samedi 28 janvier 2023

Hôpital Cité-de-la Santé, vous voulez perdre de 10 kilos à 20 kilos gratuitement en moins de 15 jours repas dégeulasses

Hôpital Cité-de-la Santé à laval, vous voulez perdre de 10 kilos à 20 kilos gratuitement  en moins de 15 jours, c’est l’endroit rêvé selon M. Angelo Gagliano et  Mme. Gloria Santos à cause de repas dégueulasses et  donne le goût de vomi et préfèrent mourir à la maison pour avoir un bon repas.  

Voici leurs histoires de fin de vie précurseur à la mort

Sa fille Natasha Gagliano  que son père ne pouvait littéralement pas manger cette nourriture  il acceptable pour nourrir les cochons sur les fermes.

M. Angelo Gagliano est satisfait des soins qu’il a reçus, c’est tout le contraire pour les repas. 

Assiette de jambon, de riz et de carottes qu’on lui a servie à la Cité-de-la-Santé.

Une tranche de jambon sous des petites carottes et une boulette de riz, ou encore des pâtes blanches servies sur une sauce ressemblant à du jus de tomates ; voilà quelques exemples de repas qui ne feront sans doute pas de jaloux chez nos lecteurs.

Un autre repas, cette fois-ci constitué de pâtes sur fond de sauce liquide.

Exaspérée de voir son père vivre ses derniers jours en étant traité de la sorte, Natasha Gagliano a préféré le sortir de l’hôpital pour qu’il reçoive des soins palliatifs à la maison.

Ces photos ne représentent pas du manque dans la qualité des repas que nous selon du ministre de la Santé.

«On va faire les vérifications nécessaires auprès du CISSS pour comprendre ce qui s’est passé dans ce cas-ci», a-t-on ajouté. 

Périple cauchemardesque de Gloria Santos   à l’hôpital cité-de-la-Santé à Laval a demandé congé plus vite à cause des repas et préfère mourir chez-elle

Une Lavalloise de 63 ans invite le premier ministre, François Legault, et le ministre de la Santé, Christian Dubé, à venir goûter la nourriture « dégueulasse » de l’hôpital Cité-de-la-Santé de Laval après avoir été traumatisée par ce qu’on lui a servi.

« Ce n’est pas quelque chose qu’on donne aux êtres humains. Même mon chat, je ne pense pas qu’il mangerait ça », s’est indignée Gloria Santos.

Elle a été hospitalisée à la Cité-de-la-Santé de Laval la semaine dernière à la suite d’une vilaine chute sur la glace dans son stationnement.

Après quelques jours, Mme Santos a finalement précipité son congé de l’hôpital, parce qu’elle n’en pouvait plus de manger les repas qu’on lui servait.

Elle a raconté, entre autres, avoir mangé un sandwich au poulet qui ressemblait à du vomi, une soupe froide  aux tomates froide  et des carottes séchées avec une demi-croquette de saumon.

La croquette de saumon et les carottes desséchées qu’on lui a servies.

Même si elle est intolérante au lactose et qu’elle ne mange pas de porc, Mme Santos croit que cela ne justifie pas la piètre qualité des repas qu’elle a reçus.

« Ils devraient nous aider à guérir pour quitter l’hôpital plus vite, mais au lieu de ça, ils nous donnent de la schnoutte », a-t-elle déploré.

L’histoire se répète à nouveau, la fille de Mme Santos, Amanda-Marie Scolack, sa mère est « loin d’être isolé ».

Gloria Santos invite le premier ministre et le ministre de la Santé à essayer la gastronomie de cet hôpital.

« Ils devraient venir prendre le même repas que j’ai eu et nous dire si c’est pour des êtres humains », a suggéré la sexagénaire.

La photo des carottes et du pâté de saumon « ne représente pas du tout la qualité des repas que nous souhaitons pour l’ensemble des patients du Québec », a déclaré le cabinet du ministre Dubé, qualifiant la situation « d’inacceptable ».

« On sait que chaque situation est différente et on va devoir comprendre ce qui s’est passé dans ce cas-ci avant de faire plus de commentaires », a-t-on ajouté.

Direction de la Cité-de-la Santé, on tombe ici dans des exceptions de patient vulnérable.

Comme solution aux problèmes de mauvaises nourritures un système de gestion de gestion  des futurs plaintes par des fonctionnaires promis

Plusieurs patients n’osent normalement pas se plaindre de leur nourriture au personnel soignant, souvent déjà débordé et ils se disent qu’ils ne veulent  être étiquetés comme étant chialeux de crainte de ne pas recevoir les soins requis avant de mourir.


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