mardi 20 juillet 2021

Arabie saoudite le pays de la liberté ou la démocratie règne - Conditions d’entrée et de sortie émise par le Gouvernement du Canada – Avis aux voyageurs à vos risques et périls.

Arabie saoudite le pays de la liberté ou la démocratie règne -  Conditions d’entrée et de sortie émise par le Gouvernement du Canada – Avis aux voyageurs à vos risques et périls.

A l’aéroport du Canada en pénétrant dans l’avion vous recevrez un dépliant du Gouvernement Saoudien, vous expliquant la seule façon de conduite

En Arabie Saoudite, et les femmes sont assises en arrière de l’avion et ne peuvent manger ou communiquer  avec les hommes assis en avant de l’appareil  et que les hommes aient terminé, les toilettes arrières pour femmes seulement et enfants de moins de cinq ans.

Pendant votre voyage, il est interdit de fumer, de boire sauf du thé, de se promener dans les allées. etc.  Aucun film ou musiques ne seront diffusé pendant le voyage

A l'arrivée en Arabie Saoudite, les bagages sont généralement inspectés dans le détail et vous serez fouillé à nu. 


Il convient de respecter les interdictions sur l'importation de certains biens afin d'éviter leur confiscation et une fouille pénible, dont notamment : 

Alcools et dérivés de l'alcool (médicaments, cosmétiques, vins, chocolats fourrés)

Articles religieux non islamiques

Produits à base de porcs

Livres et imprimés à caractère "subversif" ou "immoral", sexuels, (selon les autorités)

Statues (art statuaire interdit)

Drogue (interdiction absolue sous peine de mort, décapitation publique)

Produits en provenance d'Israël (boycottage)

La semaine de travail s’étend du dimanche au jeudi.

Le vendredil e jour du prophète Mohammed , c’est l’Islam, le Coran, la mosquée, ne sortez pas de votre hôtel, à vos riques et périls


Conduite automobile

Les femmes ne sont pas autorisées à conduire des voitures, des motocyclettes ou des scooters ni à faire de la bicyclette car elles risquent de perdre leurs ovaires et d’être infertiles selon le Coran et le prophète.

Si vous êtes en cause dans un accident, ne touchez à rien avant l’arrivée des patrouilleurs, ne prenez pas d’arrangements financiers avec les autres conducteurs. 

Si l’accident a fait des blessés, les conducteurs peuvent être détenus pendant plusieurs jours, sans égard à la faute, jusqu’à ce que la responsabilité ait été établie et qu’il y ait eu dédommagement. En cas de blessures graves ou de décès, la personne responsable de l’accident peut avoir à verser une compensation à la famille de la victime.

Certaines villes saoudiennes ont mis en place un système automatisé de surveillance de la circulation. Toute contravention ainsi reçue doit être payée avant de quitter le pays. Le paiement peut être effectué à l’aéroport, pendant les heures normales d’ouverture des bureaux.



Activités illégales ou réglementées

Il est défendu de critiquer la famille royale ou l’islam. Le prosélytisme religieux est interdit.

Faites attention si vous discutez de politique ou de religion. La liberté d’expression comme nous l’avons ici n’existe pas mesdames de la Fédération des Femmes du Québec.

La loi interdit les unions de fait, l’adultère et la prostitution, lesquels sont passibles de sanctions sévères, l’homosexualité, LBGT, l’alcool,  pantalon court  pour les hommes, maillots de bain, etc. dont la peine de mort.

La danse, la musique et le cinéma sont interdits, sauf les documentaires sur le sable du désert.

Les documents audiovisuels ou imprimés, importés ou produits dans le pays, sont soumis à la censure.

De lourdes peines s’appliquent aux personnes reconnues coupables d’importation, de fabrication, de possession et de consommation de produits contenant de l’alcool, du porc ou des stupéfiants. Donc pas de bacon le matin, pas d’œufs, seulement du Halal dans vos assiettes, avec du thé parsemé de vocable et de sang. 

Possiblement se faire couper la tête en publique si vous êtes chanceux.

En Arabie saoudite la justice est juste

Les autorités saoudiennes ne font preuve d’aucune tolérance et ne font aucune distinction entre l’alcool, les drogues douces et les drogues dures. 

