dimanche 18 septembre 2022

Justin Trudeau - Pauvrophobie ou Libéralophobie intellectuel, parti libéral du Canda (PLC) cette voie alternative qui permettrait au Canada, d’apprécier ses communications niaiseuses qui s’ajoutera au multiculturalisme intégrale.

 Justin Trudeau - Pauvrophobie ou Libéralophobie intellectuel, parti libéral du Canda (PLC)  cette voie alternative qui permettrait au Canada, d’apprécier ses communications niaiseuses qui s’ajoutera au multiculturalisme intégrale. 

Pierre Poilievre arrive  et Justin le politicien  pour vous faire plaisir le parti Conservateur du Canada vous remettra ce cadeau Royal avec des mains sales, plusieurs caisses de sondes sacs urinoirs reconditionné seront mis, à votre disposition made in Canada «Québec Bashing»  au prochain scrutin avec billet d’avion prépayé par la NASA.

De communiquer avec le peuple en toute simplicité personne ne peut comprendre considérant qu’il parle en dialecte n’échappant à ses débats stériles. 

Son dernier discours à Vancouver, il y a des Canadiens au Canada et les médias lui ont rendus hommages.

Le nouveau monde

Notre monde est-il féodalisée? Perdons-nous les pédales? Les hommes ne plus des mâles, les femmes ne sont plus des femelles, et leurs enfants naissent dé sexués  avec un papa G et une procréatrice B2, des amis disloqués, invertébrés dont les oreilles et les yeux sont coller sur leur pauvres tablettes.

Bon Dieu ils ont perdu la parole, ils ne peuvent plus s’exprimer, Bouf!  Ils jouent avec des machines sans cœur ou âme, et non aucun savoir-faire.  Car à l’école ne leur apprends pas le civisme et les professeurs ont peurs de leurs étudiants.

Même dans les garderies d’enfants de 0 à 5 ans, les chérubins attaquent les éducatrices avec les bénédictions des parents.

À la une Française et Belge sur TV5

Fabriquons-nous un nouveau monde de déséquilibré en Occident ?

Considérant que nous n’avons pas les préoccupations des pays pauvres ou totalitaire nous sommes forcés de constaté que nous en occident n’avons su peu de problème à résoudre. Les hurluberlus anglais et américains ont sentis les odeurs monétaires propagandistes avec des valeureux charognards n’ayant aucune gernigouane inventent littéralement nos perditions et cultures selon notre puce de lit à Ottawa.

Décadences occidentalisées des peuples obèses selon Benhabib

Rachid, Mourad, Younès Marketch et Pierre Beauvillier et son épouse, Francine,  se sont rencontrés dans un forum de discussion sur internet. Un jour, ils ont fait le choix de rompre avec l’emprise de leurs milieux et de couper avec leurs idéologies nauséabondes. 

C’est là que leurs ennuis ont commencé. Aujourd’hui, ils mènent un double vie, n’osant point afficher leurs convictions.

La noble tâche d’enseigner dans une école à discrimination positive au cœur de Bruxelles vire au cauchemar. 

Dans cette institution, l’écrasante majorité des enseignantes musulmanes y sont voilées et celles qui ne le sont pas cheminent avec mille et une contraintes. Les enseignants qui ne sont pas musulmans sont systématiquement taxés de racistes s’ils émettent la moindre réserve sur le voile ou sur l’islam.

Intégristes nous arrivent de toutes parts, appels téléphoniques demandent des dons pour nous indiquer leurs voies de leur seigneur, pouvoir et argent, Dieu ne fait aucunement partie dans leurs discussions mensongères comme on pourrait réellement dire que ce sont des politiciens de seconde classe et non élus par le peuple.

À Bruxelles, Belgique  il est plus facile pour un salafiste de déambuler dans la ville, affichant sans gêne les symboles de son orthodoxie, que pour un laïque musulman de boire un café en plein mois de ramadan dans certains quartiers fort communautarisés.

Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi n’aurait-on pas la possibilité d’avoir des sentiments personnels, une trajectoire personnelle, des choix personnels, de croire ou ne pas croire en Dieu, d’embrasser l’être désiré, dès lors qu’on est né musulman ?
Le constat que ces témoins directs dressent de la poussée de l’islam politique est plus que préoccupant de même avec les autres religions. 

Dans nos pays comme ailleurs en Europe, l’islamisme avance à bas bruit, dévoilant au grand jour la fragilité de nos démocraties. 

Du point de vue d’une certaine gauche identitaire, critiquer l’islam revient à stigmatiser les musulmans (considérés comme un bloc homogène), et le facteur culturel invoqué incite à moduler les droits et libertés pour les rendre « compatibles » avec l’idée qu’on se fait de « l’identité musulmane ». 

De l’autre côté, l’extrême-droite a trouvé un boulevard pour s’emparer de ces sujets « chauds » et démontrer l’échec de l’intégration musulmane. Une voix manque cependant à l’appel : celle des laïques musulmans.

Rien n’est fait pour accueillir leur parole dans l’espace public. Bien au contraire, tout est mis en place pour les dissuader de s’exprimer.
La marche arrière est enclenchée. 

Jusqu’où ira-t-on avec ces dictateurs religieux? Inquisitions, happartheid.

Extrémistes et dictatures politiques de toutes les religions au nom de leur Dieu 

Sont les deux faces d’un même malheur historique voir Moïse «Oh Israel!». 

Voici plus de trente ans que les Égyptiens – et avec eux tous les peuples arabes – sont acculés face à ce dilemme : impossible sans démocratie d’en finir avec le fascisme religieux, impossible de bâtir la démocratie sans mettre fin au fascisme religieux. 

Entre ces maux d’égale nocivité il n’y a pas à choisir : il faut les combattre tous deux avec une même ardeur. 

C’est sur cette difficile ligne de crête que les Arabes doivent se maintenir s’ils souhaitent redevenir pleinement sujets de leur propre histoire.  Jusqu’au grand jour son double combat pour la liberté pour les libertés humaines.

Ce sont les mâles qui ont écrits les livres religieux et non pas les femelles.


Tant que les femmes ne seront pas considérées comme des êtres humains à part entière, tant que les coptes et les bahaïs d’Égypte, tant que les chiites  totalement égaux en droits avec les autres citoyens, les peuples arabes ne pourront pas secouer les chaînes de leur servitude. 

Liberté, égalité, justice, démocratie leurs sont inconnus, n’existe pas dans leur vocabulaire.

Ces valeurs sont-elles incompatibles avec l’islam ? Non, nous dit-il, mais elles le sont avec ce que l’islam est devenu, au terme de siècles de décadence et de tyrannie, dans sa version la plus caricaturale, celle d’un salafisme sclérosé aux références médiévales propagé grâce à l’argent du pétrole sur le terrain propice de sociétés en crise. 

Au cœur de la religion se trouvent des valeurs spirituelles – ou humaines – universelles. Tout le reste – les rites, la charia – est une construction opportuniste au service d’une volonté de pouvoir, un moyen d’asservir les hommes et de les aveugler.

Pour toutes les religions les seuls et unique Dieu le pouvoir et l’argent Amen!


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