jeudi 11 août 2022

Locataires salauds ignobles crapulent saccagent son logement avant de partir avec des excréments, urine partout sur les tapis, couches souillées, éventrer à la hache le frigo et la coussinières, les murs coupés à la hache, les portes coupées en morceaux

 Locataires salauds ignobles crapulent saccagent son logement avant de partir avec des excréments, urine partout sur les tapis, couches souillées, éventrer à la hache le frigo et la coussinières, les murs coupés à la hache, les portes coupées en morceaux. 


«Ça sentait le cadavre»: des locataires saccagent son logement avant de partir

Expression Québécoise : Fais du bien à un cochon et il viendra chier sur ton perron. Ce qui veut dire : Ça ne sert à rien d'aider les gens égocentriques, parce qu'ils ne feront preuve que d'ingratitude. Ils n'hésiteront pas à profiter de toi à la moindre occasion.

Mon écœurante pensée aussi aux futurs locataires, sales pourritures et leurs relations avec le nouveau propriétaire.

Québec – Vos responsabilités civiles

Obligation pour une personne de réparer un dommage subi par autrui à la suite de l'événement dont elle est responsable. 

Responsabilité contractuelle. La partie à un contrat qui n'exécute pas ses engagements est responsable de cette inexécution (cida 1973). 

La responsabilité contractuelle découle de l'art. 1146 du code civil et donne lieu à des dommages intérêts en réparation du préjudice subi (Barr.1974).

Responsabilité des artisans. Les artisans sont responsables des dommages causés par leurs apprentis mineurs pendant le temps que ceux-ci sont sous leur surveillance (cida 1973). 

Responsabilité du fait des animaux. Celui qui a un animal sous sa garde est présumé responsable des dommages qu'il peut causer`` (cida 1973). 

Responsabilité du fait des bâtiments. Le propriétaire d'un bâtiment est responsable des dommages causés par la ruine à condition qu'elle soit la cause d'un défaut d'entretien ou d'un vice de construction (cida 1973). 

En ce qui concerne les bâtiments, l'article 1386 règle différemment la responsabilité (Barr.1974).

Responsabilité du fait des choses inanimées. Celui qui a la garde d'une chose est présumé responsable des dommages causés par elle (cida 1973). 

Responsabilité locative. Obligation pour le locataire de réparer les dommages survenus dans les locaux qu'il occupe`` (cida 1973).


C’est vrai qu’il a des mauvais propriétaires et de même des mauvais locataires qui ne respectent pas leurs baux 

Ces genres de locataires ne devraient pas avoir le droit aux logements et vice-versa et de la prison et saisir tous leurs biens faillites ou non pour les propriétaires les risques de guerres nucléaires sont désastreux pour les deux camps.  Ce qui met aussi arrivé j’ai acheté une maison pour être louer et deux mois après les locataires avaient brisés tout et se sont envolé tel des brigands, des voleurs

Immeubles à logement

Lorsque nous avons loué un logement 5 ½  j’ai eu l’occasion de visiter l’appartement saccager par des salauds de locataire et le concierge nous avait garantie que le logement serait un copier/coller à son propre logement  et les réparations ont perdurée pendant deux mois.  

Deux mois plus tard le logement les travaux n’étaient pas encore complété par la compagnie de gestion.  Nous sommes entrées dans le logement et le concierge a peinturé selon nos demandes.  

Dans mon cas-là le propriétaire a certainement déboursé 15 à 20 milles dollars ou plus c’était aussi pire que les bombes en Ukraine qui détruisait les édifices.

De plus à cause de ces salauds de locataires j’ai dû payer 3 mois supplémentaires chez mon ancien propriétaire et avec un mois non remboursé

Une propriétaire a été complètement traumatisée par l’état d’insalubrité avancée dans lequel elle a retrouvé son logement, près de Drummondville, à son retour de vacances.

Dégueulasse est le seul mot pour décrire l’état de la cuisine après le passage de ces bougons.

Des couches d’adultes souillées par dizaines, des restants de nourriture décomposée sur le sol, des excréments de chats sur les murs... Carole Forcier n’en croyait pas ses yeux quand elle a repris possession de son logement, le 4 août dernier. 

La condition de la salle de bain est à lever le cœur.

« Dès que j’ai ouvert la porte, un frisson m’a traversé tout le corps. Ça sentait le cadavre et il y avait des bibittes partout... 

À chaque pas que je faisais, le cœur me levait », raconte émotivement la propriétaire du logement de Saint-Bonaventure, dans le Centre-du-Québec.  

Depuis trois jours, Mme Forcier et son conjoint propriétaires tentent désespérément de nettoyer le bordel qui a dorénavant de véritables allures de « soue à cochons », mais elle n’en voit pas le bout. 

« On a passé une journée complète à faire brûler des déchets, mais c’est loin d’être fini », soupire celle qui vient tout juste de rentrer de vacances dans le Sud, entre deux sanglots.

Des tensions

Carole Forcier ne s’est jamais doutée qu’il puisse y avoir un quelconque problème avec ses locataires qui habitaient une maison scindée en deux logements lui appartenant.

Les voisins ne se plaignaient jamais et le loyer était toujours payé.

Mais les choses ont commencé à se gâter au début de l’année, lorsque la propriétaire leur a annoncé que leur bail deviendrait mensuel. 

Elle tentait alors de vendre sa propre maison et comptait habiter son loyer lorsque ce serait fait.  

« Chaque fois que j’avertissais que je venais faire un tour, ils trouvaient une raison pour m’empêcher de venir. 

J’ai été, crédule, je ne pensais pas que ça existait du monde de même », lâche-t-elle, faisant état de tensions de plus en plus régulières dans leurs échanges. 

Le couple de locataires a soudainement arrêté de payer au mois de juillet, mettant la faute sur une supposée fraude, avant de finalement quitter la demeure un mois plus tard.

Rien à faire

Mme Forcier a déposé une plainte à la police, mais en vain. D’après ses dires, les autorités lui auraient dit qu’il n’y a « rien à faire dans ces cas-là » puisqu’il n’y a pas d’incidence criminelle à proprement parler.

De la nourriture pour chat au sol et des traces d’excréments sur les murs.

Si elle comptait habiter son logement une fois sa maison vendue, ce n’est plus dans ses plans. Elle a été traumatisée par les événements. 

« Tout ce que je peux faire, c’est dénoncer la situation et dire aux propriétaires d’être vigilants, pour éviter que d’autres ne subissent le même sort », conclut-elle. 

Espérons que tout redeviendra à la normal entre locataire et propriétaire


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