Les personnes reconnues coupables d’une infraction liée aux drogues peuvent être condamnées à mort ou au châtiment corporel. Vous n’êtes pas au Canada, les prisons ne sont pas des Club Med et les lois ne favorisent pas les criminels comme au Canada, vous êtes déjà coupable avant d'entrer en procès.

Il est interdit de photographier les édifices officiels (bureaux du gouvernement, établissements militaires, etc.) et les lieux saints. Interdit de photographier les Saoudiens ou les Saoudiennes sans la permission de son mari, d’un homme.

Voyageurs LGBTQ2

Les lois de l’Arabie saoudite interdisent les relations sexuelles entre personnes de même sexe. Les contrevenants s’exposent à la peine de mort, décapitation, mutilations, tortures, fellations, barbaries, copulation entre mâle islamique et autre mâle.

Les voyageurs LGBTQ2 doivent peser soigneusement les risques que comporte un voyage en Arabie saoudite. Consultez les pages du Canada sur les lesbiennes, gais, bisexuelles, trisexuelles, transgenres, allosexuelles, bispirituels, LBGT, libéraux, transgenres, complotistes pour plus de détails.

Liberté de religion

Habillement et comportement

Les coutumes, les lois et les règlements du pays respectent les pratiques et les croyances de l’islam

Habillez-vous et comportez-vous sobrement, et respectez les traditions sociales et religieuses pour ne pas froisser les habitants, en particulier dans les villes saintes (La Mecque et Médine) et dans les mosquées.

Il est interdit aux infidèles d’aller (La Mecque et Médine) et de prendre les routes signalées pour les infidèles que nous sommes.

En Arabie saoudite, il n'y a aucune église catholique, chrétienne et aucune synagogue. La liberté religieuse est de mise, l’Islam uniquement, selon les principes de Justin Trudeau et la Fédération des Femmes du Québec.

Évitez les contacts physiques en public (par exemple, tenir quelqu’un par la main), d'embrasser, de regarder dans les yeux d’une personne, de sourire aux femmes..

Les femmes doivent respecter le code vestimentaire saoudien et porter des vêtements conventionnels et amples, y compris un long manteau (abaya) et un foulard qui couvre les cheveux. Les hommes ne doivent pas porter de short en public ni sortir torse nu. Avant votre arrivée, demandez conseil sur les tenues vestimentaires acceptables.

Les libertés totales pour les hommes et femmes

Les femmes  ne peuvent pas se mêler aux hommes en public, à moins d’être accompagnées d’autres membres mâles, hommes de leur famille. Une femme trouvée en compagnie d’un homme qui n’est pas un parent proche peut être accusé de prostitution et elle ira en prison pendant plusieurs années, torturées, violées, battues, « The Freedom Country».

Les restaurants ont deux sections : l’une pour les hommes, et l’autre pour les familles et les femmes  et les hommes ne peuvent s’assoir avec une femme et vice versa selon le Coran, la Charia.

Pendant le mois lunaire du ramadan (le neuvième mois du calendrier musulman), abstenez-vous de boire, de manger et de fumer dans les lieux publics entre le lever et le coucher du soleil car vous serez flagellés en publique. En 2018, le ramadan doit commencer le 15 mai ou près de cette date.


Fédération des Femmes du Québec considère que ce merveilleux pays a à vous offrir la liberté

Québec Solidaires futur candidats comme députés islamistes, salafistes, extrémistes, voilée -  Eve Torres Musulman terroriste membre des Frères Musulmans et Haroun-Bouazzi Islam AMAL,  Adil Charkaoui, terroristes christianophobie, Québécophobie, Francophobie Christianophobie, anti-occidental et anti-démocratique, pro-Charia et garder les femmes  esclaves des hommes et détruire le Québec sa culture et sa religion chrétienne

La démocratie de la Charia bientôt au Canada et au Québec

Il arrive que la Mutawa (ou police religieuse) harcèle, poursuive et agresse les étrangers qui semblent ne pas respecter rigoureusement les règles de conduite et le code vestimentaire du pays. Souvent, les agents de la Mutawa demandent simplement aux femmes de se couvrir les cheveux et habillé en nabab, niquab noir. 

