Fatima Houda Pépin La Burqa n’est pas une obligation islamique Justin Trudeau - Philippe Couillard
La levée de boucliers pour défendre la burqa comme « signe religieux », en marge de l’adoption de « la loi 62 sur la NON-neutralité religieuse de l’État », est l’illustration d’une grande dérive
À chaque élite politique, sa burqa.
Il y a quelque chose de surréaliste à voir le premier ministre Justin Trudeau et ses vis-à-vis de l’Ontario et de l’Alberta, Kathleen Wynne et Rachel Notley, monter au front pour rabrouer le premier ministre Couillard.
Or, cette dernière loge à la même enseigne. Il a bel et bien introduit une disposition dans sa fameuse loi 62 qui permet aux employés de l’État de porter le tchador, la burqa et le niqab, par voie d’accommodement.
En Europe, pour ceux que ne savent pas, c’est de l’autre côté de l’océan, à l’est
Avant le Canada, la France a été secouée par la controverse de la burqa et l’a interdite dans l’espace public, en 2010. La Belgique a fait de même en 2011. Les poursuites judiciaires intentées contre la France et la Belgique ont été REJETÉES par la Cour européenne des droits de l’homme, en 2014 et 2017.
Au Maroc, un pays musulman
Le roi du Maroc, Mohammed VI, un musulman, à Rabat le 20 janvier 2017, mettant en avant des raisons sécuritaires, les autorités marocaines ont interdit la fabrication et la vente de la burqa, ce voile intégral musulman à l'afghane porté par des femmes au Maroc.
Selon la presse locale, le ministère de l'Intérieur a diffusé une circulaire à ses agents responsables des commerces dans les villes leur enjoignant de ne plus autoriser la confection et la commercialisation des burqas à compter de cette semaine. Mais au Québec, le gouvernement de Philippe Couillard se prosterne devant les infidèles islamistes pour l’autoriser
En janvier dernier, le Maroc, dont l’islam est la religion d’État, a interdit officiellement la fabrication et la vente de burqas sur son territoire. Le premier ministre Justin Trudeau a essayé de dissuader le Roi du Maroc mais sans succès après avoir envoyer l'ambassadeur du Canada l’honorable Stéphane Dion pour vanter les valeurs des Frères musulmans et du salfiste, des femmes voilées, par centaines qui se promènent allègrement sur les rues, dans les bus, dans les marchés, dans le comté de Saint-Laurent d'où il était le député, et anti-Québécois et anti-Francophone et membre officiel de la confrérie des Frères Musulmans Islamistes, un pure libéral, au service des traîtres de Pierre Elliott Trudeau et de Justin Trudeau.
L’honorable Stéphane Dion est entrée en pleure, le même jour à Berlin, en Allemagne, et a été consolé par la Reine Wassabitte de l’Europe des réfugiés musulmans, Angela Merkel, à sa demeure d’où il passa la nuit, avec son mari à converser.
La femme est la naissance du mal selon le Prophète, il se sert d’elle à chaque instant pour la fourrer, un objet sexuel et que l’on peut se débarrasser ou tuer selon son bon désir. Sourate 4 verset 3
Et pour cause, l’irruption dans l’espace public de cet accoutrement dégradant pour les femmes n’est pas le fruit du hasard. Elle coïncide avec la montée des mouvances salafistes et des groupes djihadistes dans le monde dont Justin Trudeau applaudit.
Déjà, dans les années 1980, on distribuait des bourses aux étudiantes universitaires au Moyen-Orient pour s'en foularder et donner l’exemple. À l’époque, il n’était question que de foulards « dits » islamiques, les propagandes universelles.
Mais plus ces groupes se radicalisent, plus ils poussent le bannissement du corps de la femme de l’espace public à son maximum.
L’émergence d’Al-Qaïda en Afghanistan, en 1987, va propulser les talibans à l’avant-scène et avec eux leur mode afghane : pakoul (béret en forme de galette) pour les hommes et burqa pour les femmes.
Au début des années 1990, l’Algérie est ébranlée par la montée du Front islamique du salut (FIS). Sur des campus universitaires, des jeunes filles se faisaient harceler pour porter la burqa. Certaines se sont même fait taillader les jambes avec des lames de rasoir.
De la pure supercherie, croisade salafiste
Cette revendication de la burqa comme «obligation religieuse» est de la pure supercherie, sortie tout droit du guide des parfaits islamistes. Elle n’a aucun fondement juridique en islam.
À quel moment la burqa est devenue «islamique» ? En 1996, quand les talibans – un groupe inscrit sur la liste officielle des organisations terroristes au Canada – ont pris le pouvoir en Afghanistan et l’ont imposée à toutes les femmes afghanes.
Comment expliquer, donc, que l’islam existe depuis 14 siècles et que les musulmanes ne l’avaient jamais portée ? Ont-elles vécu dans le péché tout ce temps-là sans le savoir ?
La suprématie du mâle barbare, du barbu sur la femme, sur Warda Naili
NON. Parce que la burqa n’est que le paravent d’une stratégie plus globale, celle du djihad politique et juridique mené par les islamistes radicaux contre l’Occident, contre le Québec, contre la loi 62, par Warda Naili, Fatima Ahmad, le Conseil musulman du Canada, Muslim Associations of Canada (MAC) groupe terroristes, le Hamas, les Frères musulmans, amis et partenaires des partis libéraux du Canada et du Québec, en s’attaquant aux fondements mêmes de sa démocratie.
