jeudi 18 août 2022

Hommes battus par leur conjointe au Québec, pourquoi on ne les croit pas, il y a-t-il de l’aide pour ces hommes. Non et deux hommes assassinées par leur conjointe à tous les quinze jours selon Statistique Canada

 Hommes battus par leur conjointe au Québec, pourquoi on ne les croit pas, il y a-t-il de l’aide pour ces hommes. Non et deux hommes assassinées par leur conjointe à tous les quinze jours selon Statistique Canada 

La plupart du temps, les hommes se taisent. Quand ils osent enfin parler, ils sont rarement pris au sérieux et de mépris

Vidéo - un homme battu par sa femme dans la rue, quelles réactions?

La chaîne Youtube 'Would Your react',  avait défrayé la chronique en publiant en 2014 une vidéo montrant un homme agressant sa femme dans la rue. 

La chaîne, après une longue hésitation, a décidé d'organiser la même caméra cachée avec cette fois, l'homme en victime et la femme en agresseur. Quelles sont les réactions des passants, selon vous?  

Comme si la parole des hommes victimes de violence conjugale contrecarrait celle des femmes battues, qui ont mis des siècles à se faire entendre.  

Les risées de la part des homme

Et puis, autour de moi, ces petits sourires, mi- gênés, mi narquois à l’énoncé du sujet. Hommes battus ? Par qui ?  Pourquoi?

Ils n’ont pas de couilles. Ils ne peuvent pas se défendre par crainte d’être agresser par elle et accusé de tous les mots du monde   et je ne pouvais  partir,  elle me faisait trop peur avec ses conversations de ses amis femmes qui me dénigre sans cesse devant tous et chacun.

Voici un fait réel lorsque j’attendais le bus près du métro. Sur le banc pour que les handicapés ou vieux, femmes avec enfants peuvent s’assoir.

Honnêtement lorsque j’arrive à ce banc je leur demande d’aller ailleurs mais cette fois-ci je l’ai fermé! 

Il était deux une femme grande et assez en bonne forme physique et son conjoint un homme mince et  les yeux comme un mourant  et se sentait comme devant un juge dans une cours de justice devant de multiples accusations. 

L’homme rongeait son frein et de couleur passive, et ne la regardait presque pas, et je sentais la marmite intérieur bouillir et le couvercle du presto était pour éclater, exploser, et il conservait son calme selon la circonstance.

La grande langue accrochée au cellulaire parlait tellement fortement  que toutes personnes que les satellites de communication autour de la terre l’attendais dire des insanités envers son conjoint.

Elle disait qu’il est tellement lâche et imbécile et qui n’arrivait pas à trouver un emploi.  Que cet homme est sans aucune valeur et qu’il n’est même pas capable lorsqu’il veut faire l’amour qui ne sait même pas comment aiguisé son crayon avant de me pénétrer.

L’homme lui répondait, je t’aime et je veux que ça marche entre nous deux et avoir des enfants. Tu peux toujours rêvé et tu sacqueras le camp de chez-moi  et trouve-toi un autre logement.

La truie s’engouffrait d’hamburgers A&W et de boisson gazeuse avec un petit gâteau et ne lui a offert rien.  

Elle parlait plus fort que les commères, de même Anne-France Goldwater en aurait perdu son latin. La pitbull était née et en fonction intégrale

Les litanies des saintes nitouches

Les blablas, les cancans, ou les ragots sont les passions de beaucoup d’entre nous. 

Quel plaisir de se retrouver entre copines et de se raconter plein d’histoires toutes plus folles les unes que les autres pendant ces longues 20 minutes et j’espérais que les piles de son cellulaire flancherait mais non! 

Et quel bonheur de voir lesdites copines suspendues à nos lèvres et qui transpirent, la joie, la mesquinerie, la reconnaissance de pouvoir tabasser légalement son conjoint avec  jouissances orgasmiques et qui cherchait nos approbations après de nous envers ce mauvais conjoint… 

Autant vous prévenir, rien ne sert de fuir, les commères sont partout ne cesse de s’en vanter humblement avec frénésies narcissiques, que je m’aime  puisque le bus ne se présente qu’à tous les vingt minutes et nous avons eu en direct, un cours de dérapage 101 gratuit et violent.

Mais eux, les hommes pourquoi ne partent-ils pas ?

Comment les femmes qui battent leurs hommes leur font-elles si peur ? Et d’abord, les battent-ils vraiment ?

Selon Statistique Canada des hommes assassinés par leur conjointe tous les quinze jours et que les médias tiennent sous silence radio

Statistique Canada, estime qu’en moyenne annuelle sur la période allant de 2011 à 2018, plus d’un quart (28 %) des victimes de violences physiques et/ou sexuelles par leur conjoint ou ex-conjoint, étaient des hommes. 

Soit 82 000 hommes sur les 295 000 victimes de violences conjugales. En 2019, sur les 142 000 victimes recensées, 16 000 étaient des hommes

Selon l’étude de la Délégation aux victimes, 173 victimes de violences conjugales en sont décédées en 2019, dont 27 hommes contre 146 femmes. 

Soit environ un homme mort de violences conjugales tous les quinze jours contre environ 12 femmes tuées chaque mois.

Les hommes pensent que ça va passer et s’arrêté, que le problème vient d’eux, qu’ils sont de mauvais conjoints ou de mauvais pères, puisque c’est ce qu’elles leur répètent à longueur de temps. » 

Les hommes, eux, mettent beaucoup plus de temps à identifier qu’il y a un problème des violences que leur conjointe leur fait et souvent sournoisement. 

« Peut-être parce qu’ils sont habitués, dès la cour de récréation, à régler leurs différends par la bagarre. Un coup n’est pas forcément un acte grave dans leur esprit. » 

 À qui demander de l’aide ? Où s’adresser ?

La honte, l’épuisement, et les structures d’écoute ou d’accueil des victimes de violences conjugales qui ne veulent pas ou ne savent pas les prendre en compte. 

Accueilli  de sarcasmes de part et d’autre battus, déclassés, dévirilisés

« Même si c’est désagréable à admettre, dans l’inconscient collectif, un homme battu par une femme perd immédiatement sa position d’homme 

Il est déclassé, dévirilisé, il perd sa place naturelle du mâle dominant. 

Et nous en sommes gênés, au point de le trouver ridicule au lieu d’éprouver de l’empathie pour lui, comme chaque fois qu’un mâle se montre un peu féminisé, est soumis, une seule question a-t-il des couilles

Nîmes France

Zakia Medkour une femme à Nîmes France  a récolté en cours de justice  par ses violences conjugales: 5 ans de prison ferme pour avoir battu son mari.

Zakia Medkour Elle l'avait battu, humilié: cinq ans de prison ferme ont été requis jeudi à l'encontre de Zakia Medkour, femme de 43 ans, jugée devant le tribunal correctionnel de Paris pour avoir exercé des violences durant 15 mois sur son ex-compagnon Maxime Gaget, 37 ans.

La procureure, Aurélie Belliot, a réclamé le maximum de la peine encourue, assortie d'un mandat de dépôt. Le jugement a été mis en délibéré au 28 mai. "Les actes reprochés à Mme Medkour vont au-delà de la violence", a justifié la représentante du ministère public pour qui certains sévices subis par la victime, brûlures avec des cigarettes ou un couteau chauffé à blanc, ingestion de force d'éponges ou de produit lave-vitres, s'apparentent à des actes de torture qui aurait pu la conduire aux assises. 

À ces violences physiques s'est ajoutée une violence psychologique, avec brimades, isolement, contrôle total de l'autre, destruction de l'estime de soi", a décrit la magistrate.







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