Ces agents avec mitraillettes et sabres, disposent de pièces d’identité spéciales et sont accompagnés de policiers en uniforme.

S’ils vous abordent, coopérez et demandez à voir leurs pièces d’identité. Proposez-leur de les accompagner au poste de police le plus proche, mais ne leur remettez pas vos pièces d’identité. 

Si la police retient vos documents, informez-en auprès de vos répondants avant qu’il soit trop tard.

Double citoyenneté n’est pas reconnue légalement

La double citoyenneté n’est pas reconnue légalement en Arabie saoudite. Si les autorités locales vous considèrent comme un citoyen saoudien, elles pourraient refuser de vous accorder l’accès aux services consulaires canadiens, empêchant ainsi les agents consulaires du Canada de vous fournir ces services.  ‎

Droits des Familles

Les femmes, leurs enfants de moins de 18 ans et leurs filles qui ne sont pas mariées doivent avoir la permission du chef de la famille ou de leurs gardiens pour quitter le pays ou de sortir à l’extérieur de leur maison. Les femmes n'ont aucun droit sur leurs enfants dès l’âge de 5 ans.

La lapidation et la torture des femmes, sont légales si l’époux l’exige pour cause d’adultère.

Un homme saoudien qui souhaite épouser une femme étrangère doit obtenir la permission des autorités saoudiennes. 

Il doit aussi signer un document donnant à la femme étrangère et aux enfants nés de leur union la permission irrévocable d’entrer au pays et d’en sortir sans restriction. 

Cette loi est en vigueur depuis le 20 février 2008 et n’est pas rétroactive. Cependant, l’épouse étrangère et ses enfants peuvent avoir de la difficulté à quitter l’Arabie saoudite quand ils le souhaitent car l’époux a tous les droits sur les enfants jusqu’à les tuer. Voyez le film Jamais sans ma fille

Procédures judiciaires

Le système judiciaire saoudien est basé sur la charia, des barbares islamiques.

Les procédures judiciaires peuvent être longues, laborieuses et très coûteuses. Les suspects aussi bien que les témoins d’infractions peuvent être détenus pendant de longues périodes, des années, sans pouvoir communiquer avec un avocat ou un agent consulaire. 

Si l’accès à ces services leur est permis, il peut être sérieusement limité par les autorités saoudiennes. Consultez un avocat le plus tôt possible.

Les autorités peuvent imposer une interdiction légale de voyager aux personnes qui sont impliquées dans une affaire ou une enquête judiciaire, ou qui ont des dettes impayées. Un citoyen saoudien peut aussi imposer à quelqu’un une interdiction de voyager.

Importation et exportation

Tout équipement électronique qui entre en Arabie saoudite ou qui en sort fait l’objet d’une vérification minutieuse par les autorités aéroportuaires. Le matériel piraté ou dont le contenu est explicite sera confisqué. Si vous refusez de vous soumettre à ce règlement, vous risquez la détention ou l’expulsion. En cas d’expulsion, il vous sera interdit de revenir en Arabie saoudite pour la vie entière.

Il est interdit de faire entrer dans le pays tout objet considéré comme contraire aux principes de l’islam, aucun livre chrétien ou juif, aucune liberté d’expression, appel à la démocratie, tels le matériel pornographique, les stupéfiants, les drogues, l’alcool et les armes.

Voyagez seul en Arabie saoudite, c’est dangereux! Jamais une femme seule

La décision de voyager relève de vous seul. C’est également à vous seul qu’il incombe de veiller à votre sécurité personnelle à l’étranger. 

Onze ans de la vie perdue en esclave d’une française en Arabie saoudite, à vivre la démocratie islamique

Les Saoudiennes revendiquent actuellement sur les réseaux sociaux le droit de se débarrasser du droit du tutorat masculin. Elles avancent à leur rythme, à pas comptés, mais elles avancent dans ce que je nommerais "une marche silencieuse."

Je suis une femme, mère et journaliste, et je vis depuis onze ans à Riyad en Arabie Saoudite. 