Non, l’islam ne l’a jamais exigée. Les islamistes radicaux, oui et les premiers ministres Canadiens et Québécois qui veulent remplir leurs caisses électorales et être réélus au prochain scrutin car ils ont la balance du pouvoir en main. Ils ont beaucoup d’argent et subventionnés par l’Arabie saoudite et le Qatar, les pétrodollars.
Ceux pour qui la femme symbolise tout ce que l’Occident a de pire à leurs yeux : la liberté, la modernité et l’égalité.
La loi du tchador
En acceptant le tchador, Québec s’apprête à introduire dans les institutions un modèle de rapport hommes-femmes profondément inégalitaire. La femme esclave comme l’approuve souvent dans les discours dans les mosquées fait par l’honorable premier ministre du Canada avec son épouse qui propulse au deuxième étage voilée pour s’en débarrasser car selon le Coran, une femme n’est que la la demie d’un mâle.
27 octobre 2016 | Fatima Houda-Pepin - Ancienne députée de La Pinière (1994 à 2014), l’auteure comparaîtra jeudi à la Commission des institutions qui étudie le projet de loi 62 sur la neutralité religieuse. Illustration: Tiffet «Le tchador, le niqab et la burqa sont donc des marqueurs de frontières» pour les femmes, écrit Fatima Houda-Pepin. La dégradation de l’humain vers l'abîme des enfers coraniques charianiques que s’apprête à légaliser le gouvernement Trudeau.
La femme compose 90% de l’enfer selon le Prophète: L'imam Al-Bukhari (1/583)
Ne cherchez pas le tchador et la burqa dans le Coran ou dans les hadiths du prophète Mohamed. Lorsque les versets coraniques lui avaient été révélés, à La Mecque et à Médine, l’islam n’avait pas encore atteint les contrées de l’Iran et de l’Afghanistan où prévalaient, depuis des siècles, ces codes vestimentaires d’un autre âge, et qui sont tout sauf islamiques.
Si vous cherchez le tchador, vous le trouverez aussi dans le projet de loi 62 sur la neutralité religieuse de l’État, que la ministre Stéphanie Vallée veut imposer aux employées de l’administration publique, sous prétexte du « visage découvert ». Il en va de même pour la burqa et le niqab, mais au cas par cas, au gré des accommodements.
Le niqab, la burqa sont des signes d’infériorisation des femmes et non des symboles religieux » peut être éclairantes. Imposée par les barbus barbares.
Érigée en carte d’identité politique par les idéologues salafistes, la burqa a été imposée d’abord aux femmes afghanes par les talibans, à fin des années 1990, avant qu’elle ne fasse irruption dans les pays occidentaux, avec les débats qu’on connaît.
Le tchador a été interdit aux fonctionnaires en Iran par le roi Reza Chah, en 1936, avant que la chape de plomb ne tombe sur les femmes avec l’arrivée au pouvoir de l’ayatollah Khomeini, en février 1979.
L’un des premiers gestes qu’il a posés à son retour d’exil en France fut de décréter le port obligatoire du tchador pour toutes les Iraniennes. Les manifestations anti tchador ont été sévèrement réprimées et les Pasdaran ont traqué, avec une violence inouïe, jusque dans leurs lieux de travail, toutes les récalcitrantes, pour la moindre mèche de cheveux qui dépassait.
Une fixation pathologique
Cependant, depuis la montée en puissance des groupes islamistes, le corps de la femme est l’objet d’intenses batailles idéologiques et politiques. Après avoir réussi à ériger le voile en « dogme islamique », voilà qu’ils s’activent à faire disparaître le corps de la femme au complet de l’espace public.
Mais d’où vient cette fixation pathologique des idéologues et militants islamistes pour le contrôle du corps de la femme et le non contrôle de leur pénis?
De l’expansion de l’idéologie salafiste, un cancer disséminé par l’Arabie saoudite depuis les années 1970 et qui a infecté aussi bien le monde musulman que l’Occident. Une idéologie politique rétrograde basée sur l’endoctrinement, les prêches haineux et l’appel au djihad. Une idéologie qui a enfanté le groupe État islamique en Irak et en Syrie.
Alors pourquoi cacher le corps de la femme? Selon les idéologues et prédicateurs salafistes qui crachent leur haine tous les jours sur Internet et les télévisions satellitaires, une femme musulmane non voilée est une femme nue (awra).
La femme n’est que la demie, la moitié de l’homme selon le Prophète
Ainsi, la femme musulmane ne peut se dévoiler que devant les maharim, c’est-à-dire les hommes avec qui il serait illicite pour elle de se marier. Cette logique va jusqu’à lui interdire de se montrer devant d’autres femmes, de peur que celles-ci décrivent ses charmes, en son absence, à d’autres hommes. Ce qui risquerait de les exciter.
Son territoire normal est donc la maison et après le cimetière. Si elle s’aventure dans la rue ou au travail, un espace qui n’est pas le sien, elle doit cacher les formes de son corps derrière un vêtement ample (tchador ou burqa), sinon il y a un risque qu’elle attire le regard des hommes sur sa awra.
La mixité étant interdite, le tchador, le niqab et la burqa sont donc des marqueurs de frontières (hudud) qui rappellent à la femme musulmane que sortir sans être intégralement voilée, c’est faire de l’exhibitionnisme (tabarruf). .
Le mâle islamiste ne peut contrôler son pénis ayant perdu son cerveau à la naissance. Selon le Coran et le Prophète qui se jetait sur tout, qui bougeait avec un trous sur le corps pour une pénétration quelconque qu’il côtoyait. Cette religion, politico religion malsaine, arrière mentale, ce qui n’est peu dire, doit être psychanalysé, remise à sa place, car elle est un danger humanitaire, la décadence humaine.
L’islam ne fabrique que des arriérés mentaux
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