jeudi 31 août 2023

Pourquoi les Québécois se détestent-ils eux-mêmes cultivant les désirs morbides et de se sentir comme des minables comme nous le rappelle notre élite francophone du Québec forniquant avec PLC, PLQ, QS, 1839

Pourquoi les Québécois se détestent-ils eux-mêmes  cultivant les désirs morbides  et de se sentir comme des minables comme nous le rappelle notre élite francophone du Québec forniquant avec PLC, PLQ, QS, 1839

Ils répètent sans cesse sans  le Canada anglais  nous serions condamnés à la tiers-mondisation et à une forme de médiocrité congénitale. 

Canada anglais qui entretiennent un rapport néocolonial à notre endroit.

On nous traite comme une minorité dépendante sans fierté accrochée aux mamelles de la fédération Ils reprennent le propos et s’en enorgueillissent, à la manière d’une forme supérieure de lucidité. Eux, au-moins, regardent la réalité en face.

Le discours s’exprime grossièrement avec une certaine frange de la droite de Québec. Que la société québécoise est fondamentalement incapable de quoi que ce soit et que sans la béquille canadienne, nous serions condamnés à la faillite collective.

Il témoigne de cette espèce de mépris de soi qui est inscrit dans les replis les plus intimes de la conscience collective québécoise et qui nous fait trop souvent considérer notre culture comme un fardeau qui nous empêcherait d’accéder à la prospérité américaine

Il s’agissait d’une nation incapable et décadente pour nous annexer à l’empire britannique, le plus évolué du monde, qui nous aurait apporté la démocratie, la liberté de presse, le capitalisme et la modernité. Au fil de l’histoire, ce syndrome a évolué, il s’est métamorphosé.

Chez certains, il s’est formulé ainsi : les Québécois, laissés à eux-mêmes, seraient tentés d’établir une ethnocratie autoritaire, contraire aux exigences élémentaires de la démocratie

Le Canada nous civiliserait démocratiquement de l’extérieur. Il y aurait au cœur de la culture Québécoise un réflexe déshonorant qu’il faudrait inhiber par une puissance extérieure.

Le fédéralisme canadien, de ce point de vue, nous aurait éduqués à la démocratie, vers laquelle nous ne serions jamais parvenus par nous-mêmes, d’autant que nous ne l’aurions jamais vraiment désirée. 

C’était les convictions de Pierre Elliot Trudeau, Justin Trudeau, Jean Crétin, Philippe Couillard, Gabriel Nadeau Dubois et autres ignorants…

En fait, pour ceux qui pratiquent compulsivement l’autoflagellation, la culture Québécoise, entendue comme une réalité historique, est moins une culture qu’on doit défendre et à partir de laquelle on doit s’inscrire dans le monde qu’une culture dont on doit le plus possible se libérer la défaite défait, et un peuple qui a échoué sa libération sera tenté par le nihilisme et l’automutilation. Sa part sombre remonte à la surface. C’est ce qui se passe en ce moment.

On pourra dire que c'est une mesure draconienne pour un peuple conquis; que les Français au commencement composaient la population entière du Bas-Canada et qu'ils sont encore la masse  

Que les Anglais sont de nouveaux venus n'ayant aucun droit de réclamer la disparition de la nationalité d'un peuple au milieu duquel les ont attirés leurs aptitudes commerciales.

On peut dire encore que si les Français ne sont pas une race aussi civilisée, aussi énergique, aussi apte aux affaires que celle qui les environne, ils sont par ailleurs un peuple aimable, vertueux et satisfait, possédant l'essentiel du confort matériel. 

On ne doit pas les mépriser ou les maltraiter, parce qu'ils cherchent à profiter de ce qu'ils ont sans partager l'appétit de lucre qui anime leurs voisins. 

Après tout, leur nationalité est un héritage. On ne doit pas les punir trop sévèrement s'ils ont rêvé sur les rives lointaines du Saint-Laurent le maintien et l'héritage pour leurs fils de la langue, des usages et des institutions de cette grande nation qui pendant deux siècles donna le ton de la pensée en Europe. 

Si les querelles des deux races sont irréconciliables, on peut rétorquer que la justice exige la soumission de la minorité à la suprématie des anciens et plus nombreux occupants de la province, et non que la minorité prétende forcer la majorité à prendre ses institutions et ses coutumes.

Et cette nationalité canadienne-française, devrions-nous la perpétuer pour le seul avantage de ce peuple, même si nous le pouvions ? Je ne connais pas de distinctions nationales qui marquent et continuent une infériorité plus irrémédiable. 

