Bernard Drainville le Québec a engendré une nation folle braque déjantée, cinglé, disjoncté par les directeurs de Collèges, et Universités, copulent avec ce monde bordélique aliénant les libertés d’expression aux saveurs de prostitués parvenant du sud de la frontière
«Sous aucune condition nous ne devrions tolérer la censure dans les milieux académiques, a-t-elle écrit. Nous ne saurions sacrifier la liberté académique au nom de certaines luttes spécifiques.»
Nos recteurs d’université adorent se faire baiser par quelques personnes n’ayant aucun discernement des sociétés étudiantes d’aujourd’hui des enfants rois et pourris jusqu’à la moelle des os
Cours suprême du Canada les libertés d’expressions ne doivent jamais être attaqué par qui que ce soit. Saga judiciaire Mike Ward et Jérémy Gabriel
C’est le rôle des recteurs et des rectrices de protéger la liberté d’expression au sein de leurs institutions.
C’est quand même triste que nous en soyons arrivés là, et qu’il faille répéter cette évidence aux gens qui dirigent nos universités.
Mais que voulez-vous, nous en sommes parvenu au déclin de l’Empire Américain en moins d’une génération
Réveillez-vous et regardez ce qui se passe présentement dans nos universités tel que McGill, Laval, Université Francophone d’Ottawa prônant les racismes des migrants réfugiés et anti-blancs devenus politiquement correct de nos minorités visibles cher aux vœux du premier ministre Canada le, ou, la Drag-queen dépendamment du genre qu’il affichera avec ses narcissismes Royaux aujourd’hui pour redorer son image de Bob Gratton en puissance.Qu’a fait le recteur de l’université lorsqu’une poignée d’extrémistes ont commencé à foutre le bordel dans la salle où devait se dérouler la conférence?
Est-il monté sur scène pour essayer de calmer la foule? The coward was afraid et fait dans son pantalon.
Non. Il s’est réfugié dans son bureau, laissant les vandales faire la loi dans l’institution qu’il dirige.
Le 3 juin 2022 dernier, l’Assemblée nationale a adopté le projet de loi 32 pour protéger la liberté académique.
Les universités ont jusqu’en juin 2023 pour présenter leur politique interne destinée à protéger la liberté académique au sein de leurs établissements.
Et pour mettre sur pied un comité formé d’étudiants, de dirigeants et de membres du personnel chargé de mettre en œuvre cette politique et d’examiner les plaintes portant sur la liberté académique universitaire.
Ce n’est pas une solution miracle, qui nommera les étudiants et les professeurs qui siégeront à ce comité? Est-ce un pas dans la bonne direction.
Les recteurs abandonnés au front sans armes ni munitions.
Québec, province moutonnée
Une Nation, Peuple de Moutons engendreront des gouvernements de loups
de Wokes et des racailles de politiciens, PLQ, PLC, QS, NPD
Ce n’est pas la faute des wokes si des conférences sont annulées ou si certaines œuvres sont censurées, c’est la faute des dirigeants qui plient devant les pressions.
Qui applique ces pressions? Qui menace de tout saccager si on ne fait pas ce qu’ils disent ces vas nu pieds intellectuels?
Les Hippeis d’hier ont engendré les wokes d’aujourd’hui, le bordel de Justin Trudeau dépendant du genre qu’il est!
Dans les années 1950 et 60, c’est la droite religieuse qui mettait des œuvres à l’index et cherchait à purifier les écoles, les bibliothèques et les théâtres.
Qu’ont fait nos intellectuels et nos artistes?
Ils ont résisté ! Ils ont combattu les curés, et les ont sortis des universités à coups de pied dans la soutane! Aujourd’hui ce sont les autres religions et religieux qui nous dictent nos conduites.
Ah, c’est vrai : les curés sont à gauche, maintenant! Alors il ne faut pas les combattre. Car qui combat la gauche est à droite et vice versa.
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