Christian Dubé, ministre de la santé du Québec – COVID-19, les Anti-vaccins descendent manifester dans les rues, un monde de fous furieux

 Christian Dubé, ministre de la santé du Québec –  COVID-19, les Anti-vaccins descendent manifester dans les rues, un monde de fous furieux

On redécouvre la complexité des choses. Pro-vaccin (mais vraiment, vraiment, pro-vaccin), anti-obligation vaccinale, anti-passeport sanitaire, et hostile au confinement : on peut conjuguer ces différentes positions sans se contredire.

Hélas, la pandémie a créé une polarisation idéologique qui nous rend fous. 

Mais malgré une campagne de vaccination accélérée, on observe au Royaume-Uni une forte augmentation des contaminations depuis l’apparition du variant Delta, venu de l’Inde et beaucoup plus contagieux que le variant anglais. 

Quand le variant anglais contamine deux personnes, le variant indien en contamine trois.

Que faisons-nous des pays sous-développés qui ne peuvent se payer les vaccins à leur population.  

JUSTICE POUR LES ANTI-VACCINS annulé leurs cartes RAMQ

Conséquences FATALES  pour que les anti-vaccins que leurs doses soient donnés au pays pauvre,  et que leur carte de l’Assurance Maladie du Québec, (RAMQ) ne puisse servir à les guérir, hospitalisations médicaments payer à leur propre frais, hospitalisation 30 jours au Québec sans RAMQ est plus de 35 000 $ et aux États-Unis plus de 500 000$ cela sera que justice pour les vaccinés.

Dans les pays riches, les anti-vaccins mènent leurs propagandes incendiaires, malhonnêtes de la même façons que les terroristes affamés..

Au début de la pandémie tous voulaient avoir le vaccin, mais il n’était pas disponible avec des milliers de décès et aujourd’hui nous pouvons éliminer ce virus et ces mêmes hurluberlues descendent dans les rues pour protester contre la vaccination

Le spectre d’une quatrième vague plane donc sur le pays. Ce qui veut dire que le Canada, le Québec et les États-Unis seront touchés un peu plus tard, comme elle l’a été avec le variant anglais, devenu prédominant dans notre pays en quelques mois.

Par conséquent, le variant Delta ne remet pas en cause le bien-fondé de la vaccination, à savoir protéger des formes graves de la maladie. Une condition majeure pour éviter une saturation des hôpitaux, comme on l’a vu à deux reprises depuis 14 mois.

Par ailleurs, le vaccin limitant la transmission du virus, il est évident que plus un virus n’est contagieux, plus l’immunité collective ne sera difficile à atteindre.

Avec le variant indien, il faudrait peut-être vacciner 90 % de la population pour atteindre cette immunité collective. Ce qui paraît inatteignable compte tenu de l’opposition d’une partie de la population au vaccin.

Il est possible que le virus disparaisse à jamais de lui-même sans qu’on sache pourquoi. Mais il est aussi possible que d’autres variants apparaissent et qu’on vive avec le COVID-19 comme avec la grippe.

Délire collectif Occidental

D’un côté, on trouve ceux qui, au nom du pragmatisme sanitaire, croient vraiment qu’on doit encadrer toujours plus la population et la soumettre à des contraintes durables, comme si les libertés publiques étaient des détails négligeables.

De l’autre, on trouve ceux qui délirent et qui s’imaginent nos élites portées par un projet de domination mondiale visant à soumettre la population à une forme de tyrannie sanitaire. 

Pourrions-nous retrouver un certain sens de jugement dans ce monde occidental de malades mentaux ?

Vaccination obligatoire pour tous, en pandémie les droits individuels sont supprimés par la Charte des Droits et  Liberté pour la santé de la collectivité