Djemila Benhabib - Les multiculturalismes Islamistes à la Justin Trudeau et Philippe Couillard sont des suicides collectifs
L’auteure et militante, honnête, ayant les yeux ouverts et nous disant les vérités sur les horreurs de l’Islam, des islamistes qui nous envahissent en Occident, Djemila Benhabib, à Trois-Rivières, redoute la montée de l’intégrisme religieux au Québec de Samira Laouni et de Warda Naili.
Djemila Benhabib, a dû se réfugier en France dans les années 90 après avoir vu sa famille être condamnée à mort par le Front islamique du djihad armé en Algérie. L’Islam est fausse une religion de paix, miséricordieuse, il prolifère que la haine, la mort, la déchéance humanitaire, sociétaire.
Elle s’est que l’histoire se répétera au Canada et au Québec avec nos politiciens qui s’aplaventissent devant le chantage des imams, des femmes voilées qui infiltrent toutes les commissions gouvernementale comme le SIDA.
Mais en pire, à l’ère où un jeune peut se radicaliser dans nos École du Savoir, des écoles à profession charianique et islamique subventionné par le Qatar et nos gouvernements salafistes du Québec et du Canada pour y instaurer la Charia et des accommodements déraisonnables pour tenir leurs femmes en stages d’esclavage comme le désir le prophète l’invasion totale et la disparition des chrétiens de l’Occident dont le collabo, le pape François y a apporté son accord complet.
À partir de la commission systématique commandité exclusivement par les islamistes musulmans racistes infiltrés au sein de la commission et de l’Assemblée Nationale du Québec et du gouvernement fédéral en laissant les députés et ministres entrées dans les enceintes des élus avec leurs signes religieux, leurs papiers de toilettes sur la tête, Jagmeet Singh, Harjit Sajjan, et autres pour favoriser les religions moyenâgeuses, et favoriser les terroristes de leurs propres pays d’origine, les multiculturalismes prônent leurs haines contre les Canadiens et Québécois d’origines.
Les tartuffes, les intellectuels gauchistes avec les aides des politiciens sont à l’œuvre
La famille de Djemila Benhabib et vous-même avez été condamnés à mort dans les années 90. Racontez-nous ce qui s’est passé.
Quand les islamistes, les musulmans, ont pris le contrôle des municipalités, ils ont instrumentalisé les grands meetings et les prêches dans les mosquées, tout comme «les imams, les Samira Laouni à la Fédération des Femmes du Québec, et autres sangsues islamistes salafistes au sein de nos gouvernements». À la fin des prêches du vendredi, on balançait des noms de personnes à assassiner. Dans mon quartier, on était souvent nommés.
Mes deux parents étaient des personnalités publiques et connues qui travaillaient à l’Université d’Oran. Un jour, ils ont reçu une lettre du Front islamique du djihad armé où il était écrit «Famille Benhabib». On nous annonçait qu’on était condamnés à mort.
De quoi aviez-vous peur à cette époque ?
Ce que je craignais le plus, c’était d’être violée et torturée, ce qui tout à fait normal pour les islamistes selon les réactions du premier ministre du Québec Philippe Couillard.
Les islamistes violaient les femmes. Ils ne voulaient pas qu’assassiner les personnes, mais aussi les faire souffrir tout comme aujourd’hui au Canada et dans les autres pays occidentaux dont Angela Merkel approuve leurs agissements en tant que réfugiés stressés. On taillait leurs orteils, on leur coupait la langue... Je n’avais pas tant peur de mourir que du viol et de la torture.
Nous nous sommes réfugiés en France en 1994. Il fallait continuer à vivre. Je voulais finir mon bac. En 2015, qu’est-ce qui peut attirer un jeune Québécois à vouloir partir en Syrie, selon vous ?
Certains jeunes sont indignés contre le système, contre leur environnement immédiat et lointain. Ça veut dire qu’ils sont contre l’Occident de façon générale. Après, il leur faut une cause, une motivation idéologique. Les jeunes ont soif de justice, et les islamistes disent rétablir une justice pour les musulmans historiquement bafoués par le colonialisme. Ce discours touche certains jeunes.
Est-ce que la vague intégriste est plus menaçante à cause d’internet?
Absolument. Avant, un jeune occidental devait faire des démarches pour découvrir le monde du djihad. Maintenant, avec un simple clic, ce monde-là s’offre à nous. Le chemin pour y arriver s’est drôlement raccourci. N’importe qui peut faire cette démarche, ou bien tomber là-dessus par hasard. L’internet joue un rôle extrêmement important.
Les hypocrisies des religieux, des religions et des multiculturalistes de Gabriel Nadeau Dubois (GND)
Djemila Benhabib nous indique que les Québécois sont SI NAÏFS, IMBÉCILS, ACCUEILLANTS de penser qu’on peut harmoniser, de continuer à nous mentir, ces différentes religions archaïques, démoniaques, dans un même milieu lorsque ces immigrants nous détestent, haïssent nos démocraties jusqu’à notre propre mort.
Espérons que les Québécois ne sont pas naïfs. Les Québécois travaillent sur le mode de la transparence mais le premier ministre du Québec, Philippe Couillard et toute son équipe libérale, travaillent à liquider le Québec pour protéger exclusivement les salafistes, les musulmans, qui détiennent la balance du pouvoir.
L’autre est toujours de bonne foi au Québec. Je, Djemila Benhabib, musulmane, me sens à l’aise avec cela. Cela fait de nous des gens simples. Par ailleurs, ça ne nous permet pas de composer avec les islamistes puisqu’eux ne sont pas comme ça.
On se retrouve à devoir détecter le Coran, le mensonge, la dissimulation, la ruse. On doit être vifs. Ça se développe avec les années, avec l’expérience et l’expertise.
Peut-être qu’on n’arrive pas encore à mettre des mots sur le malaise, mais on a l’intelligence pour le capter. Tant mieux si on a développé cette façon de nous protéger.
Croyez-vous au multiculturalisme en excluant les Québécois et les Canadiens d’origine de Pierre Elliott Trudeau du salafiste Justin Trudeau?
Le multiculturalisme est un suicide collectif à la Justin Trudeau. Dans un pays, il nous faut une langue, des valeurs et des principes communs. C’est fondamental dans une société. Dire à une femme qu’elle va pouvoir vivre au Québec comme au Pakistan, Jagmeet Signh, ou Zunera Ishad, terroriste vivant à Mississauga, en Ontario et ami fidèle de Justin Trudeau, Arabie saoudite, au Liban, en Algérie, en Iran, en Irak, Samira Laouni, du NPD, c’est lui mentir, lui manquer de respect.
La femme islamique est une femme esclave, au service du barbu poilu, vivant animalement, mangeant parterre dans les mosquées comme les chiens, uniquement jusqu’à sa mort et sans aucune valeur humaine tel que prescrit dans le Coran, par le Prophète. Nous devons jeter les religions non chrétiennes hors de nos institutions politiques selon la Constitution Canadienne de 1867.
Stoppons tous immigrations religieuses non chrétiennes
Votez conservateur au fédéral au prochain scrutin
Aucun commentaire:
Publier un commentaire