatures premiers ministres anglophones Canadiens excluant la province du Québec.

Nos élites politiques ont les culottes baissées pour mieux nous faire enculer
Donc, cette merveilleuse dame, le nouveau symbole, de loi 62, une autre WARDA Naili, une défroqué Catholique, se sentait nu sans son voile près de machines qui pourrait la blesser ou mieux la tuer ou prendre le risque qu’elle le poursuit car il l’oblige de façon préventive et discriminatoire à porter un sarrau qui couvre son hijab quand il a l’option d’éviter ces deux risques en embauchant des femmes non-voilées et non-musulmanes?
Voilà un large contingent de candidates potentielles dont les applications seront systématiquement rejetées par plusieurs employeurs d’abord parce qu’ils craignent d’être confrontés à des demandes d’accommodements religieux, puis pour des raisons de sécurité au travail comme celle mise en évidence dans cette boulangerie de Toronto.
Dans une émission consacrée au racisme systémique en octobre 2015, Radio-Canada a rapporté que le taux de chômage dans la communauté maghrébine au Québec est «trois plus élevé que la moyenne».

Une invitée à l’émission a imputé «à la société d’accueil» (en pratique : aux employeurs) d’avoir négligé sa responsabilité d’intégrer les immigrants au marché du travail. Quel employeur veut employer des personnes qui leurs donneront des problèmes religieux et des amendes pour les avoir aidé. S’ils ne sont pas engagés, employés, ces immigrants doivent regarder premièrement leur religion bornée, et leur nombril avant d'accuser la société d’accueil, les islamistes, les sikhs, les hindous, etc.
Les immigrants doivent le respect à la société d’accueil
En tant que citoyen je trouve que cette affirmation est fausse, ce n’est pas à la société d’accueil à s’intégrer aux immigrants mais aux immigrants à s’intégrer à la société d’accueil, point à la ligne.  Si les immigrants ne peuvent pas s’intégrer, ils doivent retourner dans leur pays natal avec leurs voiles, le niqab, leurs turbans, leurs kirpans, leurs religions, etc.
Voici des vérités pures et simples, que je vois à tous les jours car je fréquente ces lieux et je discute avec les propriétaires et leurs employés depuis plus de 20 ans. La majorité de ces commerces sont tenus ou appartiennent à des arabes, chrétiens ou musulmans, venant du Liban, de la Syrie, du Maroc, ou d’ailleurs.  Et un autre, seul  commerce, appartient à un Québécois francophone d’origine avec une bannière Ontarienne. Car à l’endroit où je demeure, les immigrants, ou pris contrôlent totale de l’économie de la ville, de la mairie, etc.
Donc, tous les commerces que je nommerais ici arabes, musulmans et chrétiens, aucun des employés, ne porte le voile islamique, et ne peut porter le niqab, ou d’autre chose comme tel, ou de kirpan, car il y a aussi des Sikhs, mais sans turban au travail.  Personne ne fait de prière sur les lieux de travail, et aucune de ces personnes n’ont de congé pour leurs propres fêtes religieuses.

Les seules fêtes payées sont les fêtes réglementaires des gouvernements du Canada et du Québec. Et tous les employés sont heureux de travailler ensembles. J’aimerais aussi noter que ces commerces n’engagent jamais d’employés anglophones ou francophones car ils ne parlent pas arabe, qui est la langue de communication entre les employés et plusieurs de leurs clients étant des immigrants, et je peux certains dire des amis.
Anglophones et Francophones s’aplaventissent devant les minorités
Et je vous parle du commerce appartenant au Québécois Francophone de souche, celui-ci les femmes voilées travaillent dans toutes les sections de l’entreprises.  Il leur accorde leurs fêtes religieuses de peur d’être expédié en enfer par la Commission des Droits et des servitudes du Québec, anti nationalistes, anti Québécois.  
Parmi tous les commerces que j’ai vus, seulement les commerces appartenant aux anglophones ou francophones de souches emploient les femmes voilées, ayant des lieux de prières. Les seules exceptions sont les commerces où les époux engagent leurs propres épouses voilées au comptoir. On dirait que nous citoyens originaires du Canada avons peur avec nos lois fantoches de prouver notre patriotismes, que ce territoire nous appartient et que les immigrants doivent s’intégrer ou partir.

Ceci est encore une autre histoire vraie, un commerce ayant quatre succursales et le propriétaire, étant lui-même musulman, décide d’en ouvrir une cinquième au centre-ville.  Un très grande succursale, et fait des annonces pour avoir des employés, plus d’une cinquantaine.  Le directeur du personnel engage plusieurs hommes et femmes.
Les immigrants racisés et non intégrables, l’enfer dans nos sociétés
A l’ouverture de cette nouvelle succursale, un de ces employés, un homme, celui-ci décide qu’il a le droit de faire sa prière, et d’arrêter de travailler.  Mais lors de son embauche il avait été avisé qu’il ne pouvait le faire sur le temps de l’entreprise et avait signé les conditions de l’employeur musulman. L’employeur musulman, qui parle arabe, et l’employé qui parle arabe aussi.
Cet employé se fit jeter à la porte immédiatement. La cause de cet employé n’a jamais été portée au Droits de la personne car cette personne n’aurait plus jamais trouvé d’emploi auprès de la communauté arabe. Qu'Allah est juste!