La langue, les lois et le caractère du continent nord-américain sont anglais Monsieur François Legault.

Toute autre race que la race anglaise et j'applique cela à tous ceux qui parlent anglais y apparaît dans un état d'infériorité. C'est pour les tirer de cette infériorité que je veux donner aux Canadiens notre caractère anglais. Je le désire pour l'avantage des classes instruites que la différence du langage et des usages sépare du vaste Empire auquel elles appartiennent. 

Le sort le meilleur de l'immigrant instruit et qui désire progresser n'offre pas aujourd'hui d'espoir de progrès ; mais le Canadien français recule davantage à cause d'une langue et des habitudes étrangères à celles du gouvernement impérial.

Pourquoi les Québécois déteste-t-il se faire appeler Canadian

Pour ma part, ça me laisse un drôle de goût dans la bouche. J'aimerais bien dire que je suis Canadien, mais ce n'est plus la même signification en anglais. 

Rapport Durham la bible de Justin Trudeau, est un peuple sans histoire et sans littérature et sans histoire. 1839

Voici, les vérités Canadiennes transporter par The Globe and Mail, The Vancouver Sun, The Washington Post, The MacClean’s Magazine and JJ McCullough Vancouver the Racist and Justin Trudeau the National Uselessness

Les Francophones et Québécois peuple, sans âme balourd, benêt, butor, demeuré, idiot, ignorant, imbécile, innocent, lourdaud, maladroit,  rustre, sot, sotte.

Si je remonte l'histoire de mes ancêtres, ils étaient d'abord des colons français, puis ils  sont restés une société vieillie et retardataire dans un monde neuf et progressif. En tout et partout, ils sont demeurés Français, mais des Français qui ne ressemblent pas du tout à ceux de France. 

Ces gens tenaient aux anciens préjugés, aux anciennes coutumes, aux anciennes lois, non par un sentiment de leurs heureux effets, mais avec cette aveugle ténacité d'un peuple mal éduqué et stationnaire. 

Ils n'étaient pas non plus dépourvus des vertus d'une vie simple et industrieuse ni de celles que d'un commun accord les hommes attribuent à la nation dont ils sortent. Les tentations qui ailleurs conduisent aux délits contre la propriété et les passions qui provoquent la violence n'étaient pas connues parmi eux. 

Ils sont doux et accueillants, frugaux, ingénieux et honnêtes, très sociables, gais et hospitaliers ; ils se distinguent par une courtoisie et une politesse vraie qui pénètre toutes les classes de leur société.

La conquête n'a pas changé grand-chose chez eux. Les classes élevées et les citadins ont adopté quelques-unes des coutumes anglaises. Néanmoins, la négligence continuelle du gouvernement britannique fut cause que la masse du peuple ne put jamais jouir des bienfaits d'institutions qui l'eussent élevée à la liberté et à la civilisation. 

Il les a laissés sans l'instruction et sans les organismes du gouvernement responsable d'ici ; cela eût permis d'assimiler leur race et leurs coutumes, très aisément et de la meilleure manière, au profit d'un Empire dont ils faisaient partie. Ils sont restés une société vieillie et retardataire dans un monde neuf et progressif. En tout et partout, ils sont demeurés Français, mais des Français qui ne ressemblent pas du tout à ceux de France. Ils ressemblent plutôt aux Français arriéré mentaux  de l'Ancien régime

Quand on parle de canadiens entre le 17e et le 19e siècle, on parlait des descendants des colons français qui habitaient le Canada. Au début du 20e siècle, les habitants anglophones ont commencé à affirmer leur identité canadienne. 

Avec l'avènement du multiculturalisme, ils ont maintenant leur propre identité Canadian. Cette identité que le Canada est une grande mosaïque où toutes les cultures, toutes les ethnies, toutes les religions forment un grand tout sans culture canadienne commune. Officiellement bilingue, officieusement, anglophone.

Eh? Notez l'ironie? Donc, fini le temps des deux peuples fondateurs.

Et je ne me reconnais pas dans cette identité. 

Quand Justin Trudeau affirme qu'il n'y a pas d'identité commune forte au Canada 

Canada has no core identity, je ne me reconnais pas là-dedans non plus. Il parle comme un Ontarien anglophone pro-multiculturalisme qui a une bonne maîtrise du français.

Je voulais participer davantage à l’AVIS anglais du Canada, mais je ne me reconnais pas là-bas non plus. Canadian et Canadien n'ont plus la même définition pour moi. Je préfère affirmer que je suis Québécois, parce que je m'y reconnais davantage aujourd'hui.

Né pour un  petit pain.



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