J'ai atterri dans ce royaume où les femmes ne sont même pas "Reines". C'est pour des raisons de mutation professionnelle que je me suis retrouvée dans ce pays austère à suivre mon mari. Pas vraiment le choix! C'était partir ou être au chômage. 

Vous connaissez le dicton: "Entre deux maux, on choisit le moindre".

De plus, en 2005, mes enfants étaient petits. Devoir de mère oblige! J'ai par conséquent mis entre parenthèses mon activité journalistique. J'avoue que j'ai beaucoup hésité avant d'opter pour cette destination. 

J'avais lu, je m'étais documentée sur la vie des femmes en Arabie Saoudite, je n'y voyais aucun attrait, aucun intérêt. 

Mes amis les plus proches me dissuadaient de prendre une telle décision. 

Me connaissant, ils estimaient que je m'embarquais dans une aventure risquée et aliénante; moi, Française, libre de penser, de m'exprimer et de me vêtir...

Femme, journaliste, double peine!

Il faut savoir qu'il y a onze ans, les Saoudiennes mais aussi les femmes occidentales n'étaient pas légion à travailler. Elles occupaient des postes subalternes, essentiellement dans les domaines de l'enseignement et du médical. Aujourd'hui, les femmes sont de plus en plus actives dans cette société corsetée et patriarcale. Malgré les contraintes, les règles charianiques imposées, d'aucunes essaient de vivre ou survivre. 

Elles avancent à leur rythme, à pas comptés, mais elles avancent dans ce que je nommerais "une marche silencieuse".

Dans ce contexte hostile à la femme, j'ai dû mettre le "voile" sur mes principes, acquis de longue lutte par nos grands-mères et mères dans mon pays d'origine, la France.

Accepter d'être inféodée à mon mari, mon tuteur, mon supérieur".

Je n'ai en effet aucune existence légale, à l'instar des Saoudiennes qui revendiquent actuellement sur les réseaux sociaux le droit de se débarrasser du droit du tutorat masculin.

Accepter de ne pas conduire, de rester sagement assise sur la banquette arrière du véhicule. 

A regarder défiler derrière la vitre fumée le paysage d'une ville, Riyad, en perpétuelle construction. 

Obligée de faire appel aux sociétés de chauffeurs privés. Onéreux et contraignant.

Je me souviendrai longtemps de notre arrestation avec mon amie Madeha (militante pour le droit des femmes de conduire) et de ces quatre longues heures passées au poste de police à Olaya. 

Nous avons été interrogées telles des délinquantes. Notre crime? Madeha conduit pendant que je l'interviewais pour mon documentaire de 52 minutes "Arabie Saoudite, paroles de femmes". Bref, l'enfer! Cet épisode douloureux, je le raconte dans mon livre "Révolution sous le voile", aux éditions First.

Film Jamais sans ma fille

Betty est mariée à un médecin Iranien musulman, islamiste aux États-Unis qui a un temps cherché à se faire naturaliser, Betty se rend avec lui et leur fille Mahtob pour deux semaines de vacances dans le pays natal de son époux afin de faire plus ample connaissance avec sa famille. 

Dès leur arrivée à Téhéran, le mode de vie la choque et lui fait peur. 

Elle et sa fille n'ont qu'une envie : rentrer au plus vite. 

Mais son mari, conquis par la révolution Islamique, avait décidé de ne pas les laisser partir pour installer sa famille à Téhéran. 

Refusant d'être totalement soumise à son mari, Betty, dont le passeport a été confisqué, subit humiliations, violences physiques, menaces de mort et périodes de séquestration. Le conflit avec l’Irak rend ses conditions de détention encore plus dures. 

Pendant deux ans, elle alternera des accès d'abattement et de rébellion puis cèdera à une soumission feinte.

 On lui propose de se sortir de sa situation en se faisant expulser seule du pays. 

Betty n'envisage pas cette solution une seule seconde, sachant qu'elle ne reverrait jamais sans ma fille Mahtob

Finalement, aidées par quelques rares personnes, elle et sa fille parviendront à fuir un pays qu'elles voient comme une « prison » au péril de leurs vies, en atteignant la Turquie après avoir traversé à cheval et à pied les montagnes du Kurdistan incluant les risques d’être violées toutes les deux.


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